Chapitre 1 : Le commencement.

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Bonjour à tous !

Voici une nouvelle fiction toute fraîche... Enfin, j'ai déjà plusieurs chapitres d'écrit !

Ceci sera un HPSS, comme toujours avec moi, avec en second plan un RLSB, mais très en second,ne vous leurrez pas trop non plus...

Hum... Les premiers chapitres sont un peu sombres vu que Harry se fait battre par son oncle et, mis à part qu'il va être prostitué – je n'irai pas plus loin que la fellation, pas de viols ou alors, plus tard, et pas dans les détails – toujours par son oncle, ce sera tout. Donc, ne vous fiez pas trop au début, ce sera après ce qui sera vraiment l'histoire je trouve, mais il faut bien la commencer par un bout !

Le blabla habituel, les personnages ne sont pas à moi mais à J.-K. Rowling et /!\ CECI EST UN YAOI, DONC ÂMES SENSIBLES OU HOMOPHOBES, LA PORTE EST PAR LÀ !!!/!\ Voilà !

À vos yeux ? Bonne lecture !

HPSS x HPSS x HPSS x HPSS x HPSS x HPSS


Chapitre 1 :

Ils étaient fin juin et tous les élèves étaient plus que joyeux. En effet, c'était la fin de l'année scolaire et tout le monde retournait dans sa famille. Néanmoins, si les visages reflétaient la bonne humeur, tous les cœurs n'y étaient pas forcément. Certains ne voulaient pas quitter leurs amis, d'autres avaient peur de recevoir la Marque ou encore étaient terrifiés de ne pouvoir revenir l'année prochaine à cause des croyances populaires. Celles-ci avaient été engendrées essentiellement à cause, encore une fois, de la Gazette du sorcier. Celui-ci, depuis plusieurs semaines, stipulait que Dumbledore était sénile, vieux,... Bref, qu'il fallait le remplacer de toute urgence.

Harry, de son côté, avait toujours cru en ce vieil homme et ne pensait pas tout ce qui était dit sur son compte. Cependant, il devait bien avouer que, parfois, il le mettait hors de lui.

Pour l'amour de Merlin, qu'est-ce que ça pouvait bien faire s'il habitait, non pas – plus – chez son oncle, mais chez ses parrains ? Et qu'on ne vienne pas lui parler de cette fichue protection du sang car, de toute façon, Voldemort avait son sang dans ses veines ! C'était donc idiot. Mais ça, le directeur ne voulait pas en entendre parler : il irait chez ses tuteurs, un point c'est tout !

-Tu nous écriras ? demanda, pour la vingtième fois au moins, sa meilleure amie.

-Oui, Mione'.

-Si tu as le moindre problème aussi ?

-Oui...

-Et tu feras attention à toi ?

-Évidemment ! soupira-t-il.

-Et n'oubli..., continua la jeune fille avant qu'un certain rouquin ne l'arrête.

-Ne t'en fais pas, ce n'est que quelques semaines, il ne va rien arriver en si peu de temps !

Après avoir jeté un regard noir à son meilleur ami, Hermione acquiesça et arrêta – contre son gré – de le questionner ainsi.

Quelques embrassades et accolades plus tard et Hermione et Ron partirent chez ce dernier. Les parents de Hermione avaient décidé d'aller en Egypte pour les deux mois et puisque leur fille avait déjà vu le pays, elle préféra rester chez les Weasley comme ils le lui avaient si gentiment proposé.

Lorsqu'il se retourna,Harry déglutit.

-Bonjour, mon oncle. Je suis ...

-Je me contre-fiche de tes excuses minables, mon garçon, on a déjà perdu assez de notre précieux temps comme ça, ta tante et moi, pour venir te chercher ! Grouille-toi un peu !

