The Angel and the Deamon [ Réécriture ]

*Chapitre 4*

Je savais que cette nuit serait désastreuse, mais j'ai préférer faire comme si tout allais bien se passer. Ma mère à eux la bonne idée d'inviter tout ces nouveaux petit copains à prendre de la cocaïne dans le salon. 

Des droguer déambulais encore dans le salon ce matin quand je suis descendu. Je ne sais comment arrêter tout ceci et cela me met vraiment en rogne. Aujourd'hui ne sera pas une bonne journée et je plaint celui qui aurait le malheur de venir dans mes pattes. 

Mais je suis tellement épuiser que finalement je me dis que je n'aurai pas le courage d'envoyer au diable toute personne susceptible d'être désagréable. Ce qui m'énerve d'avantage.

La matinée passe, pas de Gaziel en vue. Le déjeuner se déroule comme à son habitude et l'après-midi aussi. Gaziel n'est finalement pas venue de la journée et j'en suis ravi, j'ai repris mes petites habitudes de solitude et ça me vas très bien. Je n'ai jamais aimer être trop entourer.

Josh lui adorais sa. Avant de sortir des couloirs du lycée, je le vois, il est comme je l'ai toujours connu. Souriant, il rigole avec ses amis et sa nouvelle copine. Au moment ou je passe devant lui, il me remarque, me regarde et me fait un léger signe de tête. 

Il à essayer de mettre fin à notre relation en douceur, mais c'est moi qui ai complètement péter les plomb. Je ne supportait pas une nouvelle perte dans mon monde a cette période si douloureuse.

J'était comme toute les adolescentes de mon age, et j'ai souvent du mal a me dire qu'avant je n'était pas aussi renfermer. Je rigolais comme le fait Josh, jetait simplement plus réserver. Tout à changer maintenant.

Nostalgique je prend la route pour rentrée chez moi comme tout les soir. La musique criait encore dans mes écouteur au moment ou je passe la porte d'entrée.

- Ma...

Au moment ou j'allais appeler ma mère pour m'assurer de sa présence, une ombre attire mon attention au salon.

Un homme se tient dos a moi, il regarde les photos entasser sur le bord de la cheminer. Nonchalant, il a les mains dans les poches et fait comme si tout était normal.

Je savais qu'aujourd'hui ne serait pas une bonne journée. Fatiguer émotionnellement je ne supportait pas une intrusion dans mon intimité de cette façon. 

Je pris le vase qui se trouvais à ma droite et lui envoyais dessus d'une telle façon que celui-ci se brisais en mille morceaux quand il frappais son dos.

- Merde !

Sa voix rauque emplit tout la salon avant que mes exclamations ne commence à fuser a son égard.

- Sort de chez moi ! 

- Mais ça va pas ou quoi ? Putain un vase quoi j'aurais pu me faire mal avec ça.

- J'espérais justement te faire mal crétin. Dégage illico de chez moi avant que j'appelle les flics.

- Si tu veux les appeler ne te gène pas.

- Tu rentre chez moi par effraction et tu crois que tu vas t'en sortir comme ça ?

- Même si jetait entré par effraction j'aurais réussit à me volatiliser.

- Comment est tu rentré si ce n'était pas par effraction ?

Je commence a retirer mes chaussure et en les observant j'analyse l'impact qu'elle pourraient avoir sur un visage comme le siens.

- Ta mère ma laisser entrer.

Ni un ni deux je lui balance ma bottine qu'il reçoit en plein visage comme je l'avais souhaiter. Je ne lui laisse pas le temps de ce plaindre de ma chaussure volante.

- Dégage de la.

Ma voix est dure et je le fusille du regard. Si maman lui à ouvert la porte c'est forcement qu'elle devait encore  être complètement défoncer et ça me fait mal au cœur de l'imaginer dans cet état devant des inconnus.

- Ile...

- Je t'ai dis de dégager Gaziel, tu n'a rien à faire ici même si ma mère ta inviter a entrée.

Je le vois me dévisager pendant que je fuis son regard, il ne comprend pas, il n'est pas de se monde, il n'a surement pas fait attention au comportement de ma mère.

Je l'entend souffler avant de poser des papiers sur la table basse.

- Je ne suis pas venue en cours aujourd'hui pour demander un contrat à mes supérieur, j'ai pensé que ça devrait t'aider a mieux comprendre le but de ma présence et te convaincre de m'aider sans avoir recours a la force.

Je ne dis rien et le laisse passer a coter de moi pour s'en aller.

- Je comprend pas pourq...

- Dégage.

Ne cherchant pas plus sont reste il prit la porte  comme je lui en avais demander.

Avant de pouvoir souffler quelques secondes après son départ, ma mère descendais déjà les marches. Elle ne tanguait pas ce qui était bon signe.

- Peut tu m'expliquer ce que ce garçon faisait devant chez moi quand je suis rentrée.

- Il ne faisait rien de spécial il m'attendais c'est tout.

Pendant qu'elle prenait le chemin de la cuisine je me dépêchais de récupérer le contrat que Gaziel m'avais si gentiment laisser.

- Je t'interdit de flirter avec ce Démon ma fille.

Je savais que que ma mère était au courant de certaine chose. Mais pas de celle-ci.

- Comment a tu...

- Je te l'interdit, c'est bien clair ?

- Tu n'a pas à décider des choses importante dans ma vie.

- Je suis ta mère.

- Tu ne te comporte pas comme tel, alors tu n'a pas le droit de me dire ce que je dois faire ou non.

- Tu à bien raison, pourquoi veux t-il te faire signer un contrat.

- Pourquoi la tu laisse rentré.

- Ça ne te regarde pas.

- Alors l'histoire du contrat non plus.

Pendant quelques minutes nous nous regardons en chiens de faïence, mais elle repris finalement c'est occupation dans la cuisine.

Je montais dans ma chambre et trouvais raisonnable de faire mes devoir avant d'être attirer par ce fameux contrat poser sur mon lit.