Les erreurs du passé

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"Se chapitre ne veux pas se meeeeeettre. Bonjour a tous et OUI!!! OUIIII je suis de retour, OUI enfin le nouveau chapitre de berserkeeeer!!! Je sais ses temps ci mon rythme de production diminue et est assez lents mais je veux vous fournir la meilleur qualité possible et se chapitre je l'ai bien bossé alors j'espère qu'il vous plaira, j'y ai mis tout mon coeur. Et comme d'habitude merci au nouveau abonnés et merci d'être toujours plus nombreux à lire mon histoire. Maintenant assez de remerciements, place au drama, à l'action et au retournements de situation, bonne lectures "

P.D.V Ulfric:

Je remarquai alors que mon histoire fut assez longue pour passer la nuit, le soleil se levant à nouveau. Seulement en baissant les yeux elle vit à nouveau mon sang perlant mon armure et ma dague.

-... retire ton armure, je dois soigner ta blessure.

Je lui fis alors confiance et la retira, me trouvant alors torse nu, mes multiples cicatrices couvrant mon corps. Elle regarda alors et à sa grande surprise, aucunes plaies, juste une nouvelle cicatrice, ma blessures aurait donc cicatrisée aussi rapidement? Peut-être que cela fait parti de mes nouveaux pouvoirs. Mais pas le temps de penser à ça, je me rhabilla alors et me leva.

-Bon, levons le camps., dis-je en commençant à ranger mon équipement.

Je remarquai une pointe de tristesse dans son regard, sûrement due à l'histoire que je lui ai conté. Elle se leva sans un mot seulement à se moment la je sentis que quelque chose n'allait pas, quelque chose d'extérieur, mais quoi? Je n'eus pas le temps de me poser plus de question que j'entendis des bruits de pas.

-On est suivis!!!!

Elle se mit à couvert mais trop tard, je vis une silhouette. J'arrivai à distinguer une chose dans sa main, pas le temps de me demander se que c'est, il les a lancées, on dirais des... pierres précieuse, je crus reconnaître ces gemmes étranges mais à peine j'eu le temps d'ouvrir la bouche que les gemmes touchèrent déjà le sol provoquant une déflagration monstrueuse, me projetant moi et Noémie au sol. Une fois à terre, le bruit strident de l'explosion sifflant dans mes oreilles, je vis Noémie se faire emporter par l'inconnu, et tentant vainement de me lever je m'effondra au sol et tomba dans les pommes.

Après plusieurs heures ou jour, je ne sais pas, je finissai par me relever difficilement. L'image de cet inconnu hantait mon esprit, encore une fois je n'avais pas réussi à protéger les gens qui m'entouraient, je m'étais laissé surprendre, c'est pitoyable, c'était maintenant mon devoir de la retrouver. Je repensai a ses gemmes, pourquoi m'avaient elles l'air si familières? je me souvins alors du marchand, se fumier, c'était ces gemmes, les gemmes des bandits que j'ai vendu, ces même gemmes qui ont causées ma perte, je devais maintenant retrouver ce marchand de malheur et me mis alors en route vers le village où je fis l'erreur de lui vendre ses maudites gemmes.

Je dû marcher longtemps, très longtemps, m'arrêtant de tant à autre dans une taverne pour me reposer, mais cet échec, je ne pouvais me le pardonner. Encore une fois où je dû m'arrêter dans une taverne, épuisé par mes longs temps de marche. Le matin je me levai et sortis mais en partant de la ville je vis des gardes protéger une personne me semblant être leur chef et quelque chose me paraissait bizarre. Non pas que des mercenaires protègent quelqu'un, non, leur chef, un nordique à la carrure imposante, vêtu d'une armure d'acier et de cuir, ses armes, 2 haches simples, mais je ne sais pourquoi je sentai une aura étrange s'en dégager. je le vis se retourner vers moi et, je ne sais pourquoi, il regarda mon épée et sourit.

-Voilà donc une drôle de rencontre, dit-il en souriant.

-Qui es-tu?, lui demandais-je avec beaucoup de sérieux.

-Je me nomme Amalrik, jolie épée. Malheureusement pour toi j'ai reçu pour ordre de t'arrêter mais avant ça, amusons nous un peu. Gardes, tuez le! Et toi, dit il en me pointant de sa hache droite, essaye donc de me tuer.

Á ses mots les gardes brandirent leur armes et chargèrent vers moi. Je réussi facilement a esquiver le coup d'estoc du premier gardes, son élan le rendant sans défense me permettant de lui trancher la gorge, sa tête décapitée tombant lourdement au sol, son sang rougissant la terre. Je regarda les autres gardes et vit que les tuer 1 par 1 serait beaucoup trop long, il fallait donc une attaque éclair, tuer d'un coup cet personne me semblant bien étrange et confiant, mais pas le temps de me demander se qui lui valait une telle assurance, je me mis en position, chargea mon épée, une aura rouge l'enveloppant, et tandis que les gardes au alentours étaient pleins d'incompréhension, Amalrik lui continuait de sourire. Se sourire j'allai le lui retirer du visage.

-Demon...

-"aller, laisse parler ta rage"

-SLASH!!!!

Je m'élança alors vers lui à une vitesse surhumaine, passant les gardes sans même qu'ils ne purent m'arrêter, et alors que je m'attendais à sentir sa chair se déchirer, ses os se briser, je sentis ma lame s'arrêter, pourquoi??? Je ne pu comprendre se qu'il se passait, je regarda alors, il avait parer mon coup, ses haches avait réussie a stopper mon arme et elles s'illuminaient de bleu, comment a-t-il pu arrêter mon attaque? Comme je m'y attendais une douleur inimaginable s'empara de mon abdomen et je me mis à cracher du sang, merde! J'étais en position de faiblesse et il en profita pour me frapper à la tête avec le manche de sa hache, et je tomba dans les pommes.

PDV Noémie:

Je me réveillai difficilement, ma tête me faisait encore atrocement mal et j'étais encore chamboulée par se qui venait de se passer. Je regarda autour de moi et il faisait très sombre, la salle n'étant éclairée que par les flammes de la cheminée se trouvant non loin de moi. En tenant de me lever je découvris que j'étais attachée avec des cordes sur une chaise, les liens commençant à me brûler les poignets. J'essaya de me débattre mais rien à faire, ses liens sont beaucoup trop bien attachée, de plus, comme je m'y attendais, ils avaient retirés mes armes et je n'étais vêtue que d'une simple tunique de jute, tel une simple prisonnière. Je regarda autour de moi et vis des armes, des armures, des boucliers, mais chez qui ai-je bien pu atterrir??? Tout d'un coup j'entendis des bruits de pas et vis un homme en armure blanche. Le feu éclairait peu son visage, mais je ne comprend pas, pourquoi m'avait-il l'air si familier. Ma tête était pleines de questions et il se rourna. Se visage, non...

-Vous êtes...

-Alors, même pas un petit bonjour?

BerserkerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant