Tempête.

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« Cœur qui soupire n'a pas ce qu'il désir »

...

Cela fait en tout une semaine qu'Harry est chez son ami. Le petit adolescent se senti plus confiant de jour en jour, il se déplaçait même à son aise dans la propriété de Louis. Il jouait dans le jardin avec Asmar sous la surveillance de Camille qui retrouva le sourire au fur et à mesure grâce à Harry. Ce dernier fit même un tour avec la jeune fille dans les écuries de Louis pour voir, pour la première fois, un cheval. Le mécheux essayait de consacrer plus de temps à son ami, il a mit pour cela un planning pour gérer son temps c'est-à-dire : le matin Harry prenait son petit déjeuner avec lui puis il allait dans le jardin pour jouer avec le petit siamois de son ami sans oublier Camille. Harry passait vraiment du bon temps avec la jeune fille qui était aux petits soins avec lui, toujours derrière son dos pour soigner une éraflure, essuyer une larme ou encore rire avec lui. Quand à Louis, il profitait que Harry soit dans le jardin pour travailler ses partiels qui se rapprochaient de plus en plus. Puis quand arriva le temps du déjeuner, Louis le prenait avec son petit bouclé des fois dans le jardin ou dans la salle à manger mais aujourd'hui Harry décida de mettre une exception. Il voulait faire la surprise à son ami et lui apporter le déjeuner à son bureau. Harry voulait le remercier pour tout ce qu'il a fait pour lui en lui apportant à manger jusqu'à son bureau pour que son ami ne se fatigue pas et pour qu'il soit fier de lui.

Avec l'aide de sa nouvelle amie, il prépara dans le joie, le rire et la bonne humeur un bon plateau composé de deux plats de purée de pomme de terre ainsi que deux bon steaks pour eux deux. Camile aida, bien évidement, Harry à transporter la nourriture jusqu'au bureau de Louis et souhaita bonne appétit au bouclé en lui embrassant la joue gauche.

Louis était concentré sur ses cours, il lisait ses notes et consultait un livre de psychologie en même temps, il était vraiment profondément concentré sur son travail qu'il n'entendit pas la porte s'ouvrir puis se fermer derrière son chaton, comme il aimait l'appelé. Ce dernier s'avança vers Louis en faisant tous son possible pour ne pas renverser le plateau de nourriture. Ce n'est que quand Harry déposa le plateau de nourriture devant son ami que celui-ci sursauta de surprise. Il était agréablement surprit que son Harry ait pensé à lui et lui ramener son déjeuner. Louis ferma alors tous ses manuelles et rangea toutes ses notes en veillant à ce que tout soit dans le bon ordre pour qu'il ne perde pas ses précieux cours. Le mécheux fit signe à Harry de venir se mettre confortablement sur ses genoux. Le petit bouclé esquissa un large sourire et vient se lové avec le plus grand plaisir sur les cuisses du plus âgé et commença à manger. Louis mangea sa nourriture avidement car il avait extrêmement faim contrairement à son petit Harry qui avala petite bouchée par petite bouchée craignant l'étouffement. Mais ce qui devait arriver arriva.

Harry avala de travers un bout de viande beaucoup trop gros pour sa petite bouche et il s'affola. Il toussait de plus en plus fort cherchant à dégager sa gorge, il cherchait son air. Harry détestait perdre son souffle car avant quand cela se produisait il avait le sexe d'un de ses violeurs enfoncé de plus en plus profondément dans sa petite bouche. Harry haïssait cette sensation car elle lui rappelait de douloureux souvenirs. Son pauvre ami était totalement paniqué, il lui tapotait le dos mais cela ne semblait pas marcher car Harry pleurait. A la hâte, Louis tendit le bras pour prendre l'un des verts d'eau mais il le manqua et le renversa. Pourtant il s'en fichait royalement de l'état de son bureau car Harry était sa priorité. Louis lui tendit alors le second vert et l'aida à tout boire. Harry soulagé d'avoir enfin la gorge dégagée soupira. Il inspirait et expirait de grandes bouffées d'air pour rassasier ses poumons en manque.

- Ça va aller. Le rassura son ami de sa voix douce en essuyant ses joues mouillée de armes.

L'ainé serra son petit protégé dans ses bras en essayant de le calmer ce qu'il réussit à faire.

