Le cœur piquant dans la poitrine et du brouillard dans le cerveau je court, m'éloigne de mon geôlier Erwan et de mon bourreau Violette. Je veux fuir, pleurer et courir a en cracher mes poumons. Voilà c'est ça. Je fuis, je cours et je vais a cette allure finir par cracher mes poumons là sur le goudron sale et mal entretenu.
Je suis loin du lycée maintenant, ma course folle me mène dans le grand parc. Un endroit dont les abords sont très bien entretenue mais dont l'intérieur est laisser en pâture a la végétation. Je passe les allées border de fleurs pleinement éclose a toute vitesse. Mes pieds foulent bientôt la terre sauvage du parc. Je m'effondre au pieds d'un grand arbre comme une héroïne de conte pour enfant. Je pleurs et frappe rageusement contre le sol. Mes mains délicate s'abîme et s'écorche.
Anthonin - Arrête ce boucan idiote
Je lève mes yeux rougis vers cette apparition, je revois Anthonin, mon voisin d'allemand a l'odeur étourdissante d'herbe. Je le détaille, me raccroche visuellement a chaque parcelle de son corps pour ne pas me remettre a pleurer comme une enfant perdue, il est efféminé avec son jean moulant, sa chemise cintré et ses cheveux aux trois quart décolorer a blanc et aux racine noir comme la nuit qui lui tombe sur les yeux. Il a vraiment un charme incroyable. Apparemment son bad trip de se matin ne la pas décourager car il fume encore. Il sort un paquet de mouchoir de sa poche de jean en faisant attention a se que son joins ne touche pas ces vêtements et me balance le paquet a la figure.
Anthonin - Relève toi, tu est lamentable.
- t'es vraiment obligé de jouer le connards pour essayer de me faire oublier ta faiblesse de ce matin, c'est si honteux que ça de se sentir mal quand toi même tu joue les émo darck sasuke ?
Il se marre et me souri malicieusement.
Anthonin - c'est amusant je n'aurais jamais cru que toi tu pouvais regarder des animés.
Je sèche mes larmes avec les mouchoirs et tamponne mes poings au phalange abîmer. Oui parfois je regarder des animés avec Jules ou Erwan.
- Que fait tu ici ? Tu sèche les cours ?
Il regarde au loin en riant de nouveau, prenant une nouvelle bouffé de son pur avant de me répondre.
Anthonin - C'est quand je suis en cours qu'il faut se poser des questions. Tu veux une taffe ? Tu est dans un sale état, j'aurais presque pitier. Mais presque faut pas exagérer non plus.
Je refuse le joint d'un mouvement de tête. Lesbienne peu être mais droguer jamais. Cette pensée me donna un haut le cœur et je me remis a sangloter. Anthonin ne bougeât pas d'où il est, il tirer latte sur latte regardant fixement devant lui. Il finit par s'asseoir sur une branche basse, écraser son mégot contre l'arbre qui nous abriter du reste du monde et par me regarder dans les yeux. Les siens aussi était cerclé d'un rouge vif, les vaisseaux sanguin totalement explosé.
- Je n'ai pas l'habitude de jouer les psy parce que j'aime pas ces con, mais vu comme je suis défoncer et que t'entendre chialer me fait chier je veux bien faire une exception.
Je ne me fit pas prier et lui raconta tout dans les moindre détails dans une fièvre hâtive de confession , les révélations en amenant d'autre après mes pulsion lesbienne je lui parla de ma vie de poupée parfaite au service de ma mère. Il m'écouta attentivement sans rien dire, nos yeux rouge et gonfler river l'un dans l'autre. Je lui offre mes secret et lui les accepte sans juger peut être trop défoncer pour le faire ou tout simplement ouvert d'esprit. A la fin je me tut, il ralluma un joint aprés l'avoir roulé lentement et fixa son regard dans les arbres.
Anthonin - Finalement la vie de petite privilégié n'est pas si facile. Plusieurs choix s'impose a toi, soit tu t'enferme derrière ta porcelaine de poupée docile et tu vie une vie facile mais monotone avec quelqu'un que tu n'aime pas sous les ordres et les critiques d'une connasse qui t'as élever sans liberté. Soit tu prend le risque de sortir du placard et tu prend le risque soit de vivre dans la lumière et l'amour soit de te briser définitivement seul.
- Connard, Psychologue et maintenant grand sage ricanais-je tandis qu'il me crachait la fumé a la figure pour se venger.
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Sans éclats
Roman pour AdolescentsLouisa fuit toute forme de conflit et ferme les yeux sur ses problèmes se cantonnant à son rôle de fi-fille bourgeoise irréprochable quitte à se perdre elle-même. Mais l'arriver d'une jolie blonde aux cheveux courts réussira t-il à la libérer des ch...