Mon anniversaire se passer a merveille au point de vue de mes parents. J'êtait face aux nombreux gâteaux qui se faisait découper par les dames de service qui pour l'occasion avais mis un uniforme des plus sobre mais aussi des plus classe. Les cadeaux avait était déposez sur une large table après déballage pour que tous puissent les admirer . De la musique classique sélectionner avec soin par ma mére server de fond sonore. Des conversation millimétré et quelque rire bien calculer venais l'agrémenter de note mondaine.
- Bordel de merde
ça c'étais mon chuchotement agacer devant tout se bordel d'on je me serais bien passer. Biensur personne n'as entendu, personne n'entend jamais se que j'ais a dire. ça aller changer.
Erwan me regarde intensément, pour lui aussi tout se passe bien. J'ai joué les poupée parfaite et tout le monde semble ravie pendant que cette mascarade me degoute. Ou est l'éclat dans se loft trop lumineux ? Que puis-je faire pour enrayer la machine qui fait avancer ma luxueuse destinée ?
Je me lève d'un coup, presque en renversant ma chaise. En moi gronde mon mal-être et je veux que l'on m'écoute enfin. Quelque personne on remarquer mon mouvement brusque mais n'on rien dit, ma mére a hausser un sourcil désapprobateur. Peu importe. Je prend mon couteau et tape contre mon verre de champagne pour attirer l'attention.
- Excusé moi de vous interrompre...
Je prend mon souffle, Jude me regarde avec un sourire en coin, ma mére a l'air rassuré les autres invité s'attende a un toast de ma part. Ils l'auront mais se trouverons bien moins ravie.
- Cette soirée, ma soirée est purement délicieuse, je remercie donc mes parents autant pour la déco que pour la musique et la nourriture. Il est vrais que j'ai toujours détester le orange, les fruits de mer et la musique classique c'était donc un choix des plus logique pour MON anniversaire. Ensuite j'aimerais tous vous remerciez pour vos cadeaux au gout douteux qui sont là uniquement pour plaire a mes parents. votre argent est la seul chose que vous pouvez faire admirer car en vous il n'y a que cela de brillant. Par la suite j'aimerais remercier la multitude de gens que je ne connais pas et qui sont venue quand même tout en m'ignorant superbement aprés m'avoir serrer la main.
Ma mère bouche ouverte, verre en suspend a la main, mon regard droit dans ces yeux au plus profond de son égoïsme ne la quitte pas, ma bouche, elle , parle avec force et une certaine pointe de colère acide contenue.
- Pour conclure se discour émouvant je vous annonce que je n'aime pas Erwan malgrés sa bienveillance a mon égard et ses connard de parents qui n'on jamais vue en moi autre chose que l'argent de mes parents et la future pondeuse de leur ligné hypocrite.
Je me tourne ensuite vers Erwan et son air perdu.
- Tu est peu être quelqu'un de bien mais je ne peu pas jouer un rôle éternellement.
Je me dirige vers ma mére, prend son verre sans qu'elle n'esquisse un geste et le brise a nos pieds, souillant nos chaussures et nos robes coûteuse.
- joyeux anniversaire, maman.
Sur ces mots je fuit, encore. Car si pour moi dire la vérité est difficile a dire la fuite est un sixième sens.je monte dans ma chambre et me jette sur mon lit. Je n'ai pas envie de pleurer juste de sourire simplement, soulagé et un peu fière de mes actes. J'ai parfaitement clos le bal et j'en suis ravi.
Quelques heures plus tard ma mère monte et ouvre la porte sans toquer, elle est si folle de rage que cela déforme ses trait. Elle s'approche sans une parole et me frappe. Des claques au visage, des coups de poings sur mon corps recroqueviller. Elle hurle des mots que je n'arrive a distingué. J'ai peur et elle ne me lâche pas. J'ai mal et sa colére me térrorise. Elle me tire les cheveux et me frappe avec la lampes de chevet. La haine monte et s'en est trop et je lui rentre dedans tête la première. Elle est choqué et tait enfin ses hurlement. Les rôles s'inverse et je la frappe a mon tour sans relâche, mélant notre sang qui est notre seul point commun.
Même lorsqu'elle est a terre je m'acharne sur elle. Je déverse ma haine, mon incertitude et mon angoisse dans mes coups. Mon corps me fait un mal de chien mais tant que je suis consciente je doit lui faire ressentir la douleur. Pour toute les chose que je ne lui ai pas dit, toute les choses que j'ai du cacher derrière le rôle soumis qu'elle m'a imposer. La lampe n'est plus que morceaux et se sont ces morceaux que j'abats sans relâche sur celle qui fût semblant d'être ma mère. je finis par lui hurler dessus comme elle la fait, je lui dit que je la déteste, qu'elle n'est rien,qu'elle n'est pas ma mère. Je ne suis plus qu'une bête assoiffé de sa souffrance. La cuisinière finit par arriver et a me séparer du corps sanguinolent a mes pieds. C'est a se moment que je perd conscience épuiser.
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Sans éclats
Teen FictionLouisa fuit toute forme de conflit et ferme les yeux sur ses problèmes se cantonnant à son rôle de fi-fille bourgeoise irréprochable quitte à se perdre elle-même. Mais l'arriver d'une jolie blonde aux cheveux courts réussira t-il à la libérer des ch...