Les deux amis pensèrent que le mal était derrière eux, que la tempête s'était calmée. Louis était persuader que son Harry était dorénavant serin et qu'il se sentait bien assit comme cela sur ses genoux. Le petit bouclé, lui, n'était pas de cet avis. Il n'était pas aussi à l'aise comme avant quand il se trouvait sur son ami, il avait un pressentiment. Un très mauvais pressentiment. Il avait peur et il tremblait. Son corps tout entier était secoué et ses yeux se remplirent petit à petit de larmes. Le souvenir qui lui ait venu quand il s'étouffait y était pour cause parce que s'était un vécu très douloureux et le petit bouclé avait honte de ce que lui faisait les hommes payés par les médecins du camp, mais aussi intense que ce ressentie était, il en était qu'a minorité de la cause du chamboulement d'Harry. Ce qui le dérangeait était tout autre chose, s'était comme si le danger était là, qu'il arrivera d'un moment à un autre. Harry était persuadé que le danger allait franchir la porte de la pièce et lui faire du mal à lui ainsi qu'à son ami. Il avait peur pour lui mais sa crainte était beaucoup plus grande pour Louis parce que lui il était habitué à recevoir des coups et il était capable de les encaisser mais pas son Louis.

Il resserra alors sa prise sur la taille de Louis et laissa ses larmes couler. Il était mort de frayeur mais ce n'était pas juste cela. Il savait qu'une tempête, un danger guettait son ami et il était faible, il ne servait à rien en étant ainsi. Dans la minute il pria pour avoir des muscles et de l'assurance pour pouvoir aider Louis mais s'était malheureusement impossible. S'était la réalité il était faible et ne pouvait pas aider la personne qu'il aime, il était faible et ne pouvait pas s'opposer à la tempête qui les menaçait.

La fameuse tempête arriva d'un coup ouvrant la porte dans un fracas assourdissant quand celle-ci frappa contre le mur. Les deux amis sursautèrent et tombèrent par terre. Louis se mit en boule contre la fenêtre et se mit à trembler comme une vulgaire petite feuille quand il vit les yeux de son père tourner au noir tellement la rage qu'il ressentait en lui était importante. Harry reconnu tout de suite l'éclat derage et de colère dans le yeux effrayants de l'homme et se mit devant son ami pour le protéger pace qu'il a remarqué la frayeur qu'a son ami vis-à-vis de cette personne.

Troy arqua un sourcil en voyant le déchet, comme il aimait appeler ces personnes, qui devait normalement servir d'esclave à son fils, puis il rit à gorge déployée. Son rire n'avait aucune once de chaleur ou de douceur mais il était charger de colère et de méprit, on aurait dit que c'était un sorcier maléfique qui s'extasiait devant ses futures victimes. Il s'arrêtait de rire soudainement en plongeant le bureau de son fils dans un silence glacial et c'est en reprenant son aire hautin et son expression sérieuse qu'il daigna enfin prononcer ses paroles.

- Vraiment Louis, il n y'a que toi qui peux considérer ses déchets comme des être à part entière. Cracha Troy de sa voix roque aiguisée comme un pointe de flèche vous transperçant le corps.

Il s'avança alors vers les eux garçon et fit signe à Harry de se déplacer de son chemin mais le jeune bouclé ne lui obéit pas à ses risques et périls. Il releva alors son regard et soutenait le regard haineux du père de son ami.

- Que s'est beau, n'est-ce pas mon fils. Ironisa l'ogre. La petite nature aime son maitre... Maintenant écartes-toi de mon chemin !

Troy saisit le petit bouclé par son bras et le propulse sur le mur adjacent. La tête du petit garçon rencontre la paroi de bêton dans un fracas et il perdit conscience instantanément sous les yeux rouges et les joues totalement inondées de larmes de son tant aimé ami. L'ogre qui servait de père au pauvre Louis s'avança alors vers son fils ne le lâchant pas du regard. Il prit en suite place sur le siège de son fils et mit ses pieds croisés sur la surface en bois. Louis se rua sur son Harry pour voir son état et arrêter le saignement incessant qui s'échappait de la tête du petit garçon mais Troy l'arrêta en le saisissant fortement par ses cheveux devenus trop longs le lui causant un crie de douleur.

- Ou comptes-tu aller comme ça, fiston ?

- Lâches-moi ! cria Louis d'une voix enrouée trahissant ses pleurs.

A suivre .....

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Désolée pour le retard vraiment excusez moi, j'adore écrire cette histoire elle me tient vraiment à cœur Mais en ce moment je ne trouve pas le temps. Je vous promet de m'y remettre et d'organiser mon temps entre la fac et l'écriture et comme ça vous aurez vos chapitre dans les temps.

Dites moi ce que vous pensez en commentaire, votez et partagez s'il vous plaît.

Sujet 1.0Où les histoires vivent. Découvrez maintenant