Chapitre 04 - Quand mes souffrances me collent.

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Domicile
19h15

Je sens mon corps trembler mais j'essaye le plus d'être discrète.

Federico : Oui, je suis d'accord.

Tu es d'accord pour me faire souffrir encore plus, sale monstre.

Houssem : Très bien maintenant demandons au concerné, Ayoub tu le veux ?

Il regardé le dénommé Ayoub qui était l'homme de la porte, avec intensité, alors il le regarde aussi et dit d'une voix hésitante :

Ayoub : Ouais.

Il n'avait pas fait d'effort, je ne sais même pas si lui voulait aussi de ce mariage.

Ensuite Federico suivi de Houssem détourne le regard sur moi, Ayoub, lui regarder le vide.

Houssem : Et toi benti (ma fille) , tu le veux ?

Je sentis le regard oppressant de Federico, il était sûr que si je dis non il allait me faire une de ces misères en disant que je lui fous la honte, mais ce Ayoub, je ne le connaissais même pas, il y a juste cinq minutes je viens de le voir et je sais juste son prénom.

À ce moment je ne savais pas, j'étais indécise, mais j'étais surtout forcée à dire accepter.

Moi : Ou...Oui

On sentait ma voix bégayée mais il continuait à parler de mariage et tout.

La dame qu'il y'avait me dit qu'elle m'accompagnera chercher ma robe et tout les bijoux qui va avec je lui sourit en guise de réponse, et il continue encore jusqu'à ce qu'il parte le mariage était dans trois jours, trois putain de jours.

Après qu'ils sont partis Federico me regarde et il sourit en coin, ça s'annonce rien de bon.

Federico : Maintenant c'est lui qui te fera la misère mais ne t'inquiète pas comme je sais que j'te manquerai tu passera des week-ends à la maison.

Moi qui pensait ne plus le revoir de ma vie, l'échapper, c'est pas possible il ne va jamais me lâcher !

Avec une petite voix je lui réponds :

Moi : Tu n'es qu'un monstre, Federico.

Il s'approche de moi tellement que il se colle à mon corps et que je pouvais entendre sa respiration encore plus forte, je me recule très vite de lui.

Il me regarde, un regard de haine, un regard noir.

Federico : Tu sais quoi ? J'vais te le faire payer de me parler comme ça !

Et il me porte en sac à patates sans même que je puisse bouger, comparé à lui je ne suis qu'une poussière. Il m'emmena dans sa chambre et je commence à stresser. Il me jetta sur son lit.

Moi : Arrête...C'est bon...

Federico : Ferme ta gueule !

Il l'a dit avec de la haine qu'on entendit a sa voix.

Là il commence a m'enlever ma robe, il m'a jamais au grand jamais violer, même si il me donne tout les coups, me gifle, il me fouette, me brûle, mais il ne l'a jamais fait.

Federico : Moi qui pensait que ce sera Ayoub qui te violerai, tu me force à le faire mais je ne dis pas non !

Il avais son sourire en coin.

J'étais là devant lui en sous-vêtements, je trembler je n'arrivais même pas à parler, à ce moment là, aucun sons ne sort de ma bouche. Je tremblais, j'avais des gouttes de sueur, non déjà que c'était mon cauchemar...non.

Tout à coup je réunis toute mes force pour crier :

Moi : Arrête !

Mais il ne m'écoute pas, il était concentré à me touché de partout.

Donc, je lui est donné un gros coup dans son entre-jambe avec mes pieds.

C'était tout ce que j'ai pu faire, il fit un gémissement de douleur et se pli en deux, pendant que moi je ne perd pas une seconde à m'échapper d'ici, je prend le pantalon et le tee-shirt et l'enfile dans ma chambre et couru vers la porte.

Ce qui était bizarre c'est que Federico ne me suit pas.

Je sors de ce bâtiment, et partis mais je devais bien évidemment passée devant les teneur de mur pour partir au parc à côté d'ici, je sais que en partant au parc je me calmerai sûrement.

En passant ils étaient assez nombreux ce qu'il fait que je baisse la tête.

Mais bien sûr y'en avais toujours un pour parler.

Garçon : Oh jolie tu t'es perdu ?

Je ne répondis pas.

Garçon : J'te parles la miss.

Je marchais vite quand je vis qu'il me suivi j'accélère encore plus le pas, mais là je sens une main prendre mon bras.

J'essaye d'enlever ma main mais il force.

Garçon : Tu pourrais répondre nan ?

Moi : S'il vous plaît...Lâchez-moi

Garçon : Non appart si tu me passe ton numéro ?

Il me fit un clin d'œil.

Moi : Désolé j'en ai pas.

Garçon : Si t'a tu veux juste pas donner hein ?

Moi : Je n'en ai pas, lâchez-moi

Je l'ai dit d'un ton sec, il peux pas me lâché ?

Garçon : T'inquiète viens avec moi tu verra tu va kiffer.

Inconnu : Lâche là.

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Yousra - « Mes malheurs...Et lui »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant