Notre Magie 2.0

Chapitre 20

     La nuit fut si longue. J'eu beaucoup de mal à fermer l'oeil de la nuit. A chaque fois que je fermer l'oeil, je voyais ma petite amie, allongée dans l'herbe, je voyais chacun des détails de son corps, sa peau, ses yeux, ses courbes, la façon dont elle se mordille la lèvre inférieur. Au bout d'un moment, j'abandonna le fait de me battre avec le sommeil. Je vis que George était déjà debout, autant en faire pareil. Je pris un jean et un polo et les enfilas avant de sortir de ma chambre. En passant devant celle de Ron, je vis que ce dernier dormait encore avec Harry. Je me demandais si elle était debout. Je fis donc demi tour et me rendit vers la chambre de ma soeur et ouvrit la porte. 

- Lia tu es debo...

     En ouvrant la porte, je tomba sur cette dernière en train de s'habiller...mais...qui n'avait pas encore fini de s'habiller. Son sweat était seulement dans ses mains pendant qu'elle était en soutient gorge. Instinctivement, je tourna le dos. Je devais être rouge comme une pivoine et ce que je venais de voir n'allait pas aider mon esprit après la nuit que je venais d'avoir. 

- Je suis désolé! dis-je de suite
- On va dire que nous sommes quitte, dit-elle, c'est bon tu peux te retourner 
- Encore désolé, dis-je en me tournant doucement vers elle, je venais simplement voir si tu étais réveillée
- Je suis la dernière? 
- Non, Ron et Harry ronflent encore, alors autant en profiter avant que Ron ne vole tout sur la table du petit déjeuner 
- Alors on va en profiter, dit-elle en embrassant ma joue 

     Elle me passa devant tout en levant ses cheveux pour les attacher. Bordel, quoi qu'elle fasse je vais finir fou. 
     Je fini par la suivre dans la cuisine où l'on pu retrouver George, mes parents, Ginny mais également Hermione qui venait d'arriver. Cette dernière partie réveiller les garçons pendant qu'on commencer à prendre notre petit déjeuner. Mais dans la cuisine, j'avais l'impression de mourir de chaud. Je me leva donc en m'excusant en disant que j'allais juste prendre un peu l'air dans le jardin. L'air frais du matin me fit beaucoup de bien une fois dehors. J'avais vraiment besoin de ça, prendre l'air. 

- Hé Fredy, tout va bien? me demanda George en sortant
- J'ai eu un coup de chaud, dis-je à ce dernier 
- Tu es sur que ça va? Depuis hier tu es un peu bizarre

     C'était mon jumeau...il était le premier à remarquer quand je n'allais pas très bien ou quand j'étais étrange. George était le seul avec qui je me sentais ok de parler ce que je ressentais. Je ne me voyais pas en parler à mes parents. 

- Je peux te poser une question? 
- Bien sur, répondit-il, je t'écoute 
- Est ce que ça t'arrive de ressentir quelque chose d'assez fort quand tu avec avec Angélina dans le sens où tu veux aller plus loin avec elle
- Ooooh je comprend mieux, dit-il 
- Tu veux passer un cap avec Nathalia, c'est ça? 
- Oui enfin je sais pas...c'est juste que depuis qu'elle est là, je pense à elle mais plus loin en faisant plus attention à certain détails chez elle que je n'ai pas l'habitude de fixer ou autre, enfin je sais pas si tu vois 
- Ouais je vois, t'inquiète pas, pour tout te dire, on a déjà passer ce cap avec Angélina 
- Sérieux? 
- Tu te souviens du jour où j'ai dit que je me sentais pas bien pour aller à Pré-au-lard en quatrième année? 
- Tu déconne? 
- Non, dit-il, mais tu as penser à en parler avec elle?
- Non, je sais pas, j'ai peur de la brusquer, qu'elle se sente obliger de quelque chose comme je suis plus âgé alors que je ne veux pas la forcer à faire quoi que ce soit, c'est vrai qu'hier je lui ai dit que je ne voulais pas la brusquer dans notre relation 
- Alors elle sait que tu n'ira jamais plus loin sans son accord, me dit-il, tu sais, fallait bien que tu ressente ça à un moment où un autre dans ta relation, c'est normal
- Merci de m'avoir écouté frangin
- C'est normal, tu veux qu'on retourne à l'intérieur? 
- Non, je vais rester prendre l'air encore un peu, de toute manière on va pas tarder
- Ouais, du coup, je vais rester avec toi, si tu as encore besoin de parler un petit peu 
- Merci frangin