Une dur enfance(partie 2)

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Cela fait quatre ans que ce fou dangereux a tué ma mère, quatre ans qu'il me bat, quatre ans qu'il me... viole... Ce n'est qu'un monstre sans cœur! Je le déteste! J'aimerais m'enfuir mais les hommes de ce psychopathe ont pris la ville et si j'essaye de partir je me ferais tuer instantanément par les gardes. Depuis ces quatre ans j'ai appris à me faire discrète et il m'arrive de voler sans que personne ne remarque jamais rien. J'étais plongée dans mon idée d'évasion quand j'entendis ce monstre se réveiller.

-Salut gamine.

-Je suis pas une gamine!

Il me frappe violemment au visage.

-La prochaine fois que tu me contredis tu sais ce qui t'attend. Bon, on va bientôt manquer de pain alors tu vas aller m'en chercher, OK? De toute façon tu sais très bien que t'as pas le choix.

-J'y vais...

Je partis alors chez la boulangère avec encore un peu de sang sur le visage et un gros coquard. Dans ce village tout est devenu plus triste depuis l'arrivée de mon "père" et de ses hommes, pas mal de gens sont mort car ils ont tentés de se défendre contre l'envahisseur. Ici, tout le monde est au courant que le chef de nos envahisseurs m'a prise comme esclave et me regarde tous avec de la pitié. Je suis contente de devoir aller cherché du pain car je suis très amie avec la boulangère. Je suis enfin dans la boulangerie et arrive devant la boulangère qui est occupé de faire ces comptes.

-Bonjour.

Elle me regarde et voit que c'est moi.

-Oh, salut ma petite.

Elle m'observe et remarque mes blessures au visage.

-Mais qu'est ce que ce monstre t'as encore fait? Que s'est-il passé?

-J'ai osé le contredire et il n'a pas apprécié.

-Désolé pour toi. Que puis-je pour toi aujourd'hui?

-Il me faudrait trois pains.

-Très bien.

Elle prend les trois pains, les emballent et me les tend.

-Ce sera tout ma petite?

-Oui, dis-je avec un grand sourire.

- Ça te fera douze pièces d'or.

-Tenez, au revoir.

-Au revoir.

PDV boulangère:

Cet homme cause vraiment trop d'ennuis à cette pauvre petite, il faut vraiment qu'elle parte d'ici. Je n'ai pas le choix, ce sont les ordres, je vais avoir besoin d'aide... Soudain je vois le facteur arriver.

-Voici une lettre pour une certaine Clémence, c'est bien vous?

-Oui, merci. Au revoir.

-Au revoir.

Je commence donc à ouvrir la lettre et à la lire:

"Chère Clémence,
Cela fait six ans que nous t'avons envoyée en mission et nous avons remarqué que les résultat sont concluants, nous avons donc pris la décision de vous envoyez des renforts pour mettre à bien le plan.

L'ordre."

Je commence alors à sourire. Je ferme alors ma boulangerie et descend dans ma cave préparer mon matériel.

PDV Noémie:

Lorsque je rentre je remarque qu'il n'y a plus personne dans la maison, il est sûrement parti faire je ne sais quoi. Je vois alors deux gardes rentrer.

-Ton Maître nous a appelés pour te surveiller et que tu ne puisses rien faire de suspect et empêcher...

-... toutes tentatives d'évasion, je sais.

-Il nous a aussi dit que nous avons le droit de te frapper si tu fais la maligne.

Il me colla deux droites toujours avec son gantelet en fer pendant que son collègue le regarde faire et me laisse souffrir. Je ne peux rien faire à part attendre chez moi et le temps passe rapidement. La nuit est tombée et leur chef revient.

-Vous pouvez retourner surveiller l'entrée.

-OK patron.

Ils repartent et me laissent seul avec mon père.

-Bon, on dirait que je m'ennuie.

Il commence à me lancer son regard pervers.

-Non, je veux pas!

-Oh, tais-toi!!

Il commença à me gifler.

Narrateur externe:

Le village était tranquille quand il commença à se faire assaillir de toute part par des personnes habillées d'une bure, tous avec le visage caché par leurs capuches. Les gardes qui gardent le village commencent à se faire tuer les uns après les autres sans que personne ne s'en rende compte. Les tueurs se rapprochent de plus en plus de la maison de la pauvre Noémie qui se débat comme elle peut pour ne pas subir d'attouchement.

PDV Noémie:

-Me touche pas!!!

-Laisse toi faire!

Il me gifle fort et ça me fait vraiment mal. Il mériterait de souffrir! Sale pervers!! Soudain, il entendit un bruit de deux lames suivit du bruit d'une chute de deux trucs lourds.

-C'était quoi ça?

Il me pousse par terre violemment. La porte s'ouvrit rapidement et un couteau de lancer se plante dans son ventre et il s'effondre sur le sol.

-Vous êtes qui?

Le tueur enlève sa capuche et je reconnais ce visage.

-Clémence?!

-Oui c'est moi, ne t'en fais pas, on est là pour te sortir d'ici. Fais moi confiance, tu me connais ... allez, prends ma main.

Je lui tends la main et elle me relève. Elle me demande de la suivre et on quitte le village. Je ne sais pas où on va mais je suis contente de quitter ce maudit village et en même temps c'est le seul souvenir que j'ai de ma mère.

-Où va-t-on?

-Voir nôtre Mentor. C'est pour toi que toutes ces troupes ont été envoyées.

-Pour moi?! Mais pourquoi?

-Tu es spéciale, il tient à te voir en personne, sache que c'est un grand honneur que te fait le maître en t'accordant une audience. Tu deviendras son apprentie.

"Et oui encore un chapitre un peu long pour votre plaisir, dans mon dernier chapitre je n'ai pas vraiment mis de clins d'œil donc pas de félicitations malheureusement, juste des remerciements. Merci car c'est grâce à vous que je suis monté aussi vite dans les vues, c'est énorme alors merci. Encore une fois pour tout conseil ou encouragement ça se passe dans les commentaires, ça montre que vous participer. Un petit like ça fait toujours plaisir et vous pouvez vous abonner à mon compte wattpad pour suivre tout ce que je fait. A+ pour un prochain chapitre"

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