Nouvelle famille, nouveau lycée.

Chapitre 4.

Ty: Et ! Mais je connais celui - là ! O' brien ?

Dy': Oui on est dans la même classe. Justement je te cherchais !
Dylan: Oh ! C'est de lui que tu me parlais Dylan !
Dy': Yeap. Au faite, vous vous connaissez comment ?
Ty: C'est ma petite soeur.
Dy': Oh.. je vois.
Dylan: Vu que c'est notre premier jour, on a plus cours là. Vous êtes au courant ?
Moi: Pourquoi tout le monde reste ici pour la pause dans ce cas ?
Dy': Pour être avec leurs amis tout simplement.
Moi: Ah...
Ty: Bon ben on y va Al ?
Moi: Oui allons y !

Dylan s'en alla aussitôt. Mon Dylan pas celui de mon frère. Enfin non pas mon Dylan mais celui de ma classe. Enfin vous avez compris quoi.

Ty: Mec, tu veux venir chez nous ?
Dy': Oui, bien sûr. Mais je voudrais pas déranger.
Ty: Mais non voyons. Aller viens !

Puis O' brien nous suivit.
Tyler se met au volant. Puis O' brien me demanda :

Lui: Tu te mets devant ?
Moi: Non, c'est bon. Vas y !
Lui: D'accord.

Je lui sourit, sourire qu'il me rendit aussitôt.
Tyler, je dois l'avouer, est très doué pour ce faire des amis. Mais je pense que je m'en suis pas mal sortit non plus. J'ai maintenant un ami. Enfin deux si je compte O' brien.
Le trajet se fit en silence mais ce n'était pas un silence lourd, c'était un silence léger si je puis dire, il n'était pas gênant.
On arriva ensuite à la maison. Je descendis de la voiture la première suivis de Tyler et d' O' brien.

Ty: Maman, on est rentré !
Mélissa: Votre journée s'est bien passée ?

Puis elle se rendit compte que nous avions de la compagnie.

Mélissa: Oh.. euh. Bonjour, je suis Mélissa, la mère de Tyler.

Puis elle lui tendit la main, main qu'il serra, bien évidemment.

Dy': Enchantée, madame, moi c'est Dylan. Un ami de votre fils et de votre fille.

Outch. Point sensible.

Mélissa: Oh... hum... ce n'est pas ma fille...

Dylan avait maintenant l'air extrêmement gêné.

Dy': Je suis vraiment désolé. Je ne savais pas.
Moi: C'est pas grave, tu pouvais pas savoir...

Mélissa avait l'air mal à l'aise et et triste. Je décidais donc de lui parler.