The Angel and the Deamon [ Réécriture ]

*Chapitre 6 *

Après quatre heures de cours et une pause je n'obtient que 2 noms.  Il était difficile de pouvoir me concentrer sur les cours ainsi que sur la majorité des élèves, j'étais de ce fait bien fatigué de cette mâtiné. Condamné c'est personnes qui ne méritait certainement pas le sort qu'il leur était réservé,  était un acte laborieux. Cependant je pris sur moi et me forçait à garder l'esprit froid. La sonnerie de midi annonçait enfin la fin des cours de la mâtiné ce qui me ravie.

Je n'avais pas l'envie d'être entouré ce midi,  un mal de tête commençait à me tourmenter et je me devais d'être présente lors des cours de cette après-midi.

Cependant Gaziel n'étant pas de cet avis, il vient s'asseoir à côté de moi pour emmerder mon monde.

- Alors comment tu avance?

- Je n’ai récolté que deux nom.

Lentement je le sent se tendre à côté de moi.

- Ilenia ont à pas le temps de faire dans la douceur il me faut plus de résultat.

je me retournais brusquement vers lui pour lui faire part de mon point de vue.

- Ecoute moi bien, j’aimerais un peu que tu prenne conscience du travail que tu me demande! Dans un premier temps je n’avais aucune envie de m'associer à toi pour ce genre de boulot et deuxièmement mes facultés cognitives arrivent à saturation alors si tu voulais bien me foutre la paix juste le temps d’un repas je t’en serais reconnaissante!

Suite à mon discours un blanc s’installa entre nous. Enfin au calme je pu souffler deux minutes et pris le temps de manger.

-Je ne voulais pas te brusquer.

Je ne pris pas la peine de répondre,  cela faisait un moment que plus personne ne s'occupaient de ce dont j'avais besoins.

- Quand va tu commencé à tuer ces pauvres gens?

- Je le ferais dans là nuit. Je sais que tu n'est absolument pas pressé de partir et que tu va faire exprès de prendre ton temps pour ne pas laisser ta mère seule.  Mais… cette falaise…

arrêtant de suite de manger je le fixait attendant la suite de sa phrase, qui ne vient pas.

- Gaziel elle à quoi cette falaise?

- Elle est maudite.

brusquement je me levais.

- Quoi ?!

- Ileni…

- Répète ce que tu viens de dire  !

plus un bruit ne résonnait dans la cantine et je venais de m'apercevoir que j'étais le centre de l’attention.

Gaziel pris gentiment mon plateau.

- Suis moi je vais t’expliquer.

rapidement je fit ce qu'il me dis et le suivais  dehors attendant c’est explications.

- Je t'écoute.

- Tu n’a jamais trouvé étrange d’habiter dans une plaine entouré de forêt isolé de la population?

- Non certain individus aime être isolé je ne trouve rien d'étrange à ça.

- Ta famille à été banni

- Mais de quoi tu parle encore.

- Tu ne t'es pas retrouvé sur terre par hasard ou par choix. Ton père faisait partie des nôtres. Lors d’une mission il à rencontré ta mère, il en est tombé amoureux. Le problème c’est que ton père avait déjà fait ça vie avant de la rencontré, il avait une femme et un fils. Ton frère.

ne sachant que dire je le laissait continuer sur sa lancer.

- Sa femme n'était pas une sainte et quand ton père a décidé de vivre sur terre, il à emmener ton frère.

- Et donc  ?

- Et sa femme à retrouver ton père quand tu étais plus jeune, alors elle a décidé de rendre cette falaise maudite pour ton frère et ton père. Ils étaient sans cesse attiré par le vide de cette falaise, et un jour ils ont céder.

- Mais mon frère était trop jeune pour décider de partir vivre avec mon père pourquoi l'aurais t elle condamné lui aussi.

- Quand elle vous ont retrouvé ton père et toi ton frère à fait le choix de rester avec toi.

sous le choc je ne savais quoi dire, il y avait maintenant une raison à leur actes mais cela restait toujours aussi douloureux.

- Je ne vois pas en quoi cette falaise serait dangereuse pour le reste de ma famille si elle n'était censé attirer que mon frère et mon père.

- Elle t’attirera, quand tu aura atteint t’a majorité elle s’en prendra à toi.

je pris sur moi et ravalais mes larmes.

- Je suis désolé.

- Tu n’a pas à l'être ce n'était pas ta faute.

Sans lui laisser le temps d’ajouter quelques choses d'autre je pris la fuite.

Je rentrais chez moi essoufflé de ma course dans la ville, il me fallait du temps et beaucoup de calme pour accepter cette révélations.

Après une longue reflexion j'en vient à la conclusion que je n'avais d'autre choix que celui de le suivre.  Il en allait de ma sécurité. Je devais quitter ma mère et cette maison qui regorgeait de souvenirs. En me rendant au salon je vis que ma mère avait déserté les lieux comme à son habitude,  lasse de cette maison vide je remontais m'enfermer dans ma chambre.