Chapitre 34 🌶️

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Lee

— Emery..., râlé-je en étouffant un gloussement, je meurs de faim !

Je tente de rouler sur le côté afin de lui échapper, mais il ne l'entend pas de cette oreille et m'agrippe d'emblée par les hanches pour me retenir avant de se coller à moi. Sa main se déploie sur mon ventre pour me plaquer contre son corps, son souffle dans mon cou m'arrache un rire, aussitôt étouffé lorsque je sens son sexe dressé et dur se presser contre mes fesses. De toute évidence, Emery n'en a pas terminé avec moi, et je suis prête à oublier mon estomac qui crie famine tant sa propension à réveiller ma libido est impressionnante. J'ai l'impression que mon corps s'embrase dès qu'il a le malheur de m'effleurer, et nous avons beau ne pas avoir quitté ce lit depuis des jours, j'ai le sentiment que mon désir pour lui ne s'atténuera jamais.

Alors c'est ça l'effet que ça fait de s'envoyer en l'air avec un dieu du sexe ?

Pas étonnant que tous ses plans cul rappliquent pour un round supplémentaire... Et bien que mon expérience dans ce domaine ne soit pas... immense, après tout, mon body count est loin, très loooiiiinnnnn d'égaler celui de mon mari, je suis tout de même en mesure de reconnaître un sacré bon coup quand j'y suis confrontée. Et Emery est plus que doué en la matière, que ce soit à l'aide de ses doigts, sa langue - j'ai un coup de chaud rien qu'en y songeant-, ou son pénis hors normes.

Pour info, effectivement, c'est lui qui a la plus grosse.

— Tu es certaine que tu veux sortir de ce lit ? me questionne-t-il en laissant sa main vagabonder entre mes cuisses.

Je retiens mon souffle lorsque ses doigts frôlent mon clitoris avant de me crisper entre ses bras dès qu'ils entament de doux va-et-vient entre mes lèvres. Je suis incapable de réprimer les gémissements qui m'échappent, et je me tortille d'emblée pour chercher la bouche d'Emery afin de m'en emparer. J'ai besoin qu'il m'embrasse, que ses baisers m'enflamment, que mon cœur accélère jusqu'à la limite de l'explosion.

— Putain, Lee, gronde-t-il, tu mouilles tellement que je ne sais pas ce qui me retient de te baiser.

Je souris contre ses lèvres. J'aime plus que de raison constater que je le rends dingue autant qu'il me rend folle. Et à vrai dire, je n'attends que ça, qu'il me baise.

— Je ne sais pas non plus ce qui te retient, rétorqué-je, mutine.

J'appuie mes fesses de façon délibérée sur sa verge et récolte le grognement d'Emery contre ma nuque.

— Je croyais que tu mourrais de faim...

— Maintenant, j'ai faim d'autre chose...

Je termine à peine ma phrase que sa main se cramponne à ma hanche, y accentue une pression afin de me faire cambrer, et la seconde suivante, Emery s'enfonce en moi. Je lâche un "oh" de surprise, vite remplacé par un geignement qui ne trahit rien d'autre que le plaisir qui s'empare de moi. Sentir son sexe qui me pénètre, encore et encore, c'est indescriptible. Tout comme ses dents qui mordillent mon épaule, sa paume qui emprisonne mon sein. Oui, je pourrais rester avec lui dans ces draps pour le restant de mes jours. C'est irréfléchi, déraisonnable, mais comme l'a affirmé Emery, je veux juste profiter du moment présent sans penser à ce qui nous attendra demain. Alors, je me complais au creux de son étreinte, et me concentre simplement sur les sensations qu'il m'offre en occultant le fait que tout ça, nous deux, ça ne durera pas éternellement.

6 mois avec toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant