Chapitre 19

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Mon mécanicien était très vite arrivé, il s'est directement mis au travail et moi, en gentleman, j'ai proposé un verre à la belle Dalida.
• Je ne sais pas ? Pourquoi pas ? Le temps qu'il termine.
TERENCE : Oui, exactement !
J'aurais voulu que mon mécanicien prenne tout son temps pour cette voiture, car j'avais vraiment à dire à cette belle créature et je voulais vraiment la connaître.
Elle est montée et son parfum a inondé toute ma voiture ! Elle me donnait l'impression de n'avoir jamais vu une femme de ma vie.
Je conduisais, mais je n'étais pas concentré, j'avais tout le temps les yeux rivés sur son délicieux corps ! J'avais déjà envie de lui ôter ses vêtements et d'explorer les courbes de son corps, mais je devais rester tranquille, car cela devait arriver.

Nous sommes allés dans un bon petit coin très calme où nous nous sommes assis avant de commencer à causer.
TERENCE : J'espère que tu as tout ton temps?
• C'est vrai que je suis pressée, mais je peux te l'accorder puisque tu m'as apporté ton aide.
TERENCE : Ce n'est rien ! Je parie que plusieurs hommes à ma place auraient fait pareil ! Tu es tellement belle !
• Merci ! Sinon, je suis curieuse ! Que fais-tu dans la vie ?
J'étais d'abord surpris qu'elle ne me connaisse pas ! Elle devait apparemment être nouvelle dans cette localité, mais bon, ça ne me dérangeait pas, mon statut n'était pas important à ce moment, même si je lui ai dit :
TERENCE: Tout d'abord, est-ce que tu permets qu'on puisse se tutoyer ?

C'est sans soucis! Je trouve même que c'est mieux !
TERENCE : D'accord, merci !! En fait, moi, je suis le maire de cette localité !
Elle ne fut même pas surprise, comme si ça ne lui disait rien !
• Ah d'accord! Je ne savais pas.
TERENCE : Tu es nouvelle ici, apparemment ?
• Oui, nouvellement affectée dans une boîte de la place !
Elle me donna le nom de la boîte, mais ça ne m'intéressa pas.
TERENCE : Je suppose que ça se passe tout de même bien dans ton boulot et que tu t'adaptes bien ?
• Oui, même si le changement n'est jamais facile, on n'a pas le choix que de s'adapter ! C'est la moindre des choses !
TERENCE : Effectivement ! Je pourrais te présenter à
quelqu'un qui te fera découvrir...

Ah non, ça ne m'intéresse pas beaucoup ! Je préfère aller au boulot et puis rentrer ! Si ce n'était pas ma voiture, je serais déjà chez moi depuis longtemps!
TERENCE : C'est sûrement parce que je devais te rencontrer ! Le destin !
• Tu y crois? Hahahaha ! Attends, tu n'es pas marié ?
TERENCE : Non! Ou alors pas encore !
Je n'avais pas encore rencontré la femme de ma vie.
• Drôle !
On parlait quand mon téléphone sonne et que mon chauffeur me dise que cette voiture ne pouvait pas démarrer ce soir et qu'il devait la remorquer pour le garage afin de voir le problème. Après avoir raccroché, j'ai dit à Dalida que sa voiture avait un problème encore plus sérieux.

Elle se demandait comment elle allait rentrer, elle qui semblait ne plus être habituée aux transports en commun depuis longtemps, jusqu'à ce que je lui dise :
TERENCE : "Je peux vous déposer si vous voulez !"
• "D'accord ! Ça m'arrange !"
Je devais voir où elle habitait ! Nous avions passé des heures ensemble et j'avais appris qu'elle sortait d'une relation qui avait été la principale cause de son affectation.
TERENCE : "On peut y aller !"
Elle s'est levée et nous sommes partis.
Je l'ai déposée chez elle, un immeuble, et elle habitait au troisième étage. Je ne suis pas monté, elle est simplement descendue de la voiture, et après qu'on se soit échangé nos numéros de téléphone, elle est partie. On s'était promis de se revoir, mais pour être honnête, je sentais que ce serait difficile.
Je suis aussi rentré chez moi et j'ai décidé de pratiquer sur DALIDA.
C'est vrai que j'étais amoureux d'elle, mais en plus, je devais aussi me marier dans les plus brefs délais.
J'ai pris une casserole dans laquelle j'ai fait des incantations pour la voir à l'intérieur et capturer son cœur.

TERENCE : "Dalida Apakata - Dalida Napata - Dalida Zokota
• Dalida Shabaaaa !!"
Sauf qu'au même instant où j'ai plongé mon regard dans la casserole pour bien observer, j'ai été repoussé par une lumière qui m'a projeté contre le mur avec une grande force.
Quand je suis revenu à la casserole, cette sorte de miroir qui s'y trouvait s'était éteint et je ne voyais plus rien. Je n'avais pas voulu insister. En même temps, je me suis dit que, puisque je ne connaissais encore rien d'elle, c'était sûrement pour ça que le sort avait agi ainsi.
Je me suis endormi calmement.
Le lendemain matin, mon chauffeur m'a appelé pour me dire que la voiture était prête et que la dame pouvait venir la récupérer.
J'ai appelé Dalida, et à sa pause, elle est venue récupérer la voiture, l'occasion pour elle de voir aussi mon bureau.
Nous avons discuté pendant une heure, puis elle est repartie travailler, et ce jour-là, c'est elle qui m'a proposé un dîner pour me remercier.
C'est ainsi que, petit à petit, nous avons commencé à tisser des liens, sans rien de plus.
Sauf qu'il y avait quelque chose de bizarre. À chaque fois que j'essayais de pratiquer sur elle, c'était impossible ! Je ne la voyais jamais dans mes pratiques ! Peu importe ce que je voulais faire avec son nom, c'était toujours la lumière qui m'éblouissait, et je ne comprenais pas pourquoi.
Je me disais que c'était sûrement une mauvaise manœuvre ! Même lorsque je posais des questions à mon gba gba gba , il ne répondait pas, me disant qu'il n'avait pas de réponses.
J'aurais dû comprendre que ce terrain était dangereux, mais en même temps, je me disais aussi que le moment où je devais payer pour tout ce que j'avais fait était en train de sonner.

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