Journal de la fille pathétique.

J'enmerde tout (ceci n'es pas une phrase typique de Grunge conserviste.)

Mardi 29 Septembre

Je hais la vie. Pas la mienne, la vie toute entière, cette chose absurde.Une fois la philosophe que je suis a dit : Tu vois, je pense que la vie n'est qu'une dépression, mais parfois elle est belle comme en ce moment ou je te parle. Tu sais que je fais parti de ces gens qui ont un je ne sais quoi de dépressif de nature qui les rendent mélancolique en permanance.J'ai l'impression d'être Van Gogh quand je dis ça, en parlant il est sexy dans doctor who.Bref. Le monde entier me confie des secrets, le problème, c'est pas ça. Je sais très bien garder les secrets. Mais ça fait lourd, très lourd. J'ai peur de ne pas pouvoir les aider, de ne pas être à la hauteur. Et encore ''peur'' n'est pas le mot adéquat. Ces temps-ci je suis vide, indifférente. Vous voyez c'est ''dérangeant'' de n'éprouver aucune empathie quand vos amis vous avouent quelque chose de grave.  

Moi je fais quoi? je tiens, et puis j'essaye de les aider. Mais bon. Moi au pire on s'en fout.

J'ai faim j'ai froid *tu t'es prise pour la petite fille au alumettes?* nan mais en vrai je crève la dalle.

Je crois que le me suis faîte une amie !!!!!!!
Je hais les leçons de musiques gra.

Bon sinon ça va avec le Pedobear.
Ah ui, je suis une groooosse thug genre, la surveillante elle a pris mon carnet parce que j'ai pas voulu ramasser une ordure qui traînait par terre et qui était même pas à moi. U mad? Alors j'ai dit non. Bah voilà elle m'a cru pour son éboueur ou quoi?  Ps. Je hais ce collège.

Je hais plein de chose.

A force je me dis que je suis pas juste parano, il m'arrive vraiment des choses paranormal.

So je suis blasé, y'a le mouton frissoneux qui arrête pas de me demander ce que j'écoute comme musique, ptn mais qu'il retourne parler à Lovey, moi j'ai essayé d'être son ami mais non il vient me parler que par intêret. Miskin.

Sinon, les gens en graine, pas besoin de venir tirer nos nerfs sur moi, retournez dans vos champs, moi j'vous dégraine. Mais en vrai je m'en balek de vos petites sautes d'humeurs, allez grandir et mûrir hein.

 - Laurelei