Mon Intouchable Sein.
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Des feuilles vertes craquantes ondulaient dans le vent. Le bruit des rires et discussions des filles emplissant l'air ambiant. Mon visage luisait de sueur à cause de la chaleur déchirante du soleil qui coulait sur nous par litre. Mes pieds étaient trempés. Mes yeux chocolat ouverts en grand.
Putain non, Styles.
Sa déclaration de ce matin avait un sens. Quand il m'avait annoncé que je serais "en sécurité aujourd'hui." J'ai supposé qu'il était juste bizarre mais maintenant, tout coïncide. Cette petite merde faisait référence à l'activité tyrolienne d'aujourd'hui.
Les gens qui me connaissent me demandaient pourquoi j'étais toujours prête à tremper mon pantalon comme que j'étais souvent d'attaque pour un défi tel que sauter d'un pont il y a de ça un an. Mais il y a environ sept mois, mon cousin a rencontré un dysfonctionnement au niveau de sa tyrolienne et il a foncé dans un arbre.
Ça va, ne vous sentez pas mal. J'ai ris aussi la première fois.
Quoi qu'il en soit, la note de ses frais médicaux lui ont moins fait rire, avec vingt-trois points de sutures au visage, sans mentionné ceux qu'il a eut ailleurs, et les côtes cassés.
Il va sans dire que j'eus quelque difficulté à respirer. J'essayais de me dire que toutes ces filles ici pouvaient le faire, et qu'elles iraient très bien. Les chances pour que je fonce dans un putain d'arbre étaient relativement mince, ce qui me réconforta un peu.
Je pris une profonde inspiration, voyant que mon tour approchait. Je sentis ma respiration s'accélérer et mon visage dû virer au pale. Je m'adossais contre un arbre et essayais de calmer mon pouls. Le bout de mes doigts et de mes lèvres commencèrent à s'engourdir. Je maudis mon corps.
C'était tout sauf le moment d'avoir une crise d'anxiété.
Je savais que si je me calmais maintenant, que je ne continuerai pas, et que ma respiration reviendrait à la normal, c'est ce qu'il se serait au moins passé à l'époque.
Je m'éloignais de la fil et allais sous l'arbre sur lequel je m'étais reposée tout à l'heure.
Je sortis, avec honte, mon inhalateur. Je respirais quoi ce que ce soit qui soit à l'intérieur et le garda. Après avoir atteint le temps et après m'être assise par terre, je reposais ma tête sur mes mains. J'essayais de redonner un rythme à mon pouls et fermai les yeux.
J'allais bien, la crise d'angoisse n'avait pas prit le contrôle. Je soupirai et rouvris les yeux.
"EST-CE QUE CA VA?"
Je criai et heurtai ma tête contre l'arbre derrière moi, le bruit de mon crane entrant en contact avec l'écorce faisait écho en moi.
"Je - je vais bien..." Si ça n'avait pas était lui, Cecil Beech, saisissant mon avant-bras avec force.
"TU ES SURE?" Ses yeux rouges étaient grand ouvert, et absolument fou, faisant presque pâlir le Chapelier.
"Je - oui. Est-ce que tu pourrais juste... baisser d'un ton -"
"CECIL ! Qu'est-ce que David t'a dit au sujet de toucher les campeuses?" appela une voix familière, et je levais les yeux sur Harry Styles menant un groupe de filles vers là où se trouvait les harnais de sécurité, avec des Ray Ban au bout de son nez, un tee-shirt délavé et un autre short découpé.
S'il avait été taille haute, nos habits auraient pu correspondre.
"O-OH OUAIS..." Il s'éloigna immédiatement, et je regardais Harry, un petit sourire sur son visage alors qu'il tentait de retenir un rire.
