Chapitre 35-2 🌶

117 14 3
                                    

   

Emery

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Emery

    J'arrache sa robe d'un coup sec, dévoile sa poitrine galbée, et étouffe le cri d'indignation de Lee en plaquant mes lèvres sur les siennes. Je l'embrasse avec une ardeur qui la fait tressaillir tandis que ma main malaxe son sein, triture son téton qui se dresse d'emblée sous ma paume, avant que ma bouche la remplace. Je le suçote, le lèche sous ses geignements, puis ma langue descend sur son ventre et s'aventure plus au sud. Sauf que cette foutue robe m'empêche d'explorer davantage son corps.
    Je saisis fermement le tissu, incite Lee à soulever les fesses pour l'en délester plus facilement, et le lui fais passer par-dessus la tête pour le jeter à l'autre bout de la tente.

    — Je l'aimais bien cette robe, objecte ma femme, l'air boudeur et les joues rougies.

    — Je te préfère sans.

    Je la dévore du regard, m'attarde sur son corps nu gracile, chaque courbe délicate, ainsi que sur sa culotte en dentelle rouge sang. Je passe mes pouces sous l'élastique du sous-vêtement, le fais glisser le long de ses jambes pour lui accorder le même sort que sa robe.
Lee est tellement belle, étendue sous moi, que l'air se bloque dans mes poumons. Jamais une femme ne m'avait fait un tel effet auparavant, et je me demande si ce que je ressens est lié à cette étrange boule de chaleur qui se loge dans ma poitrine et qui s'amplifie dès qu'elle se trouve près de moi.
    Je m'étends au-dessus d'elle, la laisse me départir de ma chemise, ses doigts s'affairer sur mon pantalon. La fébrilité dont elle fait preuve m'indique qu'elle est aussi impatiente que moi de passer à la vitesse supérieure, mais j'ai d'autres projets pour elle. Nous nous trouvons dans un lieu magnifique, cette soirée s'avérera littéralement magique, alors il est impensable que je me contente juste de baiser.
     Je l'abandonne sur ce tapis aussi rouge que sa culotte qui a atterri sur l'un des coussins, attrape le seau à champagne rempli de glaçons et reviens me poster entre ses cuisses. Lee me fixe une intensité qui durcit ma queue, et je crois bien que ce que je m'apprête à lui faire risque de la torturer autant que de me torturer moi. Je m'empare d'un glaçon que je pose entre ses seins. Lee se tend dès que la glace entre en contact avec sa peau, et plus encore lorsque je le fais jouer entre mes doigts. Je décris de lentes circonvolutions sur son corps, son épiderme se couvre de chair de poule, et elle se cambre quand le glaçon explore la pointe de ses seins. Le contraste entre la chaleur ambiante et la froideur de ce petit cube de glace éveille ses sens, mais je n'en ai pas terminé avec elle. Je saisis aussitôt un autre glaçon que je place entre mes lèvres, et place ma bouche sur son ventre. Ses muscles se crispent sous mon passage, et elle referme brusquement les jambes en comprenant que je ne compte pas m'arrêter en si bon chemin. À l'aide de mon coude, je maintiens ses cuisses ouvertes, et m'empresse de laisser courir le glaçon sur son sexe. L'effet est immédiat. Lee se crispe sous moi, lâche un putain de gémissement qui m'embrase le bas des reins. Si je m'écoutais, je la prendrais, là tout de suite, et je la pilonnerais jusqu'à ce que ses hurlements de plaisir se perdent dans le silence du désert. Mais je tiens bon, et remplace le glaçon par la chaleur de ma langue qui la lape avec avidité.
    Putain. Lee mouille tellement que son goût imprègne ma langue, et rien que songer que c'est moi qui l'excite autant me file une trique mémorable. Je ne peux résister à glisser la main dans mon boxer pour me branler et me soulager de cette pression qui m'étreint. Mais la voix de Lee qui s'élève, éraillée par le désir, achève de me faire vriller :

6 mois avec toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant