Enfant de cadavre (partie 1)

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"Pour commencer, je tiens à m'excuser du retard de ce chapitre et du fait qu'il soit si court. Je souhaite la bienvenue à mes nouveaux abonnés: SamuelKasko, dalva2000, MonkeyoDoElea, Ice-Kim, kyloulou, Audrey_Styles14, SMINAH, Maiakayliastyx, Takemeaself, unetracevioline, gsionnach. Vous êtes toujours plus nombreux et ça me fait vraiment plaisir ^^ de plus, nous avons dépassés les 30 abonnés, et atteins les 1 500 vues, merci beaucoup :) maintenant je vous laisse à mon chapitre ;)"

Cette histoire se déroule voilà fort longtemps. Un couple de marchands avançait vers la prochaine ville où ils devaient faire affaire. Mais qu'elle ne fût pas la terreur de ce jeune couple lorsqu'ils virent le village à feu et à sang. Hommes, femmes et enfants étaient morts.

-Chéri, c'est affreux ! Tous ces pauvres gens sont morts...

-C'est horrible, en effet. Je crains que personne n'y ait réchappé.

-Non, peut-être y a-t-il encore quelques survivants ?

-Peut-être, en effet, mais c'est fort peu probable...

La jeune femme alla fouiller les maisons en quête de survivants mais il n'en fut rien jusqu'au moment où elle l'a vue : une femme, pendue à une des poutres de la maison avec au-dessous d'elle un bébé encore accroché à son cordon ombilical, sûrement sorti après la mort de cette dernière qui devait dans peu de temps accoucher.

-Chéri viens voir, c'est abominable...

-Qu'y a-t-il?

Le mari entra dans la pièce et à la vue de ce spectacle fut sous le choc. Il fixa l'enfant quelques temps puis se remit à parler :

-Il est certainement mort.

Et peu de temps après avoir prononcé ces mots, le nouveau-né se mit à pleurer à plein poumons.

-Dieu du ciel, il est vivant!

La femme prit alors un petit canif et coupa le cordon, elle l'essuya légèrement et le prit dans ses bras.

-Pauvre enfant... comment allons nous l'appeler chéri?

-Nous allons l'appeler Ulfric.

La nouvelle mère se mit à sourire en regardant son nouveau bébé.

-C'est un bien joli nom pour un enfant.

Il le prirent et repartirent chez eux. Le village dans lequel ils vivaient était un petit village pittoresque avec très peu d'habitants. Ce jeune couple de marchands occupait une petite maison dans le centre du village et n'était pas bien riche. Ils s'occupèrent tous deux du bébé, heureux d'avoir enfin un enfant.

-Chéri, tu ne penses pas qu'il est dangereux d'élever un enfant ici, avec toutes ces attaques de gobelins?

-Ne t'en fait pas mon cœur, les gobelins ne nous ont jamais réellement posés de problèmes et les attaques ont l'air de cesser.

La femme se mit à sourire, rassurée.

-Tu dois avoir raison, je me fais sûrement du soucis pour rien.

Les jours passèrent, le couple s'occupait bien du petit Ulfric, le nourrissait, le câlinait. Cela semblait bien parti et les attaques étaient faibles ; il n'y avait que deux-trois légumes volés et quelques uns écrasés, rien de bien déplorable. Seulement personne ne s'attendait à une attaque de cette ampleur : une nuit, ce sont des centaines de gobelins qui dévalèrent sur le village, détruisant tout sur leurs passages.

-Chéri, qu'est ce qu'on va faire?!

-Je ne sais pas, il faut cacher notre enfant!

Pris de panique, il cherchèrent un endroit où cacher Ulfric. Il devait faire vite ; les gobelins martelant la porte et tentant de l'enfoncer.

-Chéri, vite, la porte va céder!, dit elle en pleurs.

-Cette planche se détache. Sous le plancher, aucun gobelin ne verra notre enfant.

-Bonne idée.

Il prit l'enfant, le déposa sous le plancher y déposa un mot, et lui dit avant de refermer :

-On t'aime mon cœur. Courage, quelqu'un te trouvera et prendra soin de toi.

Il referma le plancher, s'assit sur le sol. Sa femme dans les bras, la tête de celle-ci sur son torse, il posa sa main sur ses cheveux, la serrant contre lui, attendant que la mort vienne les faucher.

-Chéri, c'est donc vraiment la fin pour nous?, dit-elle en sanglots.

-J'en ai bien peur, oui. Ne t'inquiète pas, nous serons réunis à jamais au paradis, tout va bien se passer.

Les coups sur la porte était de plus en plus fort, la porte était sur le point de céder.

-Je t'aime chéri.

-Moi aussi mon cœur...

La porte finit par céder. Les gobelins entrant massacrèrent ce pauvre couple en les démembrant. Le sang coulait à flot sur le plancher, des cris strident perçaient la nuit. Le village avait été complètement ravagé et les villageois massacrés. Une armée de mercenaire arriva mais trop tard : tout le monde était mort, les gobelins devraient maintenant livrer bataille contre les mercenaires.

-Purifiez moi ces abominations!

Les mercenaires foncèrent sur les gobelins sous les ordres de leur chef, les massacrant tous sans la moindre pitié, sans même la moindre victime parmi les soldats. Une fois la bataille finie, le chef des troupes cherchait avec ses hommes si quelqu'un avait survécu jusqu'à ce qu'un des mercenaires se mette à crier.

-CHEF! J'ENTEND DES PLEURES DE BÉBÉ SOUS LE PLANCHER!

Le chef alla donc voir, il arracha la planche qui cachait le bébé et le pris.

-Un mioche... bon... qu'est ce qu'on va en faire?

Tout à coup, on entendit les cris d'une femme qui rentra dans la pièce.

-Que fais tu là?

C'était la femme du chef qui venait d'entrer. Elle s'approcha du bébé et le prit dans ses bras.

-Mon enfant.

La femme du chef avait depuis longtemps perdu la tête suite à la perte de son fils mort né qu'elle n'avait pu oublier.

-Nous devons le garder, dit-elle heureuse.

- Bien, nous le gardons, mais il a de fortes chances de mourir.

Un mercenaire trouva un mot dans le trou et le fit savoir à son chef.

-Chef, j'ai trouvé ça.

Il lui tendit le papier et le chef le lut.

-Ulfric... il s'appelle Ulfric.

-C'est un bien joli nom pour notre enfant mon amour.

-En effet et dès à présent, il est notre fils.

"Voilà le début de l'histoire bien triste d'Ulfric et on débute avec beaucoup d'émotion. Même si ce chapitre n'a pas beaucoup de choses sur lesquelles faire des théories, si vous voulez vous pouvez essayer de deviner la suite, et écrivez moi vos théories dans les commentaires, soyez créatif. Vous pouvez voter/liker si le chapitre vous a plu, donnez vos avis dans les commentaires (et si le chapitre ou l'histoire ne vous a pas plu, s'il vous plaît, dîtes le dans les commentaires pour que je puisse m'améliorer), vous pouvez aussi vous abonner pour suivre mon actualité, et, surtout, partagez, c'est comme ça que je peux me faire connaître. C'était golden eagle, and if you want to win the fight, say I believe \m/"

BerserkerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant