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Villa 1
15h00Je sursaute et me retourne pour voir, quand mon regard tombe sur ses yeux noir foncés qui me donne la chair de poule.
Moi : Qu'est-ce que tu me veux ?
Dis-je d'un ton sec.
Ayoub : Tu faisais quoi au juste ? Qui t'a donné la permission ?
Parce que maintenant je devais lui demander la permission ? Laissez moi rire.
Moi : Depuis quand j'ai besoin de ta permission ?
Ayoub : Depuis que tu porte mon nom.Je ne te laisserai pas le salir, faire la pute c'est finit depuis que tu as mon nom.
Moi : Mais on se connaît ? Tu me juge alors que tu ne connais rien de moi, absolument rien.
Ses yeux me dévisage, je fais de même.
Ayoub : C'est vrai je ne te connais pas mais ton père, lui te connais.
Federico ? Qu'est ce qu'il viens faire dedans, il lui a sûrement menti.
Moi : Déjà appelle le Federico, en suite pour lui je suis une pute ? J'en ai rien a foutre de ce qu'il pense de moi,alors croit le ça m'est complètement égale.
Je ne le lâchais pas du regard, lui aussi, comme si on jouait.
On jouait à celui qui baisse le regard en premier à perdu.
Il ne parlait pas, c'est comme ci il me lisait, pour voir si je dis la vérité.
Sans nous en rendre compte, j'étais collé au mur, et lui était littéralement collé à moi, mais il n'a même pas fait gaffe.
Ayoub : Si même ton père le dit, c'est qu'il faudrait arrêter d'être dans le déni, güzelliğim.
Güzelliğim...
Je ne savais pas ce que ça voulait dire mais je savais que c'était du turc, sûrement une insulte.
Je lui lance un regard le plus noir et lui dis d'un ton sec et ferme :
Moi : Quand on ne connaît pas l'histoire, on la ferme, Perro.
Je ne sais pas si il avait compris, mais j'espérais pas pour moi, je l'avais insulté de chien.
Il fit un rire nerveux et approche son visage, nos nez se frôlaient et nos souffle se mêlaient.
Ayoub : C'est moi le chien ?
Putain.
J'avais un sentiment de peur mais aussi un autre sentiment que je ne saurai pas décrire, c'était bizarre.
Moi : Il n'y a pourtant que toi ici.
Je ne devais pas me laisser marcher dessus par lui, même si il fesait deux fois de plus ma taille, et qu'il était très imposant.
Il me prend par le col et me soulève, tellement que je ne sens plus mes pieds touché le sol, j'ouvre grand les yeux et dis :
Moi : Non mais ça va pas ?!
Ayoub : Reparle moi de la sorte et ce ne serai pas que ça, tu me respectes, tu n'es qu'une petite poussière, qui n'a absolument pas d'amie.
Ces mots, même si il ne me connaissent pas, ça me blessé quand même, et quand on me blesse, je blesse.
Moi : Parce que toi tu crois t'es quelqu'un ? Si tu ne serait pas chef de gang, tu ne saurait personne, maintenant dépose moi, je vais rentré pour ne plus voir ta gueule.
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Yousra - « Mes malheurs...Et lui »
De TodoLa belle Yousra n'a que vingt-ans et a déjà subi les pires coups avec son géniteur, Federico. Quand celui-ci l'a mari de force, son mari n'est autre que le grand Ayoub El Kassir, un chef de gang puissant. Quand leurs chemins se croisent, leurs vies...