Un amour de loup

Chapitre 2

Comme mes parents lavais dit il ne son pas la. Je monte directement dans ma chambre et me débarrasse de mes vêtement pour allez sous la douche. L'eau chaude sur ma peau m'aide a oublié ce qui ces passer aujourdhuit. La chaleur de l'eau chaude me rappelle la chaleur qu'il dégageais quand il étais tout près de moi, cette chaleur étais enivrante et terrifiante. Pourquoi je me s'en comme sa, je ne le connais pas, alors sa se peut certainement pas être de l'amours, mais ces quoi alors.

Je sort de la douche après au moins une heure de réflexion dans cette bulle de chaleur. J'entre dans ma chambre seulement enroulé d'une serviette. Je met mon pyjama, un long chandail qui m'arrive a mis cuisse et des boxer, mais j'ai oublier a qu'il il appartien, un de mes ex sûrement. J'allais m'installer dans mon lit pour lire, mais des bruit de pas en bas ce font entendre. Il est a peine 19h, je n'est graillent pas vue le temps passé, sa ne peut pas être mes parents, il est trop tôt.

Je descend pour regardé qui peut bien faire du bruit, la porte de l'entré et grande ouverte laissant entré un vent glacial. Je ferme la porte et me retourne pour regardé qui peut bien être la. Je parcourt la maison, aucune trace de personne, la baie vitrée dans le salon et grand ouvert. Je sort dans la cours et referme la baie derrière moi. Je sort a l'extérieure il fait déjà noir, l'aire frisquet me donne des frison, nous somme quand septembre et il fait plutôt froid pour ce mois de l'année.

J'admire les étoile un peu, puis revient a la réalité il y a quelqu'un dans ma cours. La cours arrière de notre maison est entièrement clôturé, de l'autre coté ce trouve la forêt dans laquelle je n'est pas le droit de pénétré. De ruissellement de l'autre coté delà clôture attire mon attention, je grimpe par dessus la clôture avec difficulté.

Assis sur le rebord de la clôture je peut voir plutôt loin dans la forêt assis sur la clôture. J'entend toujours les ruissellement, mais ils s'enfonce de plus en plus dans la forêts, j'hésite quelque minute, puis saute. Je cours dans la forêts essayant de suivre les ruissèlement du mieux que je peux , il ont l'aire de plus en plus de bruit de pas. Le vent froid  me fouette les jambe dénudé par mon accoutrement, mais je m'en fou, cette sensation est agréable. J'ai l'impression d'être plus vivante qu'avant, pourvoir courir dans les bois comme sa, j'ai toujours voulut faire sa.

Sans même m'en rendre contre les ruissellement on arrêté, tout comme moi, je pivote sur moi-même a la recherche d'un bruit, mais rien. Je remarque que je ne sais plus de quelle coté est la maison. Je décide de partir dans n'importe qu'elle direction en espérant sortir d'ici. Je fini par m'arrêter lorsque mes pied me font trop mal, j'ai les pied ensanglanté, je n'aurais pas du d'autel en bas, si je ne l'aurais pas fait je ne serais pas perdu en se moment.

Je m'assoit au sol, car mes pied me font trop mal pour resté debout. Je reste au sol a me demander comment sortir d'ici, adossé a un arbre le sommeil prend vite le dessus sur moi. Mes yeux commencèrent a se fermé lentement au même moment ou les bruit de pas réapparaissent, trop faible pour ouvrir les yeux je les ferme complètement et me laisse transporté dans un sommeil profond.

Lorsque j'ouvre les yeux je remarque qu'il fait toujours noir, je ne rappelle lentement ce qui ces passer, ma vue habitué au noir, je voie les étoile dans le ciel, j'entend les bruit de la forêts endormie, mais une chose a changé. Je n'est pas froid et mes pied ne me font plus mal.

Je suis couvert d'un manteau et mes pied n'ont plus aucune égratignure, sa ne fait même plus mal. Je regarde autour de moi, il n'y a personne et je ne suis plus a la même place que la vielle, je suis désormais a coté de la clôture, de l'autre coté de cette clôture ce trouve ma maison, mais comment je me suis rendu la. Peut être que j'ai tout imaginé, mais non je ne peut pas avoir imaginé tout sa, car j'ai une preuve que ce n'étais pas un rêve, le manteau.