Magic spell 2.3

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Attention ce chapitre contient une petite scène sexuelle. C'est pour cela qu'il est un peu plus long que les précédents.

Lorsque je descends du bus, j'aperçois au loin une petite maison, avec une grande cour. Elle était très mignonne et je me surpris à penser que le métier de professeur rapportait beaucoup. Je chassais ces pensées et jetais un coup d'œil sur la boîte aux lettres noire cherchant à savoir si j'étais au bon endroit. 

M. HEMMINGS Luke

MME. HEMMINGS PHEBEZ Sophia

Je ricanais légèrement au nom de jeune fille de la femme de mon enseignant. Phebez me faisait penser à la marque de désodorisant febreze. Je ne devrais pas me moquer après tous j'aurais pu hériter d'un nom aussi piteux que le sien. 

Je passais la boîte du petit couple et avançais sur le chemin menant jusqu'à une porte en verre. Je pouvais déjà distinguer une grande pièce où une table, elle aussi en verre, entourée de 6 chaises. Je pris mon courage à deux mains et appuyais sur la sonnette. Luke arriva peu de temps après pour m'ouvrir.

«Oh bonjour Iliana ! Je suis ravie de te voir  !» Il me fit une petite accolade et je me mis à rougir.

«Bonjour Luke, je suis contente aussi.» Je lui répondais enthousiaste. 

J'entrais dans sa maison et découvrais une pièce très jolie avec une cuisine moderne. J'aimerais vivre dans une maison comme celle-ci. J'ai un appartement, serte avec 4 pièces, mais très petit, pourtant je n'ai pas beaucoup d'affaires. Il m'arrive souvent d'enjamber des objets. 

«C'est très joli.» Je chuchotais.

Il me remerciait et me servait un jus de raisin en me proposant de m'asseoir sur une chaise, je n'osais à peine toucher la table, ne voulant pas faire une trace sur le verre. Hemmings se moquait de moi pendant un court instant me regardant faire. Je devais passer pour une idiote à regarder partout autour de moi et de faire attention à mes gestes et à où est-ce-que je posais mes mains. 

J'appréhendais le moment où mon professeur de philosophie allait annoncer mes résultats. Mais après tous j'étais venue pour ça donc je ne pouvais pas esquiver le sujet indéfiniment.

«Alors hum... Je vais chercher tes notes, je reviens.» 

Il partait donc à côté de la salle et montait les escaliers en courant. Je ne pouvais pas m'empêcher de jeter des coups d'œil de ses épaules jusqu'à ses jambes. Elles étaient fines mais grandes se rendant proportionnelles à son large dos. Il avait aussi, je devais me l'avouer des très jolies fesses bien rebondies. Il descendit aussi vite que pour monter et revient s'asseoir à mes côtés avec un large sourire. 

«Alors pour tes notes, tu as eu... Attention !»

Il tapait ses doigts contre la table mimant un roulement de tambour me faisant rater un battement. Il allait me les dire ces résultats merdiques ! 

«64 points ! Tu te rends compte ! Sur 100 ! Je suis vraiment fière de toi je savais que ça allait marcher !» Il criait heureux.

Oh mon Dieu ! 64 points ! C'est énorme pour moi, je me jetais dans les bras de Luke dans l'excitation, il riait de ma réaction et resserrait mon étreinte. J'étais tellement heureuse, je me demandais si mes parents eux aussi seraient fières de moi...

Point de vue Luke

Bordel que j'ai chaud. Lorsqu'elle m'a pris dans ses bras j'ai senti sa poitrine toucher la mienne. Et quand elle est arrivée, j'ai eu le malheur de tourner mon regard sur son fessier. Son jean taille haute la moulait tellement qu'on pouvait deviner sa fine culotte. J'imaginais à comment elle pourrait être sans son pantalon. Elle doit être surement très belle, ses courbes sont jolies et elle n'a pas de trop grosses fesses ni de trop petites. Je sens des gouttes de sueur couler de mon front. Mes yeux s'écarquillent quand je me rends compte de ce que j'étais en train de penser. Ce n'est pas possible. Malheureusement si, vu comme je me sens serré dans mon boxer.

«Oh non pas ça...» Je chuchote et me retire des bras de mon élève et me lève de la chaise sur laquelle j'étais assis, je baisse les yeux et je vois cette bosse imposante. 

Oh mon Dieu,  j'ai envie de laisser ça comme c'est, mais putain, si elle s'en aperçoit qu'est-ce-qu'elle va dire ? Surtout que je ne pourrais pas la dissimuler longtemps et j'ai vraiment besoin d'être soulagée.

«Excuse moi... Je... Je dois aller aux toilettes. Je reviens vite.» Je rougis de plus belle en la regardant, elle me fixait ne me comprenant pas avec des yeux innocents. Tellement innocents que j'aimerais lui enlever son innocence. Je deviens malade de penser à des choses comme ça.

Je me dirige brutalement et maladroitement dans ma salle de bain. Je rabats la cuvette des WC, m'installe dessus, je mets ma tête dans mes mains essayant de trouver une autre excitation mais rien. Même en pensant à la femme qui partage ma vie. Je n'arrive plus à diriger mon esprit sur quelqu'un d'autre qu'Iliana. Les images de ses fesses moulées me reviennent, rendant mon sexe de plus en plus douloureux. Je cède baisse mon pantalon et mets une main dans mon boxer avant d'empoigner mon membre dur et rougis. 

Je commence une série de vas et viens, m'imaginant que ce soit les mains de ma femme mais non les seules mains que je vois sont fines, jeunes, douces et surtout, elles ne portent pas de bague de fiançailles . 

C'est elle qui obsède mes pensées. C'est mal, mais tellement bon en même temps. Mes yeux se ferment automatiquement quand j'accélère ma main. J'essaie d'être discret vu que Iliana est juste à côté mais je ne peux m'empêcher de gémir son nom. Je suis proche. 

J'atteins l'orgasme, me vidant dans mon boxer. Me remettant à peine de mes émotions, je me déshabille et rentre dans la cabine de douche directement.
Je n'arrive même plus à penser correctement, est-ce que ça vient réellement de se produire ?
Moi, me branlant comme un obsédé sur une cuvette de toilette et qui plus est, pensant à mon élève ?

Je commence à avoir un sérieux problème.
Je ne sais pas si c'est parce que c'est la seule fille que je fréquente depuis que ma fiancée est partie en déplacement depuis une semaine pour le boulot, mais putain, elle m'attire de plus en plus. Je ne devrais pas, je ne veux pas tromper Sophia, mais je sais que bientôt je ne pourrais plus aller contre ça.

Je me dépêchais de me sécher et de me rhabiller pour rejoindre mon écolière, mais lorsque j'arrivais à la hauteur de la salle à manger, je trouvais juste un verre de jus de raisin à moitié bu. Mais aucune présence féminine. Son sac lui aussi n'était plus sur le petit meuble en marbre où il était précédemment. Serait-elle partie ?

Yes, sir. II l.hOù les histoires vivent. Découvrez maintenant