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Salut tout le monde, c'est le "coéquipier" qui vous écrit aujourd'hui. J'ai bien sûr l'accord de Lou pour écrire moi-même ce chapitre aujourd'hui ! On a enfin choisi comment aller finir cette histoire et je pense honnêtement que vous n'êtes pas prêt... Bref, quand on a trouvé notre fin, j'ai dit à Lou : j'ai une idée pour nous amener à cette fin. Donc elle m'a laissé écrire et je l'en remerciais. Donc aujourd'hui je vous annonce que je vais écrire ce chapitre, elle va écrire un peu quand même mais c'est moi qui tiens les rênes ! )


Héliana Anderson

Défoncer. Ou Dé-foncé. Oui je suis défoncé, j'ai trop bu hier soir. Charles a fait P2 alors comment voulez-vous rester sobre face à sa petite gueule d'ange. Comme quoi il finira par me tuer si les voitures ne le font pas avant.

Alors oui je me tiens debout devant la télé, rectifie sa télé et ma tête est incapable de penser comme il se doit. Je sais en fait... JE LE VEUX. Et c'est pour ça qu'à aucun moment mon attention se porte sur ce putain de téléphone qui sonne sans arrêt.

- Décroche c'est chiant la. Me lance Charles dans la gueule.

Je lève les yeux au ciel. Je regarde qui m'appelle à 9h30 du matin. Merde quoi, il est lundi... Attend, il est lundi. Merde, on est LUNDI ! Et oui, cette personne qui m'appelle, c'est le photographe qui m'a contacté pour quelques clichés pour un magazine...

Et je ne suis pas prête, mais dans quelle merde je me suis encore fourré... Et on est Lundi donc évidemment il n'y a pas que le photographe que j'ai zappé. Mais qui ? Ça, je sais que j'ai oublié un truc mais quoi. Merde. Verstappen. C'est aujourd'hui.

Je me tape la main sur le front et pars en courant dans la salle de bain pour être un minimum présentable pour la séance photo. Charles me regarde interloqué, mais je n'ai franchement pas le temps.

Dans cette putain de situation, mes lunettes de soleil sont mes meilleurs alliés. Je descends les escaliers de l'hôtel en courant parce que je vais être en retard et ça me fait chier. Quel connerie... J'arrive chez ma photographe vers 10h15, soit un quart d'heure de retard.

- Comment vous allez Héliana ? Me lance la photographe en soupirant.

Quelque chose me dit qu'elle a l'habitude des retards de certaines personnalités. Paix à son âme.

- Ça va, navré pour mon retard j'étais... occupé.

- Évidemment.

Elle me dirige vers un vestiaire pour trouver la tenue qui fera vibrer son âme de photographe. Alors j'en essaie deux, puis trois et ainsi de suite jusqu'à ce qu'elle soit satisfaite. Puis je me retrouve entre les mains des maquilleurs. Et me voilà partie pour une séance d'une heure.


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Parce que tu n'es plus là- Charles Leclerc -Où les histoires vivent. Découvrez maintenant