Enfant de cadavre (partie 3)

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"Je sais que beaucoup attendait se chapitre et le voilà enfin. Désolé de se retard mais certaines choses m'ont empêchées décrire, j'ai eu un bras dans le plâtre et en plus de ça les examens qui approchaient, mais je suis là maintenant. Encore une fois, merci au 60 nouveaux abonnés, merci de me suivre, désolé de ne pas dire vos nom mais franchement on dirais pas mais ça fait BEAUCOUP de gens, alors un grand merci. En plus on a dépassé les 2.500 vues c'est énorme, on est presque à 3.000!!! Bon, maintenant que tout est dit je vous laisse vous plonger dans mon histoire"

Cela faisait 3 ans que ma mère était morte... Je m'entraînais ardemment, je voulais être le plus fort. Je ne cessai de m'entraîner toujours plus, quitte à me blesser gravement, et des blessures j'en ai eu des tas mais ça ne me décourageait pas. C'était mon père qui m'entraînais et je dois dire qu'il le faisait bien, et lorsque mon entrainement était terminé j'allais dans un coin tranquille pour le continuer. Est-ce que ma mère serait fier de moi? Je ne le savais pas, mais de toute façon je devais payer mon pain, être rentable. Comme chaque matin j'allais près de mon père pour l'entraînement.

-Tu es en avance, comme toujours., me dit-il d'un air fier.

-Aller, entraînons nous.

Je dégaina alors mon espadon que j'arrivais maintenant à manier sans trop de difficultés. À seulement 12 ans je maniait déjà cette arme massive et lourde qu'est l'espadon. Mon père sortit son épée du fourreau et me chargea mais maintenant j'arrivais à parer ses coups. Il tenta une attaque horizontale vers mon flanc gauche que je para et je pu renvoyer son épée vers lui. Ça ne le déstabilisa pas assez et il me chargea a nouveau. Je su parer l'attaque verticale qu'il m'envoya mais je ne vis pas son pied qui fonçait vers mon abdomen. Je me pris son coup de pied et fut envoyer en arrière par la puissance du choc. Je me releva aussi sec et cette fois-ci c'est moi qui chargea. Il réussi sans trop de difficultés à parer mes coups et m'en renvoyait certains. Nous continuâmes ces échanges de coups pendant plusieurs heures jusqu'à ce que mon père conclue cette entraînement par un simple: "tu t'es assez battu, va te reposer" et, comme d'habitude, je partit dans une petite cour cachée pour continuer l'entraînement.

Les assauts se succédèrent et nous n'avions subit ni défaites ni pertes importantes, et je dois dire que je ne me débrouillais pas mal, même pour mon âge j'étais un guerrier redoutable. J'avais maintenant 12 ans et la mort faisait partie de ma vie, vivant au travers de ma lame, gagnant ma vie en en éteignant d'autres. Nous rentrâmes au camps et comme toujours je fit récompensé de ma journée par de la nourriture et de quoi boire.

-Bravo Ulfric, tu t'es bien battu, comme toujours., disaient certains soldats pour me féliciter.

Tout se passa pour le mieux mais je ne m'attendais pas à se qu'il allait se produire... la nuit était tombée et je m'endormais tranquille dans ma tante, vêtu d'un simple t-shirt, quand j'entendis un bruit. Je me retourna et vit le lieutenant de mon père.

-Qu'est de que tu fais là????

(/!\ ceci ne sera pas un yaoi mais est assez trash tout de même quoique non détaillée)

-Ta gueule!!!

il me frappa d'un coup de poing qui m'envoya au fond de la tente.

-Pourquoi tu fais ça???, Demandais-je, apeuré.

-Il n'y a pas de femmes dans se camp, je fais avec les moyens du bords.

Je me défendais mais sa carrure est plus importante que la mienne, il me maîtrisait.

-Je vais tout dire à mon père et tu verra se qu'il te fera!

Il se mit à rire et me dit avec un sourire:

-Je lui ai acheté 1 nuit avec toi pour 3 pièce d'argent.

