Chapitre 18

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Margaret a réussi à se calmer avec la méditation, elle avait bien pleuré, ça lui avait fait beaucoup de bien, par la suite, elle s'était assisse en indienne sur son lit et avait respiré calmement pendant plusieurs longues minutes.

Elle devait se ressaisir, elle se leva et alla prendre une bonne douche. Ça détendait ses muscles et la chaleur permettait de se relaxer. Elle entendit la porte de la salle de bain s'ouvrir et tourna la tête.

« Chérie, j'ai pris une réservation chez Luigi. »

« Ahh, parfait, c'est avec un bon repas qu'on apprécie mieux le sexe. »

« C'est l'inverse chérie. »

« Je mange avant, je mange après ! »

« C'est tellement vrai. C'est à 20 heures.»

« Parfait ! »

Pendant sa douche Jimmy reçu un appel de Stephen.

« J'ai besoin que tu fasses jouer tes relations. »

« Bonsoir à toi aussi. »

« Désolé... Bonsoir. »

« Que puis-je faire pour toi ? »

« Je voudrais inviter Angela au restaurant, mais ils sont complets partout. »

« Tu veux te joindre à nous chez Luigi ? »

« Je ne suis pas sûr que ça soit une bonne idée... »

« J'ai réservé la zone vip Stephen, tu n'auras pas à être à la même table que nous. »

« Oh... ça serait fantastique alors. »

« a 20 heures, tu connais Luigi celui de Brookline, Maggie adore y manger. »

« Ah oui, on y est aller ensemble, après un combat, elle avait la dalle. »

« Ah bah c'est celui-là certainement. »

« On se rejoins là-bas. »

« C'est ça a plus tard. »

Jimmy rappela Luigi, Maggie sorti de la salle de bain les cheveux humides. Il était installé sur le lit, elle grimpa et posa ses bras autour de son cou.

« Bon, sois on est avec Stephen et Angela chez Luigi... sois on les laisse entre eux ? »

« Peu importe. »

« Bah je lui demande de mettre une autre table. »

« C'est quoi l'histoire en fait ? »

« Il m'e demander un service et comme on va manger là-bas, j'ai proposé qu'ils viennent. »

« Ça ne me pose pas de problème. Façon on va rapporter le reste, et baiser des heures puis j'aurais encore faim, du coup on ne restera surement pas longtemps. »

« Tu sais bien que je n'aime pas que tu dises baiser... »

« Hum... » lui embrassant le cou. « Pardon Mi amor, nous allons faire l'amour avec passion. »

« Tu te moque de moi... »

« Un peu. » ria-t-elle.

Il l'attrapa la faisant glisser vers l'avant et l'embrassa, elle se mit à rire.

« Bon, habille-toi, ou on ne va jamais quitter le lit. »

« Pas faux ! »

Margaret se leva et alla dans son dressing, vérifiant chaque robe, elle trouva enfin un joli bleu qui lui arrivait au genou et qui n'avait pas de décolleter, elle était simple.

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