Harry ne se le fit pas dire deux fois et grimpa dans l'auto dès que sa valise fut dans le coffre. Heureusement qu'il se tenait bien à la portière car son oncle n'attendit même pas qu'il l'eut fermée qu'il s'élançait déjà sur la route. Quand ils furent arrivés au quatre Privet Drive, le survivant ne dit rien et fit ce qu'on lui demandait quand Vernon le congédia dans sa « chambre ». Sa cellule devrait-il plutôt dire, puisqu'une chambre en tant que telle n'avait ni barreaux à sa fenêtre, ni cette « cage » à la place du lit, ni même cette barre en fer longeant un des murs. D'ailleurs, à quoi servait-elle ? C'était nouveau, peut-être son oncle voulait-il faire quelques aménagements ?

En entendant le bruit des marches désignant l'arrivée imminente de Vernon, Harry cacha ce qu'il pouvait le plus vite possible sous une linguette de bois servant de plancher et se fit tout petit dans un coin de la pièce.En jetant un regard à sa droite, il aperçut un miroir.

« Soirée relooking peut-être ? » pensa-t-il ironiquement.

-La nouvelle déco te plaît-elle, mon garçon ? Il manque un seul miroir, mais il sera là d'ici peu ! En attendant, va contre ce mur-là ! aboya-t-il en désignant celui ou était accroché la barre en fer. Tu mérites une punition, mon garçon ! Jamais, je ne veux plus qu'un de tes petits copains bizarres ne se permette de faire de... de... de ça chez moi !

Chaque mot était ponctué par un puissant coup de ceinture sur le dos. La première fois, il avait crié, aussi bien sous le choc que sous la douleur, et, au bout des vingts coups, toujours de plus en plus forts, il avait le dos qui lui brûlait. Il pouvait même dire au centimètre près où elles se trouvaient toutes.

Sans un mot, son oncle sortit de sa chambre et se rendit au salon.

Le miroir n'allait plus tarder à arriver...

Juste au moment où il pensait à ça, il entendit dehors deux coups de klaxon. En jetant un regard à la montre toujours accrochée à son énorme poignet, l'homme fut rassuré quand il se rendit compte que sa femme en aurait encore pour deux heures au minimum. Et son fils ne rentrerait pas aujourd'hui.

C'est donc d'un pas léger – du moins aussi léger que celui d'un éléphant – que Dursley se hâta d'aller ouvrir la porte. Avant que le gamin – ne devant même pas avoir vingt ans, ni beaucoup d'argent d'ailleurs – ne commence à parler, il l'arrêta.

-C'est pour le miroir, je sais, dit-il. Je tiens à préciser une chose, en sortant de cette maison, je veux que vous oubliiez tout ce que vous y aurez vu.

-Mais je ne...

Déjà bouillant de rage, Vernon sortit deux billets de 500 € qu'il tendit au jeune homme.

-Vous ne voulez toujours pas la boucler ?

-Euh... si, si...

-Bien, dans ce cas, entrez.

Le garçon suivit le plus âgé afin de savoir où se trouvait la chambre.

Il ne dit rien en voyant les tas de verrous sur la porte, à l'extérieur.

Il ne dit rien lorsqu'il vit l'allure de la pièce.

Il ne dit rien quand le garçon lui lança un regard suppliant, toujours recroquevillé sur le sol vu que la « cage » n'était pas ouverte.

Il ne dit rien lorsqu'il mit le miroir à la place indiquée, ni même quand, du coin d'œil, il vit le coup de pied jeté sur le garçon.

Il ne dit rien non plus quand il se fit raccompagner, puis de nouveau payé, et pour son silence, et pour la livraison.

Non, il ne dit rien, et ne dirait rien à personne car il sentait que ce « Vernon Dursley » avait l'air dangereux.

Justement, ce dernier montait les marches pour rejoindre son « petit protégé ».

La partie pouvait enfin commencer...

HPSS x HPSS x HPSS x HPSS x HPSS

Et voilà pour un premier chapitre, je vais sans doute poster le second d'ici quelques minutes, après avoir fait le speech de présentation – résumé, rating, etc...

Verdict ? Commentaire ? Merci !

Entre vie et amour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant