J'étais dans la voiture, devant se bâtiment, le quartier où j'avais grandis, rien n'avait changer toujours les même choses, les mêmes personne. Je pris une grande inspiration avant de me retourner vers Aya qui jouer avec sa console.
Moi - Aller on y va !
Je me disais ça pour me rassurer et m'encourager à ne pas faire demi tour. On descendait de la voiture, et je voyais au loin la voiture de mon frère, il était donc chez mes parents.
Aya me prit par la main et on alla vers mon bâtiment. En bas il y a avait quelque tête qui m'était familière des petits frères de telle ou telle personne.
On entra dans le hall et il me regardèrent et cessèrent de parler. Je passa devant eux sans les saluer, déjà la façon qu'il m'ont regarder ne m'a pas plus. Ils doivent être beaucoup plus jeune que moi, et ne connaissent rien à la vie. Ce n'est pas comme ça que l'on gagne sa vie c'est pas en vendant la mort au gens qu'on connais la vie. Si ils doivent aller en prison c'est qu'il l'on chercher comme pour moi quand j'ai donner mon corps Mounji les conséquence je les ai chercher.
Aya - Maman pourquoi il reste ici ?
Moi - Je ne sais pas hbiba, aller vient.
On arrive devant la porte de chez mes parents, Aya me regarda intriguer. Je pris une très grande inspiration avant de sonner a la porte.
Un petit ouvrit la porte, il ressembler beaucoup à mon frère, j'en déduis donc que sa doit être son fils.
Il ouvrit la porte pour nous laisser passer et j'entendis ma mère demander qui c'était.
Sa voix me fit des frissons dans tout le corps. Ma mère et sa petite voix. Les larmes montèrent, j inspira un grand coup je ré tirais mes chaussures Aya fit de même.
On entra dans le salon, il y avait mes parents mon frère et sa femme.
Je n'arrivais plus a bouger, tout mon corps était paralysé, je sentais mes joues mouillé sans m'en rendre compte je pleurer, je voyais ma mère main sur la bouche, elle se leva et me prit dans ses bras. Elle me serrait tellement fort comme ci a tout moment je pouvais m'en aller.
Moi - Smehlia mama... Pardonne moi pour toi... pardonne moi mama...
Elle essuya mes larmes avant de poser son doigt sur ma bouche. Elle m'embrasser, et me serrer fort.
Mama - Ne demande pas pardon ma fille, c'est moi qui ai mal agis, c'est moi qui doit m'excuser tu as fais une erreur et j'aurai du être près de toi pour ta grossesse. Que Dieu me pardonne je n'aurai pas du te laisser seule.
Moi - Non mama ne dit pas ça, tu m'a puni pour mon erreur et j'ai appris de mon erreur. C'est moi qui doit demander pardon car je suis la fille, je dois t'écouter et t obéir et je ne l'ai pas fais c'est normale que tu me gronde et que tu m'en veuilles.
Elle me serra, mon papa arriva, il avait les larmes aux yeux, mon papa ma chair, je ne l'ai jamais vu pleurer, jamais et aujourd'hui il était devant moi en larmes je le serra contre moi, il avait maigris et vieillis tout comme ma maman, des cernes aux yeux.
Il me fit un bisou sur le front. Je serra mon frère dans mes bras et fis la bise à sa femme.
On était tous assis, j'étais près de ma maman qui ne voulait plus me lâcher.
J'en avais oublier Aya qui était rester près de moi tout au long. Elle me caressa le bras quand je remarqua enfin sa présence.
Moi - Mama, Baba, je vous présente Aya, ma fille.
Ma mère la regarda et la serra dans ses bras, je voyais les joues d'Aya écraser ce qui me fis rire. Mon père la prit aussi dans ses bras avant de lui faire bisou sur le front.
Baba - Moi c'est ton grand-pere ! Tu es belle Allahuma Barik !
Mama - Oui tu es très belle tu ressembles à ta maman tu sais.
Aya - Merci. Maman je peux aller jouer avec le garçon ?
Moi - C'est ton cousin tu sais...
Elle partie en courant toute heureuse. Je me sentais bien quand je la voyais sourire.
Aymen - Je te présente ma femme Leila, mon fils il s'appelle Karim et ma princesse Nour. Et Leila ma soeur je t'en avais parler Kahina.
Leila - Enfin j'ai une belle soeur, je me sentais un peu seule tu sais !
Rigola t elle avant de prendre dans des bras. Je regardais sa fille qui était dans son berceau, elle me rappeler Aya encore bébé.
On passa une bonne soirée, j'avais beaucoup parler de moi, sur ce que j'ai fais durant les 7 ans comment je m'en suis sortir, mon père était fiere de moi. Mère célibataire et seule ce n'est vraiment pas simple.
Voilà que le bonheur me souriait à nouveau mais pour combien de temps ?
Tout à une fin !
(Hello les filles dites moi vous préférez des courtes partie ou alors de longues partie plus détaillée ? J'attends vos avis)
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Pour Toi Ma Fille
Ficción General"Tout à un début, mais aussi une fin... qu'elle soit heureuse ou tragique, mais je ne suis pas maître de mon destin... je ferais en sorte que pour toi elle ne soit pas chaotique..." Ma fille, dans la vie il faut toujours se battre pour son bonheur...