Écrits en vrac

Fragmentée: (Extrait)

J'ai commencé cette histoire il y a un moment alors soyez indulgents avec mon écriture de gamine. Il est possible qu'il y ai encore des fautes. Si vous pouviez me les signaler, je vous en serez reconnaissante. Maintenant, je vous laisse tranquille! ^^

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          Mon corps était devenu léger. Je n'avais plus ni trop chaud, ni froid. J'avais juste l'impression de flotter, de ne pas être pareil. Je mis du temps pour rouvrir les yeux. De la lumière éclatait de partout. Je du mettre ma main en visière, et cligner plus d'une fois des paupières avant de distinguais quelque chose. C'était comme si j'étais devant une lumière brillante. Je baissais ma main lorsque mes yeux me piquèrent moins. J'étais dans une pièce blanche, sans aucun meuble, sans rien qui occupait l'espace. Juste de la lumière qui venait de partout. Je me retrouvais debout sans trop comprendre. Avais-je été couché? Avais-je toujours était debout?

Je n'étais pas vraiment inquiète. Je ne savais pas où j'étais, mais j'avais quand même l'impression de ne pas être perdue. Je tournais plusieurs fois sur moi-même, mes cheveux bougèrent à mon rythme dans mon dos. Mais de tout coté, il n'y avait rien. Juste cette blancheur lumineuse. Mes yeux s'habituaient à cette éclatante lumière.

J'étais seule...

Rien qu'a cette pensé mon cœur s'alourdit. J'eus envie de pleurer, mes yeux s'embuèrent.

Pourtant ce ne sont pas mes sanglots à moi qui dissipèrent le silence.

Je me retournais.

Une fille était agenouillée à quelques pas de moi. Comment était-elle arrivé là?

Dans son dos de long cheveux blond comme les miens, mais d'un rouge éclatant aux pointes, escaladaient ses épaules. Son corps était secoué de sanglot. Ses mains étaient jointes devant son visage.

Je m'approchais. Qui était-elle? Je posais une main sur une de ses épaules.

-Euh... ça va?

Quelle question idiote. La fille continuait de sangloter. Elle paraissait fragile d'ici. Elle essuya ses larmes du revers de la main.

Ça va...

Cette voix! Je l'avais déjà entendu.

Nautilia, éloigne toi de moi.

J'écarquillais les yeux. Qui était cette fille? Comment connaissait-elle mon nom? Pourquoi devrais-je m'éloigner d'elle?

Au lieu de l'écouter, je restais à coté d'elle.

-Pourquoi pleurs-tu?

Nous étions toujours dans cet endroit éclatant, sans murs, sans contours.

Tu n'écoute jamais?

Cette réplique me fit sourire. Je pense que Madame Whistle pourrait écrire une large dissertation sur le fait que je n'écoute pas. Cette fille m'était sympathique même si je ne la connaissais pas.

-Alors? Pourquoi es-tu ici?

Elle ne se tourna pas une seule fois vers moi pendant notre échange. Il n'y avait que ma voix qui se répercutait ici. Pourtant elle était bien devant moi. Je la touchais.

Je suis ici parce que...

Elle n'acheva pas sa phrase. Son corps se contorsionna. Au même moment, mes doigts me brulèrent et je ressentis une douleur brulante dans tout mon corps. J'avais chaud. La main qui touchait son épaule fut violemment saisi par une autre glaciale, aussi froide que la mienne était chaude.