passons 1 semaine.
1 semaine de déprime total pour moi.
Je ne savais plus quoi faire..
Il passait son temps à m'éviter.Il faut se rendre à l'évidence.
Barrati et moi c'était finit..Il venait en cours avec des bouteilles de bière en main..
Et Il ne se gêner pas pour m'envoyer ce genre de snap..
Provoquation ? Oui. C'etait du barrati tout cracher.Je le comprend, il veut tout bonnement me faire "payer" ce que je lui est fait endurer.
Comme si cela à était facile pour moi..
J'ai le rôle de la méchante sorcière.Mis à part ça j'avais retrouvée ma Melinda.
Elle était toute heureuse de me revoir et moi aussi !
Comme à chaque fois qu'on parle, le sujet avait dérive sur Barrati.
Elle m'avait dit qu'il fallait que je lui laisse du temps.. je me suis bien permise 2 semaines entière alors pourquoi pas lui.
Elle n'avait pas tord, mais le truc c'est que moi j'ai fait ça pour lui, pour nous et lui il réagit comme ça par vengeance...Mais j'avais tout de même décidée d'écouter ces conseilles.
Je dois lui laisser du temps..
J'allais en profiter pour commencer sérieusement mes révisions pour le bac.Lundi matin, en cours de philo.
J'étais aux côtés d'Éva.
Au première rang .
Lorsque le prof s'adressa à moi:-"Déborah il vous manque une note
.Avez-vous fait le travail demander durant vos vacances ?""Euh oui monsieur."
J'avais appris très rapidement l'un des poèmes, celui que j'avais choisie ressembler etrangement aux derniers événements de Barrati et moi.. espérons qu'il comprenne..
-"je vous écoute. Venez vous placer devant tout le monde. "
Je me lève et m'arrête face à toute la classe juste devant le bureau du prof.
Les regards etaient braqués sur moi.
Ça ne me déranger pas plus que ça.
Je me remémore les premieres phrases et me lance enfin..-"Je suis partie, tu ne l'a même pas su.
Je ne reviendrais pas puisque tu l'as voulu...
Ces paroles qui nous ont bousculées
Elles viennent de nous, de nos pensées.
J'ai mis les voiles sur ce que je ne voulais pas voir...
Pour faire renaître en toi, en moi, l'espoir
De nous retrouver...
Lorsque les jours pluvieux se seront écoulés.
Le pire empire
Que nous voulions conquérir
C'est cette liberté
Qui nous a condamnés
À vivre l'un contre l'autre,
Au lieu de respirer cet amour qui est le nôtre..."Lui qui jusqu'à présent dormer à point fermer au fond de la classe ,me fixait..
Il savait que c'était pour lui.
La classe entière savait que c'était pour lui..
Il avait compris.
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Le Prince Des Temps Modernes.
RomanceElle, la femme que j'aime. Celle, que j'admire sans peine ni haine. Cette femme à la beauté si simple et si belle. Oui je l'aime. Cette femme à la peau ébène.