9- La porte

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Il faut que je le rassure et c'est dans cette idée que je me rend chez Erwan, je sonne chez lui. Sa maison est énorme et peinte dans un blanc qui doit être refait une fois tout les trois mois tant il est éclatant. Une femme de service ouvre la porte et m'accueille avec le sourire, je la salut poliment avant de monter dans la chambre de mon copain offrant un sourire timide a son frère qui passez au même moment. Je toque et attend devant la porte bleu pétrole de mon brun.

Erwan - Si c'est toi Gab' va te faire foutre.

J'entre avec un soupire. J'ai toujours détester le comportement stupidement brutal d'ont faisait preuve Erwan avec son frère Gabriel.

Erwan est dos a moi entrain de surffer sur instagram un casque sur les oreilles, surement entrain d'écouter une musique qu'il aime car sa main gauche tapote sur sa cuisse en rythme d'une mélodie qui m'est inconnus. Je passe mes bras autour de ses larges épaules et il sursaute retirant brutalement son casque avant de le balancer sur son bureau.

Erwan - Putain Gab' quesque tu fou bon sang?

- Pourquoi t'es toujours aussi nul avec ton petit frère ?

Je me suis décoller de lui les main sur les hanches, un faux-air de reproche dans ma voix.

Erwan - Tu sait aussi bien que moi a quel point il peu être chiant.

Je hausse des épaules et lui se lève me prend par les hanches pour me porter et me déposer sur son lit aux draps anthracite. Il se colle a moi, me regarde avec affection dans les yeux.

Erwan - Je suis content que tu soit venu, rassure toi je ne crois pas ce qu'insinue Audrey je te fait confiance a toi mais... pas a Jude, tu comprend ?

Je hoche le tête et il souri satisfait, il embrasse mon cou et descend sur ma clavicule et mon épaule, léchant légèrement le relief de mon os au passage, je rougie, mal a l'aise, mais le laisse faire. Il passe sa main sous mon tee-shirt et caresse ma peau délicatement.

Je mets ma main dans ses cheveux aussi noir que les cheveux de ma blonde son clair, troublé je me mets a imaginer la texture capillaire de la fille du bus, la superposant a celle d'Erwan. Les caresses ne sont plus celle de ce dernier mais celle de cette fille troublante. Je gémis quand il/elle passe la main sous mon soutien-gorge effleurant mes seins qui se mettent a pointer. Je sent qu'il bande contre moi mais cela ne me gène plus tant la force de mon imagination me permet de les confondre.

Je lui retire son sweat-shirt avec empressement et excitation, il m'aide, mes gestes sont peu précis car je suis d'habitude extrêmement passive. Je parcourt de mes doigts son torse travailler, ciselé par les heures de salles avec Hugo. Je fait taire toute voix de raison dans mon cerveaux et me laisse emporter, c'est la première fois que je réussis a éprouver du désir pour Erwan ou en tout cas en sa présence. Je lui ouvre la braguette, il me regarde surpris, c'est la première fois que je suis aussi entreprenante. Je lui fait un suçon a deux centimètres de son élastique de boxer, il émit un son guttural et le membre sous le tissus se faisait plus gros encore, je jouer encore de mes lèvres sur le rebord de son sous vêtements prenant un malin plaisir a le torturé, je passai lentement ma main entre le tissus et la peau imprimant la chaleur de sa peau sur ma paume.

J'allait continuer mon exploration charnel quand la porte de la chambre d'Erwan s'ouvrit, se dernier fit un bon dessus pour la refermer avant que l'on nous surprenne. Gabriel le frére d'Erwan avais juste eu le temps de me voir rougissant follement, heureusement que j'étais rester habiller contrairement a Erwan qui part chance n'avais pas étais vu dans cette situation gênante par son petit frére.

Erwan - Gabriel casse toi bordel de merde !

Gabriel - mais t'as qu'as fermer a clef si t'es pas content gros malin.

Je voyais qu'Erwan se retenais de ne pas aller lui en foutre une, l'imaginer coursant son cadet de deux ans le pantalon sur les chevilles et le boxer bien plein me fit rire.

- Bon je vais rentré chez moi hein, a demain Erwan!

Je lui fit un bisous sur la joue sans lui laisser le temps de dire quoi que se soit avant de repartir. Croisant son frère qui me fit un clin d'oeil complice je me remis a glousser ayant a nouveau la scène dans la tête.

Sans éclatsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant