Un vieil homme explique à son petit fils que chacun de nous a en lui deux loups qui se livrent bataille
le premier loup représente la sérénité, l'amour et la gentillesse.
le second loup représente la peur l'avidité et la haine
" le quel des deux loups gagnera ? Demanda l'enfant "
" Celui que l'on nourrit. Répondit le grand-père. "
...
Ce fut aux environs de onze heures que la petite famille se leva, Harry était encore un peu fatigué, car il n'aimait pas se rendormir après s'être levé de bonnes heure. Il allait replonger dans son sommeil rêvant d'un monde meilleur, mais Louis fit irruption dans la chambre en remuant le biberon de Daniel et le donna à Harry qui se réveilla cette fois-ci pour de bon des étoiles plein les yeux. Louis positionna alors le bébé dans les bras du bouclé en lui expliquant comment tenir l'enfant en le positionnant bien sur ses genoux calant sa tête confortablement au creux de son bras. Il lui dit de le mettre en position semis assise pour que lui et Daniel puissent se regarder. Le mécheux testa la température u lait sur le dos de sa main avant de le donner à Harry qui allaita son fils en se regardant dans les yeux. Le petit vient poser sa main sur celle d'Harry et la serra un peu.Entre Harry et le petit une connexion se forma. Le bébé fixa Harry tout en tétant sans le lâcher des yeux une seul seconde, le bouclé versa une larme malgré lui en repensant à son propre fils qui devait vivre le même calvaire que lui dans ce foutu camp nazis.
Louis choisit cet instant pour entrer dans la chambre pour prendre ses clefs. Il fut surpris en voyant Harry pleurer, peut être qu'il était juste bouleversé par cette nouvelle expérience, mais, franchement les sauts d'humeur du bouclé commencent à l'agacer. Il prit alors son trousseau de clefs et sortie à toute vitesse de l'appartement avant que Harry ne s'aperçoive de son changement d'humeur.
Daniel, ayant fini de boire son lait s'endormit dans les bras du bouclé qui le berça encore un peu avant de le mettre au lit. L'appartement était maintenant plat et silencieux, le bruit que faisait Louis avec les casseroles en cuisinant ne parvenait plus aux oreilles du bouclé ce qui indiquait que son ami n'était plus à la maison. Il était un peu déçu que Louis partait sans lui dire au revoir, mais il ne s'en préoccupa pas longtemps. Il se positionna devant la fenêtre de la pièce principale et attendit que son ami rentre enfin, comme le ferait une femme avec son mari.
Le mécheux, de son côté, alla à l'université même si il n'avait pas cours ce jour là, il avait besoin de prendre l'air et de faire le vide dans son esprit. Arrivant au centre de la faculté, il prit place sur un banc. Le mécheux remarqua que l'université était très agité aujourd'hui, les étudiants allaient et viennent de tous les sens. Ils se bousculaient puis s'insultaient de tous les noms avant de se serrer la main ou même de se prendre dans leurs bras. Louis fit une grimace de dégoût en voyant ce comportement tellement enfantin. Cependant, sa tête le ramena vite fait à la raison pour laquelle il avait quitter la maison si brusquement. Il jura dans sa barbe en se rappelant qu'il n'avait même pas dit à Harry qu'il allait sortir. Il s'en voulait parce qu'il savait que le bouclé allait s'inquiéter pour lui, qu'il allait prendre peur. Si seulement il pouvait réparer cette erreur il le ferait sans hésiter, mais c'était trop tard maintenant. En pensant au bouclé, il ne comprenait pas pour quoi il le surprenait tout le temps entrain de pleurer, il ne comprenait pas pourquoi il ne voulait pas lui parler de ce qui s'était passé dans le camp. Même si le mécheux engageait la conversation Harry faisait tout pour passer à autre chose. Louis savait que le vécu de son protégé était lourd et endurant pour lui, et même si c'est dur pour lui d'en parler, il le devait pour faire un trait sur sa douleur, pour partager le fardeau avec lui.
Après être resté sur ce banc presque une demi-heure à réfléchir pour trouver une solution, Louis se leva finalement les fesses tout engourdies se dirigeant vers chez lui à fin d'avoir une sérieuse discussion avec son compagnon.
Harry, de son côté, resta près de la fenêtre. Il était très absorbé par le mouvement des gens, la course des voitures et la dense des arbres. De nature très observatrice, le jeune bouclé s'amusa à compter le nombre de véhicules qui venaient de passer sous son immeuble. Cela fait, cependant, une heure et le quarte que Louis était absent, mais le temps passa très vite pour Harry étant distrait. Daniel, lui, était nourri, propre et bercé par son second papa et il dormait à poings fermés dans la chambre. La maison était plongée dans le calme et la quiétude ce qui plaisait vraiment à Harry. Il aimait profiter de la sérénité de l'endroit, cela lui permettait de se vider la tête et d'être apaisé loin de tout stresse. Néanmoins, tout le stresse du bouclé revint d'un seul coup en entendant frapper à la porte. Pensant que c'était Louis qui était rentré, il alla ouvrir la porte mais fut surprit en tombant sur une fille.
- Louis est là ? Le questionne-t-elle en regardant derrière son épaule.
- Non. Fit Harry en refermant légèrement la porte croyant que la fille allait partir.
Mais, la fille, n'étant nul autre que Briana, poussa Harry et entra à son aise dans l'appartement et se dirigea vers la chambre de Harry et Louis sortant avec Daniel dans ses bras. Les yeux d'Harry s'agrandirent tel des soucoupes en la voyant avec son fils dans les bras. Une rage monstre maillée à son instinct maternel le poussèrent à se précipiter sur la jeune fille et lui arracher son bébé de ses bras.
- Mais tu joues à quoi, rends-moi mon fils ! Crie-t-elle en s'avançant pour prendre le petit bébé pleurant dans les bras du bouclé.
- Daniel est le... est mon fils, le fils de Harry et Louis !
Harry répondit d'une voix roque et méconnaissable en foudroyant la jeune femme de son regard le plus froid pendant que celle-ci riait à gorge déployée.
- De un, ce n'est pas ton fils. De deux TU ne me cries pas dessus et de trois ce n'est pas à toi que Louis avait fait l'amour pour avoir ce bébé.
- Non, Daniel être le fils de Harry c'est Louis qui a dit, toi être personne... PERSONNE !
Un bref instant, Briana prit peur mais elle se reprit en arborant une expression hautaine sur son visage avant de pousser Harry qui trébucha et tomba sur son dos.
...
Franchement c'est l'un des plus mauvais chapitres que j'ai écrit. Il est court et plat et je m'en excuse. Je traverse en ces temps une dure période et je vous assure que je fait de mon mieux pour vous donner le meilleur de moi même. En ce moment ça ne va pas très bien pour moi à l'université. Mais bon dites moi ce que vous en pensez, laissez moi vos votes et vos commentaires.
Et encore merci d'être encore plus nombreux à me lire à voter et à commenter vous êtes les meilleurs.
All my love xx..
Sarah.