Chapitre 1: Indemne ?

98 3 0
                                    


Nous sommes en fin d'après-midi dans la ville de Magnolia, et plus exactement dans la célèbre guilde de Fairy Tail...

Mirajane: Levy ! Tiens je t'ai trouvée une mission qui sera parfaite pour toi, j'en suis certaine !

Levy: Merci Mirajane, c'est très gentil de ta part d'avoir pensé à moi.

Elle prit la mission dans ses mains et partie dans un coin de la taverne, afin de réfléchir à une solution logique. Elle ressemblait vaguement à une sorte de devinette, un peu comme celle de la dernière fois qui avait changé les corps et les esprits des autres, mais cette fois-ci, elle semblait moins complexe et beaucoup plus sûre. La guilde, elle, était pour une fois calme, car la plupart des mages étaient partis en mission, il devait rester Elfman, Erza, Mirajane et quelques autres. Levy observa la mission, 100.000 joyaux! C'était chère payer pour cette simple mission! Elle décortiqua alors chacun des mots, chacune des phrases, et analysa tous les double sens. Elle les changea de place, et les inversa jusqu'à trouver une formule qui semblait correcte.

Levy: Enfin !

Après au moins trois bonnes heures de dur labeur, elle récita les quelques phrases qu'elle avait trouvée, un cercle magique apparut alors peu après...


Au même instant, dans un autre monde, une autre ville nommée New York...

?: Reviens ici sale garce !

?: Bien sûr pour que tu puisses me butter! Enfoiré !

Elle courait entre les passants, alors que les deux autres hommes armés de flingues l'a poursuivaient. Ses cheveux étaient longs, bouclés et bruns, ils ressortaient sous l'éclairage massif des lampadaires de la ville, une peau couleur chocolat au lait et des yeux d'un brun profond. Son corps, lui, semblait fin et musclé. Elle empruntait plusieurs petites ruelles, qui débouchait dans d'autres rues . New York était sa ville après tout, elle avait grandi ici et elle l'à connaissait par cœur.

?: Viens on tourne ici, on pourra plus facilement la coincer!

Elle ne les voyaient plus, elle était soulagée enfin elle s'était débarrassée de ses deux tocards, elle tourna alors dans une autre ruelle, la n°13, mais, à sa grande surprise ce n'était pas une ruelle mais une impasse, ça mémoire commençais-t-elle déjà à flancher? Elle allait revenir sur ses pas mais il était trop tard... Les deux gros chats venaient de la coincer et elle, elle était devenue la pauvre petite souris, qui venait de se prendre par ces gros matous, en train de piocher dans le frigo.

?: Tu comptais allée où ma puce? T'aurais pas oubliée de nous donner les petites informations qu'on t'avais demandé de récolter par hasard ? T'as sérieusement cru que tu avais la moindre petite chance de t'enfuir ?

?: Je comptais aller dans un endroit sûr, où je n'aurais plus à voir la sale gueule de Cobra ainsi que la tienne Carlos! Et les infos... Tu peux courir, jamais, vous ne les obtiendrez!

Carlos: Toujours aussi aimable à ce que je vois ma petite Nami-chan, allé on te demande juste quelques petites informations tu peux bien nous les dire! Et puis après tout ce qu'à fait Cobra pour toi, tu le remercie ainsi? Allez je sais que tu as confiance en nous, on t'a un peu aider aussi! Alors vas y montre nous ta reconnaissance et exprime toi, tout le monde t'écoute !Le Boss t'apprécie beaucoup mais ça ne l'a pas empêché de nous donner carte blanche à ton sujet, alors je vais être clément. Je compterais jusqu'à trois et à trois si tu t'obstines toujours à ne rien dire,je flingue ta jolie petite face. 1 !

Des sueurs froides commençais à couler sur son visage, elle savait que cette fois il était sérieux, mais en même temps elle savait que si elle lui dévoilait les infos se serait pire pour chaque pays et ça, elle ne pouvait pas laisser faire alors tant pis une perte humaine contre la survie de tous était beaucoup plus importante. Il n'y avait donc plus d'échappatoires, et c'était bizarre de ce dire qu'elle allait mourir à 19 ans, c'était bizarre de savoir que Cobra ne la portait plus dans son cœur et ça faisait bizarre de mourir telle une héroïne de comics.

Carlos: 2 !

Elle commença alors à s'asseoir sur ses genoux, plaça ses mains sur ceux-ci et présenta sa tête telle une reine. Elle marmonnait des paroles, une prière probablement, elle ferma les yeux et commença à pleurer. Ses larmes coulèrent sur ses joues, et elle tremblait de tout son être.

Carlos: 3 !

Il appuya sur la gâchette, ses larmes coulaient sur ses fines mains... Mais alors que le dernier jugement allait se faire, une lueur aveuglante l'enveloppa, Carlos lâcha alors son arme afin de protéger ses yeux de cette lumière qui lui défonçait ses pupilles. La balle elle se rapprochait très rapidement de son front, quand, son corps disparut. Laissant en souvenir à cette homme la balle qui avait traversée le vide et qui devait lui être implantée dans son front...



L'étrangèreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant