Chapitre 2

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Je descendis mes amis étaient la m'attendant.

- Ca va Margot ? me demanda Liam.

- Je euh.... oui oui. mentis-je. Non pas du tout un psycopathe était dans ma chambre et m'a promis qu'on se reverait mais sinon à part sa tout va très bien. ajoutais-je dans ma tête.

- Alors tu l'a vu ? me demanda Thea une fille de mon groupe.

- De.... de quoi ? begais-je

- Bas un des Princes.

Je ne repondis rien et me posa sur le canapé.

- T'es sur que ca va ? m'interrogea Bastien. T'es toute blanche.

- Je me sens pas très bien.

- On va te laisser alors. me sourit-il

Ils partirent tous en même temps. Une fois qu'ils avaient quitté ma maison j'alla prendre un verre d'eau. Je buvais quand je vis de la buée se former sur la vitre et trois mots s'ecrirent :
Tu es mienne.
Je laissa tomber mon verre qui alla s'éclater au sol. Je commença à voir flou alors je me rattrapa au plan de travail. Mais un couteau qui traînait là me coupa. Je fixa ma blessure d'où s'échappait du sang qui goûtait lentement sur le sol. Je resta figée pendant cinq minutes. Je sortis de ma transe et secoua ma tête, je nettoya le sol et ramassa les débris de verres. Et mis un bandage sur ma main.

Je remonta dans ma chambre et m'endormi. Le lendemain samedi j'alla à la bibliothèque pour en savoir un peu plus. J'arrive dans le bâtiment qui sentait le renfermé. Je chercha un truc en rapport avec ma malédiction si on peut dire ça comme ça. Je vis un gros livre de reliure de cuire avec écrit le titre en lettres dorés. Je m'attrapa à l'aide d'une petite échelle car il se trouvait tout en haut de l'étagère. J'alla ensuite m'asseoir sur une table et commença à lire le livre "Ténèbres et malédiction". Je trouva un chapitre sur Satan et ses fils.

" Comment se débarrasser d'un prince :
On ne peut pas tuer un prince mais on peut faire un voeux car une fois que vous invoqué vous ne pouvez rien faire sauf si vous allés dans la pièce des cauchemars. Vous vous retrouverez seul contre vos peurs. Une fois toute vaincues vous aurez droit à un voeux attention il n'y a qu'un voeux par personne une fois fait vous ne pourrez plus rien changer."
"Les femmes des Princes :
Jusqu'au jour d'aujourd'hui nous savons que vingt-cinq filles ont disparus et que soixante ont été retrouvée mortes. Ce sont eux qui choisissent leurs femmes."
"Suicide :
Jusqu'à lors nous n'avons aucune information sur le suicide d'une choisie."

J'arreta là ma lecture peu sûre de vouloir en s'avoir plus. Je sentis une main se poser sur mon épaule je sursauta violemment et me retourna vers la personne.

《 Mademoiselle la bibliothèque ferme. 》 m'annonca la femme.

Elle était grande et blonde portait une pair de lunettes légèrement ronde noire.

《 Oui très bien. 》

Je me leva et partis. Je rentra chez moi et vis la porte entrouverte. J'entra prudemment dans ma maison. Le hall était sens dessus-dessous chaque cadre accroché était maintenant brisé sur le sol. Le papier-peint avait par endroit de grands trous et des tâches de sang. Le meubles des chaussures habituellement bien rangé était maintenant renversé et vide. Son contenu éparpillé partout sur le sol. Le porte-manteau empêchait le passage jusqu'aux autres pièces. Je ressortis de la maison en appelant la police.

《 Le poste de police bonjour que puis-je pour vous ? demanda une voix féminine.

- Ma maison a été cambriolé. Je m'appelle Margot Rein, je me trouve au soixante-quinze ever green Sainte Place à Saint-Mickaël.

- Je vous envoie une équipe tout de suite restez dehors mademoiselle.

- Merci.  》

Elle raccrocha et j'attendais dehors dans le froid que les policiers arrivent. Une fois sur place, ils entrèrent armes en main. Je les suivis. Ils soulevèrent l'objet barrant le chemin et avancèrent. Puis allèrent dans le salon. Les canapés étaient éventrés, de la mousse en sortait. Les coussins avaient perdu leurs rembourrage. Des plumes éparpillés sur le sol recouvrait une forme ressemblant à un corps. Sur le mur un message dégoulinant écris en rouge tapissait le mur blanc. "J'arrive." lisais-je. Un des hommes enleva les plumes du sol et decouvra le corps d'une fille. Elle avait des cheveux blonds qui formait une couronne autour de sa tête. Plusieurs coups de couteaux se voyaient sur son corps.
Je restai interdite devant la scène. Il y'avait le corps d'une fille chez moi. Je sortai de la maison totalement terrorisée. Les sirènes hurlaient et des lumières éclairait ma rue habituellement calme.

《 Mademoiselle vous allez bien ? me demanda un des fonctionnaires de police.

- Je.... il y'a un corps..... il y'a un corps, un corps chez moi. annoncais-je d'une voix brisée.

- Je sais. Nous allons vous placer sous protection policière. 》

Je le suivis jusqu'à la voiture. Il m'emmena dans un hôtel et me laissai devant. Je pris une chambre. Je me couchai mais ne réussis pas à m'endormir. Je regardais un dessin animé quand j'entendis le craquement sourd de la porte de la salle de bain. Elle s'ouvrait lentement. Je me cachai sous ma couette.

Une personne se rapprochait du lit.

《 Amour......》 chuchota la voix qui hantait mes cauchemars.

Je me mis à hurler et me repliai sur moi même. Des larmes silencieuses roulaient sur mes joues. Je sentis une lame se planter dans mon corps. La douleur me coupa le souffle. Je respirais difficilement.

《 Tu n'auras pas du fuir !》 susurra-t'il à mon oreille.

Je cherchais de l'air pendant qu'il m'embrassait le cou.

Princesse des Enfers [Terminée] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant