116

20 6 5
                                    


Friedrich


Ma mère se tenait juste devant moi et agrippait le journal de mon père, ainsi que des magazines pornographiques. Son regard reflétait le choc de sa découverte, ce qui était assez ironique pour une femme, qui arrivait à satisfaire jusqu'à 3 queues en même temps, pour du fric.

Mon regard se figeait légèrement, lorsque je vis l'autre objet, qui pendait entre ses doigts tremblants. Machinalement, mes yeux se braquèrent sur mon lit. Elle avait aussi trouvé les œuvres qu'Amalia m'avait données et l'une d'elle représentait le pendentif, en forme de bouton de rose, qu'elle tenait dans sa main.

Elle avait retourné toute ma chambre, éparpillant les articles de presse, que j'avais découpé, sur mes œuvres et sur les œuvres d'autres monstres comme moi. Je souriais de toutes mes dents, en imaginant sa tête, lorsqu'elle avait lu tout ce que j'avais fait. Son visage vieux et horrifié me rendait surpuissant.

- Alors... tu aimes ? Demandais-je, en descendant les deux dernières marches, alors qu'elle reculait.

- Tu... qu'as-tu... Haletait-elle.

Si elle ne m'avait pas mise au monde, j'aurais bandé, tellement c'était satisfaisant de la voir trembler devant sa propre création.

- Quoi ? Tu croyais être la seule dans cette baraque à aimer baiser ? Lui assenais-je durement, alors qu'elle baissait les yeux.

La honte irradiait de son être et c'était le plus délicieux des nectars. Je m'approchais d'elle et la plaquait soudain contre mon bureau. Son corps glacé se percutant contre le mien.

- T'aime te faire baiser ? Avoir 3 queues rien que pour toi ! Hein ? Celle de papa ne te suffisait pas ? Demandais-je, alors que mes paroles lui arrachaient des haut le cœur.

Son corps se figeait sur place et elle essayait d'affronter mon regard, mais les larmes coulaient sur ses joues et putain, c'était le plaisir à l'état pur. La voir se rendre compte, qui était mon père et ce qu'ils avaient engendré, était proche du paradis.

- Tu... tu as... tué...cette jeune fille ? Osait-elle me demander, alors qu'elle ne maitrisait plus les tremblements de son corps.

Cette salope osait être pétrifiée sur place, après tout le mal qu'elle m'avait fait. Je ne savais pas si je devais éclater de rire ou lui éclater la tête. Lentement, je me penchais vers son oreille, gouttant sa peur et la froideur de son âme perfide.

- Tu parles... de ma demi-sœur ! Amalia. Murmurais-je, en me délectant de cet instant.

Je plongeais aussitôt dans son regard, pour la voir encaisser mes paroles et un nouveau sourire se dessinait sur mes lèvres, alors que je lui arrachais le collier des mains.

- J'aimais tellement la baiser... que lorsqu'elle a voulu me quitter... j'ai fait exactement comme papa. Souriais-je durement, en penchant la tête sur le côté, comme un enfant surprit d'avoir fait une connerie.

Brusquement, elle eut un haut le cœur et se penchait en avant pour vomir. Je m'éloignais d'un pas en rigolant.

- Tu ne dégueules pas, quand ces mecs t'enfoncent leurs bites bien profondément. Cela ne te dérange pas de les sucer, mais tu ne supportes pas, que papa et moi ont prennent notre pied ?

- Stop... Friedrich stop... je... je t'en prie... tais-toi... je... je t'en supplie. Sanglotait-elle.

- Tu sais, papa les prenait en stop, pour les baiser en forêt... et... moi... moi j'aime tellement quand elles me sucent... bien profond... comme tu le fais avec tes mecs... Putain c'est tellement bon, que certaines en redemandent. Détaillais-je, heureux de pouvoir enfin la souffrir.

TRIEB TOME 1 (DARK THRILLER) (TERMINE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant