Chapitre 5 : Traumatisme

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Salut tout le monde ! Merci de continuer à suivre ma fanfic Boy in luv ! C'est ma toute première fanfic et j'ai remarqué qu'il n'y avait aucun commentaire ! C'est pourquoi je vous invite à commenter vos avis bon ou mauvais, pour que je puisse avoir enfin votre avis sur mon histoire et si elle vaut la peine d'être continuer ou pas ! Mais plus important j'espère que vous appréciez "Boy in luv" et merci encore pour mes chers lecteur ou plutôt lectrices ! Désolée pour les fautes et un grand grand grand merci pour les personnes qui pourraient voter pour mon histoire! Je voudrais vous prévenir également que ce chapitre est assez fort et j'accentu vraiment là- dessus ! Mais j' espère qu'il vous plaira quand même! Sur ce bonne lecture!

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Je sortais de l'hopital furieux et hystérique à la fois. Je marchais avec rapidité sous l'effet de la colère. J'avais besoin en urgence de me défouler. Beaucoup de choses se sont passées aujourd'hui. En y repensant je me sentais soudainement triste. Chaques émotions que j'avais rencontré aujourd'hui me revenaient petit à petit. Je m'arrêtais pas à pas pour enfin arriver près d'un parc d'enfant à côter de chez moi. Je regardais l'heure sur mon portable. Il était 5h07. J'ai traîner toute la nuit dans la rue. Il n'y avait personne dans les ruelles. Et le parc ? Quelques personnes qui traînaient par là. Ils devaient juste y avoir des crétins. Je respirais un bon coup, l'air qui imbibait mon corps tout entier.

Grand-mère m'avait demandé avec espoir de pardonner mes deux parents. Encore il faudrait que je les considère comme tel. Mais comment devais-je faire pour pouvoir au moins avoir l'envis de leurs pardonnés. Depuis que je suis petit ils me faisaient vivre des atrocitées. Surtout mon père. Rien que de penser à lui, le regarder ou même sentir sa présence ne fesait que m'effrayer et m'écoeurer. Je ne pouvais pas lui pardonner après tout ce qu'il m'a fait. Je ne voulais pas penser à lui sinon tous mes mauvais souvenir referont surface et je ne veux pas... Mais en y repensant je ne me souviens pas qu'il y avait un parc pour les enfants. Comment est ce possible que j'ai pu oublier ce détail... " Viens vers Papa". Hein? C'est la voie de mon père..." Viens vers Papa". Des mots, des bref phrases resonnaient au creux de ma tête. Je perdais le contrôle de mon corps et refoulais systèmatiquement quelque chose dont je ne voulais pas. Mes membres étaient comme paralysés. Ma main avait laisser tomber mon portable que je tenais pourtant si fort. Je reculais en arrière. Non Papa je ne veux pas arrête ! Je mis mes mains sur mes oreilles comme pour les protéger de la voie de mon père. Je me mis à descendre petit à petit jusqu'au sol pour enfin m'écrouler par terre. Je ressentais une forte douleur. Comme si une fanfare vous tapait sur la tête. Mon crâne était possédé par l'immense souffrance que me procurait la douleur. J'entendais un bruit sourd et aiguë qui me transperçais le tympan pour arriver jusqu'à mon cerveau. Ce bruit indésirable et incessant qui continuait de se répéter, me fesais perdre conscience. Je ne voyais pratiquement plus rien, et n'entendais plus rien à part ce bruit. Je grimaçais de douleur et de peine. Ma respiration se faisait courte. Je lachais quelques brèves cri de douleur. Ma vision se troublait de plus en plus, mais ce qui me préoccupais le plus c'était cette forte et atroce migraine. Des voix, des sons et des images commençaient à se former. Je me rappelais alors un souvenir que Je ne voulais jamais me rappeler. Un souvenir que j'ai oublié. Un cauchemar que mon père m'avait encré au plus profond de moi . Il était bourré ce soir là.

#Flashback# : Tae n'avait que 6 ans.

Je voyais papa assis sur une chaise déjà saoûl, cloitré sur celle-ci. Il était accompagné d'un verre remplit d'alcool. Il marmonait des choses incomprehensibles, et rigolait dans son coin. J'avais peur quand Papa était comme ça... Il regardait son verre vide qui n'était remplit que de solitude. Il rigolait d'un ton sarcastique, puis il repleurait et plaçait un autre rire comme un cycle sans fin. Ma mère dormait à côté de lui, sur le sol froid avec des blessures au visage. Je n'osais jamais le déranger quant-il buvait comme ça. Comme tous les soirs d'ailleurs. Tout ce que je fesais c'était d'attendre le jours suivant.

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