Tout est fini fait-elle en caressant mon bras, ils vont le payer je te le promets, le karma se chargera d'eux. Tout va bien, n'y pense plus, où alors parle-moi si tu le veux, je suis là, on est ensemble fait-elle, tu n'es pas seule.

Mer...Merci dis-je,

On est une famille, c'est normal fait-elle, essaye de dormir, si tu ne veux pas en parler.

Je t'aime... Mon ange dis-je tout bas,

Je t'aime encore plus mon coeur.

Et on s'endort toutes les deux, et j'espère de tout coeur, ne pas rêver de ça.



* * * * * * * * * * * * *  * * * * ** * * 


PDV ASWER


Ce fils de pute, va regretter d'avoir posé ses mains sur elle, il va regretter d'être un jour née. Je pousse la porte du trou, et vais jusqu'à la sienne, aucune caméra, j'ai le champ libre. Je ne toque pas j'entre, je viole son intimité, comme à violer celle de Blake. Il se lève en sursaut de son lit, mais je ne lui laisse pas le temps de crier, je lui mets une éponge dans la bouche. Et lui donne un coup de poing, au visage en lui pétant le nez. Avant d'en donner plusieurs dans son abdomen, puis je sors un couteau, le sourire aux lèvres, je ne suis pas un meurtrier, mais je ne crois pas trop au Karma, je suis le Karma. Il me regarde affolé, et je souris en disant :

Je termine ce qu'elle a commencé, tu sais la fille que tu as essayé de violer pour te sentir comme un homme. Mais spoiler alerte, les hommes ne violent pas, tu sais ce qu'il font ? ils font l'amour, ils ne franchissent pas la barrière du non. Il gémit, et moi j'ai le sourire aux lèvres, d'un coup fluide je lui coupe ce qu'il lui sert de pénis, et une grosse mare de sang s'écoule de son entrejambe. Il regarde apeuré tout ce sang se vider, et blêmit,

Sans réfléchir, je le pousse, et il tombe au sol, par manque de force. Puis, je mets le couteau dans sa main, et m'en vais en claquant la porte, le sourire aux lèvres, si je devais recommencer, je le ferais. Parce qu'on ne viole pas, je ne suis pas un assassin, mais je suis la justice, je suis le karma, et son heure avait sonné. Le soir, je m'arrête devant la cellule des filles, et avec tous ces paravents, je ne peux pas les voir, mais je suppose que Monica dort avec Blake, parce que c'est le champ de bataille. Et cette idée me réconforte, je pars, en faisant le moins de bruit, putain gardez-les loin de tout ça me dis-je tout bas. Arrivé à mon appartement, je prends un verre de whiskey, avant d'en reprendre un autre, et encore un autre, puis de fumer une cigarette. ça ne m'était jamais arrivé, mais là j'ai besoin de me retourner le cerveau, j'ai les nerfs, puis je ferme les yeux en soupirant. Blake, son visage apeuré et plein de larmes me revient, et je déteste cette image, parce que je préfère une Blake, qui jouit, gémis, aime, rigoler, peins, vis.... Une Blake qui est heureuse, et pas une Blake apeurée et désorientée.

Fils de pute dis-je tout bas, j'espère que tu as eue mal,

Puis je soupire en fermant les yeux, putain, si je n'avais pas été là, qu'est-ce qu'il aurait fait de mon trésor. Puis, je me mets au lit, en espérant que mon Ange dort bien, c'est tout ce que je lui souhaite, je veux prendre ses cauchemars, je veux qu'elle soit en paix.


PDV BLAKE

Le lendemain, on se réveille dans une cellule, qui est en bazar,

J'ai dû déplacer quelques trucs faits Monica en haussant les épaules, pour venir jusqu'à toi. Mais il était hors de question que tu dors seule,

mais tu as tout déplacé, je dis en souriant tristement.

Je déplacerais la lune de place si tu le voulais, ma sœur.

Oh dis-je en pleurant, alors que la sonnerie sonne, et les barreaux grésillants,

Elle me prend dans ses bras,

on aura le temps de ranger, mais le plus important c'est toi.

Merci dis-je pendant qu'elle me berce,

on est une famille, tu es ma sœur.

Je t'aime putain dis-je en pleurant,

je t'aime aussi chérie fait-elle en me reculant, pour sécher mes larmes.

Tu es l'amie incroyable que tu penses être je dis,

Je ne pense pas à l'être, parce que j'agis par instinct, comme une sœur le ferait.

ALLEZ ON SE BOUGE LES FILLES font les gardiens en tapant sur les barreaux,

OUUUUUUUUUUUUiiiiiI hurle Monica, allez viens, on va se faire crier dessus fait-elle en m'aidant à me lever. Je me mets à rire, en prenant son aide, et nous sortons de la cellule, le matin, je me force à manger, et je peine à me coiffer. Mais Monica m'aide, elle fait de son mieux, et ça fait du bien, de ne pas se sentir seule, puis dans l'après-midi, je vois Aswer. Il me prend dans ses bras, et embrasse mon crâne, avant de me lâcher comme si de rien n'était.

ça va les filles ? ça va toi ? demande-il,

Oui, Monica a dormi avec moi,

Merci pour ça fait-il en la regardant.

On est une famille,

Oui, mais merci fait-il en souriant.

Il.. Il va sortir quand du trou je demande faiblement,

Ne t'inquiète pas trésor,

s'il te plaît, dit le moi. 

fallingOù les histoires vivent. Découvrez maintenant