Chapitre 9 : Nombreuses sont les définitions de "danger"

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Définition de danger :

Le sens du mot « danger » peut être ambigu. Souvent, les dictionnaires ne donnent pas de définitions précises du mot ou associent ce dernier au terme « risque ». Par exemple, plusieurs dictionnaires proposent « risque » comme synonyme de « danger », ce qui explique pourquoi un grand nombre de personnes utilisent indifféremment ces termes.

Il existe un grand nombre de définitions de « danger », mais la définition la plus courante dans le contexte de la santé et de la sécurité au travail est la suivante :

Un danger est toute source potentielle de dommage, de préjudice ou d'effet nocif à l'égard d'une chose ou d'une personne dans certaines conditions dans le milieu de travail.

Fondamentalement, un danger peut entraîner un préjudice ou des effets nocifs (aux personnes sous forme d'effets sur la santé, ou à l'organisation sous forme de pertes de biens ou d'équipement).

On confond parfois le danger avec le préjudice réel ou l'effet sur la santé qu'il a causé. Par exemple, la tuberculose peut être appelée un danger par certaines personnes, mais en général, la bactérie qui cause la tuberculose est considérée comme le « danger » ou « l'agent biologique dangereux ».

**Pdv de Chloé**

Certaines fois, on se demande pour quelle raison avoir fait certains choix. Et c'etait bel et bien la question que je me posai, attablée à une table de café, en face de Jordan Newton.

Quand il m'avait demandé de venir boire un café, en me tirant la manche, il m'avait fait penser à un petit enfant, timide. Et, lorsque j'avais croisé son regard, j'y avait aperçu, une certaine tristesse, ou encore du regret. Son regard m'était si lointain et si sincère, qu'en l'espace d'un instant, il avait suffit à me faire envie, et à me faire oublier tout le passé.

Dans le café où nous etiâmes installés, il y avait de la musique, une douce musique romantique.

"Quand tes douces mains, glissaient sur le piano.
Je me rapprochais de toi, mon souffle sur ta peau.
Je t'enlacais, te laissant frissoner.
Et, je te remplissais de mille baisers."

À l'entente de ses paroles, une citation de Platon me vint à l'esprit :

"La musique donne une âme à nos coeurs et des ailes à la pensée."

J'aimais beaucoup cette citation, je la trouvais réaliste, surtout pour cette chanson, puisque quand la musique est là, nos pensées ont des ailes, et s' envolent vers l'infini et l'haut de là des paroles chantées.

Il y avait une sorte de gêné étrange entre Jordan et moi. Peut-être parce nous ne savions pas de qui de nous deux devait commencer, ou plutôt parce que Jordan ne savait pas par ou commencer. Nous étiâmes venus bon nombre de fois, ici avec Jordan, ainsi nombreux étaient les souvenirs.
Je commençais à me deconnecter de la réalité et à partir vers l'infini de la réflexion, et, Jordan dut sûrement le voir, puisqu'il pris la parole, et se racla la gorge :

"Ehm, p-pour commencer, je voulais te dire que je suis d-désolé, d-de t'avoir causé autant de soucis au lycée."

Jordan avait la voix qui begayait légèrement, sûrement la peur de ma réponse, et la "honte" qu'il éprouvait en me faisant des excuses, son estime avait été frappée.

Je ne put me retenir, et esquissais un sourire qui devait être flamboyant.
Jordan posa sa main sur la mienne, puis me la pris, me faisant fremir.
Je fermai les yeux, et respirait, l'air frais du Bonheur.

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