*chapitre 7*

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Au moment où je passais le pas de ma porte de chambre, je vis Gaziel en pleine observations de mes photos de famille. Pour la première fois je me pris à l'observer. Depuis le premier jour je l'avais trouvé atrocement chiant mais aussi tellement attirant.

De dos il ne dérogeait pas a la règle, il avait une carrure athlétique avec de large épaules et un haut moulant laissant  apercevoir la forme de ces abdos. Il avait d'épais cheveux noirs et de profond yeux marrons.

Il était le fantasme de n'importe qu'elle femme et il le savais j'en suis sûr.

- Ton père est ton frère se ressemblait beaucoup. Dit-il dos à moi.

- On le leur disais souvent oui. Ma voix se brisait et je m'en voulue de laisser transparaître autant de faiblesse.


Je ne savais pas vraiment comment réagir à cette intrusion dans mon intimité mais Je savais que ça ne servait à rien de le réprimander.

- Je suis désolé que tu ai du subir ça.

- Je te l'ai déjà dis je ne veux pas de tes excuses.

- Tu est constamment tendue en ma présence.

- Il faut dire que tu ne m'aide pas à me détendre.


Il se retournais et me fixait intrigué.

- Franchement Gaziel tu ne vas pas me dire que cette situation ne te met pas quelques peux dans un mauvais état d'esprit.

Je le vis froncer des sourcils et je savais que ça réponse ne me ferais pas plaisir.

- Et bien non elle ne me met pas dans un mauvais état d'esprit.

abasourdi je n'arrivais pas à comprendre son raisonnement.

- Mais comment peux tu… enfin je ne sais pas tu n'est pas humain pour ne pas ressentir de tristesse!

- Et bien non je ne suis pas humain.

Suite à mes propos je me sentais mal alaise,  je ne savais pas si il le prenait bien ou mal le fait que je lui dise qu'il n'était en effet pas de ce monde.

- Je ne suis pas humain comme toi tu n'est pas humaine.


À peine a t-il finit sa phrase que je m'étouffe avec ma salive.  Rapidement il s'approche de moi et me pris les mains.

- Ça va ?  Je ne voudrais pas que tu meurt étouffé devant moi ce serais vraiment cocasse comme mort.

Sans pouvoir me retenir un gloussement niais sortis de ma gorge.

- Et bien au moins j'ai réussi à te faire rire.

- Je crois que c'est bien la première fois depuis que je t'ai rencontré.

- Je crois bien Oui.


Je pris le temps de détaillé son visage pendant qu'il ce tenait aussi près de moi.

- je sais que je suis beau pas la peine de me dévisager comme ça.

- Ce que tu peux être bête lui répondis-je en le frappant au torse le poussant par la même occasion.


Sans que je ne comprenne ce qu'il se passait je sentis une douce pression au creux de mes poignets qui détendais instinctivement tous les muscles de mon corps.

Je ferme les yeux et me détends au contact de ces doigts.  

- Comment tu fais ça.


Je le sentis se rapprocher de moi,  son torse se collant à ma poitrine, je sentis son souffle sur mon oreilles tandis qu'il continuait à me masser les poignets.

- Petit secret.

Avant de s'éloigner comme il aurait normalement dû le faire je sentis au creux de mon coup ces lèvres charnues se poser délicatement dans un tendre baiser qui me fit monter le rouge au joues.

The Angel and the Deamon [ Réécriture ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant