Yousra - « Mes malheurs...Et lui »

Chapitre 16

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PARIS
17h33

MARIAM

J'ouvre les yeux et je vois l'homme qui m'a tabassée tout à l'heure gifler Yousra.

Yousra tombe par terre.

Moi : Non ! Yousra relève toi !

Elle affiche un petit sourire et elle commence à fermer doucement ses yeux.

Les yeux se dirige vers son corps... Mon dieu...

Son corps était complètement détruit.

Pleins de traces de brûlures ou de sang qui coulaient.

Sa lèvre était déchiré et en sang.

Elle était en sous-vêtements, ses habilles étaient par terre.

Moi : Qu'est-ce que vous lui avez fait ?!

Je m'adresse à l'homme en train de sourire.

L'homme : Ne t'en fais pas, vous allez mourrir à deux au moins.

Il l'avait dit avec un accent et il partit avec un rire terrifiant.

Une larme s'échappe de mon œil et je m'avance avec difficulté vers elle.

Je lui touche son pou, il bat lentement.

Contrairement à elle, on ne m'a pas trop amoché.

Yousra c'est ma sœur.

Je donnerai tout pour ce petit bout de femme.

C'est une femme très forte, je connais son vécu et ce que son père lui fait.

La dernière fois que je l'ai vu, j'ai été choqué de voir qu'elle était avec une petite fille et un homme, surtout que Federico je ne l'a laisse jamais sortir.

Je savais qu'on allait se croiser un jour ou l'autre.

C'était impossible qu'elle meurt...

Elle ne peut pas me laisser...

Moi : Yousra...Ouvre tes yeux s'il te plaît... Je t'en supplie Yousra.

Peut être que ça en été trop pour elle, peut être.

Combien de fois je lui est dit de venir chez moi, que mes parents comprendrons.

Elle refusait tout le temps, elle avait peur que son père l'a retrouve.

Après qu'on a eu notre bac, plus aucune nouvelle d'elle, pus rien mais je ne l'en veux pas, ce n'est pas de sa faute.

Je l'a bouger dans tout les sens et lui donnait des petite claques pour l'a réveiller mais non !

Moi : Allez Yousra ! S'il te plaît ! Réveille toi merde !

De là, la porte s'ouvrit sur trois silhouettes imposantes.

Je ne voyais pas leur visage avec la lumière de l'extérieur.

Comme cette piège était sombre ça s'accordait avec la lumière.

Un sentiment de peur arriva, ça devait être cet homme terrifiant.

Mais non, ce n'était pas lui.

Un homme s'avance vers nous.

Il était très grand, imposant, la vingtaine,matte de peau, des cheveux noir bouclés, les yeux sombre, un nez droit, une barbe de trois jours.

Oui, c'était l'homme de la dernière fois avec Yousra et la fille.