Mon nouveau patron

Chapitre 19

( David et Mia entrain de danser )
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| Jeudi, Matin. |

PDV MIA

En me levant ce matin, j'ai juste une idée en tête. Je dois appeler mon père. Je veux savoir s'il a récupéré tout ses heures de sommeil qu'il lui manquait. Donc, après avoir prit ma douche et avoir mangé mon petit déjeuner, j'appelle mes parents.

Conversation téléphonique :

- Bon matin, ma chérie. Réponds ma mère tout joyeuse.

Ça l'air de bien aller. Je m'inquiète toujours pour rien, moi!

- Maman! Comment sa va à la maison? Demandais-je.

- Ici, tout va bien, ma belle. Je suis toujours dehors dans mon jardin. Tu sais à quel point j'aime mon petit coin de paradis? Dit-elle avec le sourire dans la voix.

- Oui! Ça, je le sais bien! Tu as même réussi à donner ton amour de la nature à Léa. Dis-je sans réfléchir.

Après cette réplique, il y a un silence pesant. Dans ces moments, je sais que nous pensons tout les deux à la même chose. Léa, ma soeur. Je sens mes larmes monter à mes yeux. Ce n'est pas le temps de pleurer Mia Forester! Ma mère se racle la gorge, et continue la conversation.

- Oui, tu as raison. Elle aimait la nature, tout comme moi. La tranquillité, on adorait. Toi, tu étais plus comme ton père. Tu ne pouvais pas rester en place. Je pense que c'est pour ça, que vous avez aimez des sports tout à fait différents l'un à l'autre. Léa aimait se promener à cheval, dans la tranquillité de la nature. Toi, tu préférais nager, faire les compétitions. Tu aimais voir les gens que tu appréciait dans les estrades, pour t'encourager. Cela te donnais confiance en toi. Tu étais une des meilleures, tu aurais pu te rendre loin, si tu aurais continuée. Dit-elle avec tristesse.

Les larmes que j'avais aux yeux, son maintenant entrain de se déverser sur mes joues. Penser à ma soeur, me fait toujours autant souffrir. Même après tout ces années, je n'est pas pu passer par-dessus. J'ai pourtant essayée, mais c'est plus fort que moi. Ma soeur jumelle n'est plus là, ma moitié est partie à jamais. Je ressentirai toujours ce vide au fond de moi, je n'y peux rien.

- M... ma... maman, je dois te laisser. Dis-je en essayer de cacher mes pleures.

Chose qui ne fonctionne pas, car je renifle à presque tout mes mots.

- Oh ma jolie! Ne pleure pas. C'est normal de se remémorer ces beaux moments passés avec ta soeur. Dit-elle pour me consoler.

Mais je pleure toujours autant. C'est elle qui devrait être à ma place. Elle aurait du être ici aujourd'hui, et non moi. C'est par ma faute si elle est morte.

- Je sais à quoi tu pense Mia Forester! Ce n'est pas à cause de toi, qu'à eu lieu cette tragédie. Sanglote t-elle. Elle voulait seulement assister à une journée, qui était supposer être la meilleure de ta vie. Rien n'est de ta faute, ma belle.

Je ne réponds pas, j'en suis pas capable. Mes pleures augmente de plus en plus, sans que je puisse m'arrêter. La seul chose que je trouve à dire est:

- À bi... Bient...tôt. Dis-je en sanglotant avant de raccrocher.

Juste avant de peser sur le bouton pour fermer la conversation, j'entends ma mère répliquer, de ne pas raccrocher. Mais je l'ai fait pareille. Dans ces moments, je ne suis pas de bonne compagnie.