14- Oiseaux

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Je suis rester longtemps sur se lit, attacher la plupart du temps. Shooter au médicaments puissant les visions d'insecte ensanglanter commencer a disparaître petit a petit et a se faire moins violente. Je refusais de parler a mon père et veillait a avoir des paroles incohérente en sa présence. Mais je me calme a présent, il ne me fait aucun reproche, ne s'énerve pas et essaie sincèrement de prendre soin de moi a sa manière. Je n'aurais su deviner s'il m'en voulait d'avoir frapper sa femme et foirer une fête qui représenter beaucoup au niveau sociale. 

Quand il venait, tout les deux jours environs, il me parlait de son boulot et de fait futile. Avant c'était comme si il n'avait pas conscience de mon existence mais maintenant il est là, maladroit et hésitant.  Je le regarde avec mon imitation de regard vide, assis sur le bord de mon lit il se masse les tempes. La figure du père lointain et imposant est un vieux souvenir. il porte une barbe de trois jours qui a étonnement tendance a le rajeunir et il réfléchis sur se qu'il va me dire. Cette vision de lui si gêner m'attendris. Irvin dit que je devrais me montrer plus gentille avec lui. 


Papa - Tu sait on devrais changer de maison, un truc plus modeste, c'est trop grand pour nous deux tout ça. En plus je déteste le orange.


Je sourie mais comme il a la tête visser vers le carrelage trop blanc il ne peu pas le voir.


- Sans oiseau exotique et décoration africaine.


Papa - j'ai  offert les oiseaux aux parents d'Erwan pour m'excusé de la fête.


- Ils vont te détester , leurs piaillement son insupportable 


Il lève la tête et me regarde d'un air complice en me souriant et nous éclatons de rire tout les deux. Finalement je pense qu'il devait trouver la présence de ma mère trop imposante, même si l'éthique veux que nous ne crachions pas sur le dos des gens je suis sur qu'il serait ravie si nous allions fêté sont départ. Je me rend compte depuis le début de mon internement a qu'elle point mon père et moi somme semblable.


Papa - Tu m'aideras a choisir, je veux une maison qui nous conviennent a tout les deux


Après un nouvel éclat de rire il part et je suis heureuse. Je pensée qu'il n'y aurait personne après lui mais non j'ai tord et lorsqu'une ombre rouge se glisse dans ma chambre je suis très surprise. Jude, ses vêtements sombre, ses cheveux rouge et sa bonne humeur on quelque chose de très extraterrestre dans cet endroit blanc. Un énorme contraste. Elle me saute dessus en hurlant de joie me plaquant contre mon matelas.


- Salut Ju' je suis contente de te voir moi aussi...


Jude - tu m'a manquer espèce de tarée !


Elle se détache de moi et s'allonge a mes cotés, geste qui me rappelle Jules. 


- je pense que t'a plus ta place ici que moi ! 


dis-je avant d'abattre mon oreiller sur mon amie. Elle hurle de rire et se redresse pour essayer de récupérer l'oreiller que je tiens hors de sa porter. Nous nous bataillons ainsi pendant une durée indéterminée. Quelqu'un finis par ouvrir la porte et a récupérer ma Jude. La chambre parait plus blanche que jamais maintenant que les rire de mon père et les cries guerrier de Jude sont partis.

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