Chapitre 3 : Le Sommeil Eternel

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Salut tout le monde ! Merci de lire ma fanfic et désolé egalement pour les fautes ! J'espère que vous aimerez ce 3eme chapitre !♥ Celui ci parle de la perte de quelqu'un que V apprécit beaucoup mais j'espère que ce chapitre vous plairat quand même ! Fiouu je suis soulager d'avoir fini ce chapitre parce que mon clavier de portable est vraiment devenus fou ! J'ai eu vraiment beaucoups de mal a finir ce p***** de chap ! Sur ce bonne lecture !

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Moi : Choaya... Qu'est ce que... Un bruit m'interrompu. C'était le vibreur de mon portable. Je regardai et je vus un message provenant de ma mère ce qui était rare d'ailleurs. Elle avait écrit : T'as grand-mère as eu un accident, parce qu'elle voulait t'acheter des choses à manger. J'avais essayé de la convaincre ce matin mais elle ne m'a pas écouté. A cause de toi, elle est à l'hopital vas la voir. Moi j'ai pas le temps et ton Père non plus. Elle est sur le point de mourir . Je lui avais prévenu pourtant que tu saurais une source a problème mais bon! Elle voulait quand même te voir au monde, et regarde maintenant elle est sur le point de mourir parce qu'elle pensait à ton bien .

"T'as grand-mère as eu un accident, parce qu'elle voulait t'acheter des choses à manger". C'est tout ce que j'ai retenu dans ce message.Ma Grand- Mère est à l'hopital...à cause de moi... Mourante... Il faut que je parte! Il faut que je m'en aille d'ici ! Il faut que j'aille la voir ! Il faut qu'elle vive ! Elle ne peut pas partir! Pas maintenant ! J'ai besoin d'elle c'est ma seule raison de vivre, de pouvoir retourner chez-moi !

Mes sentiments et mes pensées s'entremêlaient.Je ne savais plus où j'étais et qui j'étais. Je n'entendais plus que le son de ma respiration. Je voyais les choses, les gens sous un autre angle. Le bruit s'estompait de plus en plus. J'avais l'impression que le temps c'était arrêté et mon coeur aussi. Mais un bon coup de poing au visage me refis reprendre mes esprits.

C'était P.O qui me l'avait donner avec toute la générosité de sa force. Malgré ce puissant coup,je ne m'écroulais pas par terre, mais ma tête, et mon corps allaient seulement dans la direction de son poing. Je n'avais pas le temps de me consacrer à cet enfoiré ni de Choaya et dû partir d'ici. La musique c'était arreté dès le début de notre dispute entre lui et moi. Tout le monde nous regardait. Je glissais alors un coup d'oeil sur mon groupe dans l'incompréhension. Je baissais la tête, ne voulant pas plus regarder ma bande, car j'avais honte de ce qui c'était passé. J'étais pris par une honte immense qui me poussait à ne pas les regarder. Je n'avais pas l'habitude de me reçevoir des coup. A vrai dire c'était plutôt moi qui les donnais. Ils me regardaient ébahient avec de gros yeux ronds. Ne voulant pas plus rester ici. Je fermais un instant les yeux comme pour me faire pardonner puis partis enfin de la fête apperçevant une personne portant un sweet-shirt noir se dirigeant vers la sortie également. Les autres acclamaient P.O et lui il en était fier.

Je courrus de toutes mes forçes jusqu'à l'hopital. Enfin arrivé là-bas, je demandais la chambre de ma Grand-Mère. Les femmes de l'acceuil me demandaient de me calmer mais je ne pouvais pas me calmer! J'avais besoin de la voir! Maintenant! Ne comprenaient t-elles pas qu'elle est tout ce que j'ai. Mon univers tout entier se résumait à elle. Si je l'a perd je ne pourrais plus continuer à vivre.Qu'est-ce-que je devais faire pour qu'elles puissent enfin me comprendre ? Comme elles ne me servaient à rien je courrus dans les couloirs de l'hopital. Je les entendaient crier

Femmes de l'acceuil : Monsieur revenez !!

Je cherchais sa chambre du regard. Je montais rapidement dans les escalier puis les descendais pour enfin les remonter. Mes pensées se résumaient à ça "Je dois la revoir". Mes jambes étaient faibles. Elles ne pouvaient plus supporter le poids de cette souffrance. Mon corps tout entiers était noyer par l'horrible idée de vivre sans ma Grand-Mère. Quand je vus enfin le corps frêle de ma Grand-Mère, alongée sur ce lit d'hopital. J'accourai vers sa chambre, pour ensuite m'arrêtée devant le seuil de la porte glaçée, et mon souffle se coupa. Je marchai pas à pas jusque vers son lit. Plus je m'avançais et plus mon coeur me faisais mal et se serrait. Je n'arrivai pas à décrire cette douleur immense qui habitait tout mon être. Il se propageait tel un courant d'eau. Mes larmes m'échappèrent des yeux.

[ EN PAUSE ] Boy in luvOù les histoires vivent. Découvrez maintenant