En entendant cette phrase je ne bougea plus... Comment cela était-ce possible??? Mon père ne ferai tout de même pas ça ! Peut-être qu'il ment. Il ment j'en suis sur ce ne peut pas être vrai... Pendant se temps il me baillona, fit se qu'il avait a faire. Je souffrais mais je ne pouvais que pleurer, avec cette question qui résonnait dans ma tête: "pourquoi?"... Lorsqu'il eu finit il partit, me laissant là. Et moi je resta toute la nuit les yeux grand ouvert, ne pouvant bouger le moindre muscle...

(Scène finie, enfin)

Le lendemain je me leva avec encore cette nuit de cauchemars en tête... Comment mon père aurait pu me faire ça??? Je sortis de ma tente et vit mon père qui partait à l'entrainement. Il me vit et me dit simplement d'un air neutre:

-Ah, tu dormait encore? Aller, file, tu dois t'entraîner aujourd'hui.

J'étais toujours aussi perdu... il le vit et me demanda alors si j'avais mal dormi. Étrange, il ne semblait au courant de rien, son bras droit m'aurait donc menti. Je lui dit bêtement que non et il partit... Je m'entraîna sur des mannequin en bois, avec en moi une colère immense, telle que je détruisit un des mannequins. Je ne pouvais me défaire de cette rage qui me consumait...

Plus tard, mon père demanda à tout le monde de se préparer, une bataille approchait, il fallait une fois de plus partir au combat. Sur le champs de guerre je me battait cette fois-ci à cheval, la hauteur me conférant un belle atout, de plus que j'avais avec moi une arbalète. Un groupe tenta de s'échapper par la forêt et je partit les rattraper mais ils étaient déjà trop loin quand je fus dans les bois. Je me retourna et vis l'homme source de ma haine, il était lui aussi partit les chercher, une aubaine pour moi. Je me retourna vers lui et tira une flèche dans sa bouche, se qui le fit tomber de son cheval. Je descendis alors que sa bouche se remplissait de sang. Il porta son regard vers moi, les yeux emplit de peur.

-Toi..., lui dis-je, parlant entre les dents. Je te hais...

Il tentait de reculer en rampant, me regardant terrifié. Il me suppliait mais j'avais en moi un profond désir meurtrier.

-Pikié, je k'en suppie., Me dit il, vainement.

Je planta alors mon épée dans ses partie génital, le faisant hurler de douleur, et, pour le faire taire, je releva mon épée et lui ouvris le ventre. Une fois cela fait je repartis sans dire un mot, laissant son cadavre sanguinolent au sol. Je repartir à la bataille, les soldats étaient déjà entrain de monter les murailles du fort. Je me précipita alors vers le fort ennemi mais je vis une chose en haut des murs, une marmite. Trop tard pour prévenir mon père qui était déjà entrain de monter, le liquide brûlant était déjà versé. Je cria a mon père de partir de là, il tenta de fuir et tomba. L'huile bouillante se déversa sur lui, ses jambes et son bras gauche recouverte de cette horreur. On mis vite père sur un cheval et on dut battre en retraite, notre première défaite... On arriva à temps et on pu soigner mon père, mais malheureusement sa jambe droite et son bras gauche étaient hors d'usage et on dut l'amputer de ces 2 membres. Après ça il ne pouvait donc plus combattre, se qui le rendait fou de rage. Je ne sais pourquoi mais cette rage, il la portait contre moi.

"Dans se chapitre beaucoup de trash en effet, du drama encore et toujours et ulfric qui vit un enfer. Je pense que vous êtes habitués maintenant, laissez un vote si l'histoire vous plaît, ça me montre que vous aimez de que je fait, commentez pour donner votre avis, me partager vos théories, même les plus loufoques, me donner votre critique positive ou négative (toujours constructive s'il vous plaît) pour que je m'améliore dans mon travail, abonnez vous pour suivre mon actualité, et surtout partagé, ça me permet de me faire connaître. Au prochain chapitre et rappelez vous que la guerre... la guerre ne meurt jamais"

BerserkerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant