La petite Hortense Lavina des Lancourt.

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( Média de James Ashford plus tard. Ce chapitre est important pour la suite, ainsi que ce média représentant Hortense Lancourt. J'ai décidé que la fin de cette histoire ne sera pas pour tout de suite ayant des commentaires encourageants je pense que le cas James Ashford peut encore continuer lol ).


Flashback.

( Point de vue Hortense Lavina Lancourt )

Hortense Lavina Lancourt n'était ni la favorite de son père, ni la favorite de sa mère. Son père lui préférait sa sœur aînée, Hore et sa mère la deuxième plus grande, Horine Lancourt. Si bien que quelque fusse, Hortense était souvent mise de côté. Sa naïveté candide provoquait chez les autres un bien triste relent de moqueries. Hortense pouvait être si naturellement influençable, que même les domestiques ne pouvaient résister à l'envie de la taquiner. Pourtant bien qu'elle fusse ainsi, la jeune fille était aussi agréable qu'un rayon de soleil et aussi rafraîchissante que la brise de l'aube.

Cependant, cette petite tornade n'était connu intimement de quiconque et quiconque ne connaissait Hortense tant elle était invisible aux yeux de tous. 

Sauf pour une personne... une personne dont le nom était resté gravé dans sa mémoire. 

James Ashford.


C'était un jour de pluie contrariant. Le temps gris ne dépeignait que tristesse et morosité, quant aux gens ils s'empressaient d'un pas déterminé dans la demeure de ces parents. Ils allaient recevoir de la visite. Ces tuteurs avaient laissé entendre qu'ils s'agissait de certain " Ashford ". Ce nom à l'époque lui était inconnu, elle qui n'était seulement que sur ça treizième année, elle n'avait pas comme ces sœurs, fait son entrée dans les hautes sphères de la bourgeoisie anglaises. Cette famille n'était donc pas connu de celle-ci, encore moins les fils dont sa mère idolâtré le rang social et politique. Spécialement l'un d'eux qui revenait naturellement dans ces discussion, James. Elle espérait que celui-ci devienne le gendre de Hore ou Horine, l'une des deux ferait bien l'affaire avait-elle même clamé haut et fort.

Hortense savait considérablement que cette visite était plus qu'importante pour l'avenir de sa famille, de plus, elle n'avait pas était conviait aux dîner étant encore trop jeune pour le beau monde.

La jeune fille ne voulant pas paraître présomptueuse c'était tout simplement tut.

Lorsqu'il fut certain on convia tout les membres de la famille Lancourt à ce présenter au grand salon, les invités étaient arrivés et même le patriarche des Ashford leur avaient fait l'honneur de sa présence. Hortense Lavina entra la dernière et se retint par la suite pour rester humble et correcte, pourtant sa nervosité la rongea de presque toute part quand un regard d'une fixité troublante se posa sur elle.

James Ashford, aînée de la Famille Ashford, puissant héritier d'une longue lignée de sang noble et cousin germain de la famille royale d'Angleterre la sondait comme si sa présence était d'une horripilante surprise. Hortense intimidé baissa les yeux. Elle n'avait jamais connu de pareil chose, comment pouvait-il la haïr alors que nul ne la connaissait aussi bien qu'elle même. Le regard plongé sur le parquet ciré et poli du sol, Hortense Lavina se décida bien malgré elle d'affronter un regard qui intimement, la tétanisé.

Le jeune Ashford ne pipait mot. Les conversations allait de bon-train avec les autres membres de sa famille et les Lancourt, mais le jeune homme de quinze ans ne pipait mot. Il semblait réfléchir et écouter avec attention, mais l'illusion était assez subtile pour n'être pas forcément perceptible. La jeune fille le vit prendre un verre de vin et le boire après s'être essuyé les lèvres avec un mouchoir brodé; il avait les yeux rivés sur elle, toujours muni de cette indéchiffrable... haine ? Il semblait qu'il était silencieux pour laisser libre voix à sa colère pourtant le contraste saisissant de ces attrait le rendait supérieur à tout acte de méchanceté. Dans la lueur du jour, elle put se permettre de le trouver beau, mais comme elle aimait à le penser, tout homme était différent la nuit tombée. La jeune fille chassa cette idée de sa tête et fuyant un regard trop pesant, elle se concentra sur le physique de celui qui ne l'aimait vraisemblablement pas. Sa peau blanchâtre avait l'air d'être en porcelaine et il avait au menton une petite fossette bien masculine qui ne faisait que le rendre plus angélique et attrayant. Ses cheveux blonds et bouclés, qui étaient un rien trop longs lui retombaient librement sur les épaules. Ils s'étaient d'un blond si doré et nacré par la lumière du jour pourtant gris, qu'elle pensa un instant qu'il s'agissait d'une perruque à la fois parfaite est dans sa préparation extrêmement complexe.

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