*chapitre 9*

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Je l'observais, ne s'étant pas encore rendue compte de ma présence, il agit naturellement et commençais a ce triturer les ongles.

- Tu sais que tu ne devrais pas faire ça.

Surpris il sursautais et se levais de mon lit.

- Faire quoi ? me demande t-il soucieux.

- Te triturer les ongles.

- C'est une vieille habitude.

- Tu devrais t'en débarrasser.

- On est sérieusement entrain de parler du fait que je me triture les ongles. dis t-il dans un rire rauque.

Son rire étant communicatif je ne pouvais m'empêcher de rire avec lui.

- Oui on est vraiment entrain de parler de ça.

Un blanc s'installais pendant que je fermais la porte.

- Tu sais pour tout à l'heure commença t-il.

- Il n'y a rien à dire sur ce qui c'est passé toute à l'heure.

A peine ais je finis ma phrase que je sais déjà que mes propos ne lui conviennent pas.

- Comment ça ?

- Je... y'a rien a dire c'est tout.

Un rire sans joie s'échappais de sa gorge pendant qu'il me tournais le dos.

- c'est la meilleure celle-la dit-il tout bas.

- Je ne comprend pas, tu veux vraiment échanger sur le fait que nous avons échapper un malheureux bisous tout a l'heure avant que ma mère ne débarque.

- Oui ! Oui je veux débattre de ce sujet avec toi.

- Mais il n'y a rien a dire, ce n'était rien ! 

- Ah ouais ?

Ne sachant que dire sans l'énerver d'avantage je préférais me taire. Je ne sais pas comment réagir, je pensais que de lui même il allait faire abstraction de ce moment d'inattentions et que ce serais le premier a fuir le sujet.

- Tu sais quoi ta raison y'a rien à dire sur ce malheureux bisous.

- Gaz...

- Par ce que tu sais quoi ? par ce qu'il a pas duré assez longtemps.

- Quo...

N'ayant même pas l'opportunité de finir ma phrase, c'est lèvre avait déjà pris possession des miennes dans un baiser torride qui me coupais le souffle. Sa bouche maîtrisant la mienne et sa langue prenant assaut de la mienne dans un baiser des plus intense. Sans pouvoir me contrôler, un gémissement s'échappais de mes lèvres quand il fit balader ses mains sur mon corps. 

Quand il lâche prise, mes lèvres étaient gonfler et le rouge apparaissais sur mes joues.

- Maintenant on a de quoi parler.

Avant de pouvoir dire quoi que se soit ma mère nous interrompis une fois de plus.

-  A table ! Viens me présenter ton inviter !

Suite a cette phrase Gaziel avait déjà perdue toute les couleurs de nôtre baisé.

- Tu ne vas pas me dire que tu a peur de ma mèred toi le super méchant.

Reprenant de la constance il bombais le torse avant de passer devant moi.

- Je n'ais peur de personne.

Je ne pu retenir un rire enfantin, qui s'intensifiais quand il se retournais vers moi pour me lancer un regard noir.

Maman avait fait les choses biens, elle c'était même carrément surpasser vue l'état dans lequel elle était. Mais bizarrement elle semblait tout de même quelque peux normal. Ce qui ma fois était vraiment très étrange.

- C'est ton petit-copain ?

A peine sa phrase finis le rouge pris de nouveaux place sur mes joues, c'est vraiment ma soirée.

- Non maman c'est une juste un ami.

- Hmm Hmm, bon allez les jeunes à tables.

Le repas se passais dans une étrange atmosphère de normalité, personne ne parlais, mais ce n'était pas bizarrement pour autant. Maman jetait régulièrement des regards a Gaziel qui lui répondais par un sourire chaleureux. Je ne savais vraiment pas quoi penser de cette situation en sortant de table.

Un fois remonter dans ma chambre, je m'allongeais sur mon lit est regardais le plafond en quête d'une inspiration profonde quand une question me viens a l'esprit.

- Gaziel ?

Occuper a terminer des revois sur mon ordinateurs il ne levais même pas les yeux.

- Ou est ce que tu dors ?

Blocage. C'est doigts ne clapotait plus a une vitesse folle sur le petit engins.

- La ou je peux.

- C'est a dire ?

Légèrement agacer il ferma mon ordinateur.

- C'est à dire que j'ai à peine assez d'argent pour manger, alors j'essaye chaque soir de trouver une âme charitable qui voudrais bien me prêter son lit pour une nuit.

- Et tu trouve des gens 

- Oui.

Quelques secondes à peine le temps que l'informations monte au cerveaux. Je retrouve Gaziel allonger a coter de moi.

- Tu couche avec ces filles.

- Je... Ouais, je couche avec ces filles.

Une étrange sensations remontais le long de mes tripes, et je n'appréciais pas du tout celle-ci. D'un coup je me sentis agacer, et je ne pu retenir mon comportement distant avec lui.

- Tu peux dormir ici cette nuit si tu veux, y'a une futon dans mon placard.

Sans en rajouter d'avantage je me glissais sous ma couette. Le bruit du placard qui s'ouvre me fit comprendre qu'il était encore dans pièce. Pendant que je commençais à sombrer dans les bras de Morphée, je sentis le lit s'abaisser.

- La seule fille qui m'intéresse sur cette terre, c'est celle qui est dans ce lit, et c'est avec cette fille que j'ai envie de partager mon lit.

Néant total, le sommeil m'avais emporter avant que je ne puisse lui répondre.

The Angel and the Deamon [ Réécriture ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant