Chapitre 17 " sa m'etonne pss de mourrir apres tout "

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Salam aleikum,

Moi - décide toi bien n'oublie pas qu'il n'y a pas que toi dans le jeu et le petit dans ton ventre également...

Elle ouvre grand ses yeux...

Moi - je t'aurais pourtant avertit !

Je vais pour me casse mais ....

Elle - attend ...

----- fin du rappelle ----

Je me retourne vers elle, je connais déjà son jeu " attend " pour faire semblant d'être de mon côté puis me la faire à l'envers.

Elle - je .... L'enfant .... Sa se fait pas ... Tu peux pas !

Elle chialer.

Moi - quand tu t'es lancé dedans tu n'avais qu'à pensé à lui avant. La vie est injuste tu sais.


Elle - tu ! Espèce de salaud tu vas regretter ....

Je ne la laisse pas finir que je sors énervé... Je pensais trouvé le bonheur mais à la place je toucher à la misère... Je croyais finalement avoir cette vie que je cherchais mais au final je ne fais que le tour du rond-point, toujours à la case départ.

Une fois devant Ahmed, il comprend que je ne veux pas parler et m'adresse aucun parole voir regard.

Je repense alors à mes problèmes à quoi bon avoir une télé quand tu vois ta vie défoule quand de loin tu sais qu'une fille crie ton nom qu'après celui qui te sers de père veut te faire vivre la misère et qu'au final tu es derrière les barreaux et que tu peux rien n'y faire ? J'ai crus trouve le bonheur changer comme d'autres en rencontrant sana mais j'ai aussitôt compris que ses genre de choses ne m'étais pas destiné qu'il n'y'avait que un mot pour me décrire :" malheureux " et que meme si je continue à me battre je reviendrai toujours à la meme place mais avec différent problème .... Je ne baisse pas encore les armes je me barrerai jusqu'à se que le destin me le permettra.

J'essaie de contacter Sana, son sourire me reviens sa me fais sourire mais se sourire qui disparaît en quelques seconde car elle ne répond pas.

Je me dis qu'elle est juste un peu occupé et qu'elle finira par me rappeler, mon cerveaux essaie d'y croire alors que mon cœur sombre sait qu'elle est en danger... Un père prêt à tout faire pour pourrir la vie de son fils... Telle est le mien et le restera.

Allongé, je commence à entendre des cris c'est bizarre car c'est pas d'habitude que les keufs se battent avec des prisonniers en y rajoutant des coups de fils, on entend sonné des alarmes, et des gens courir je comprend rien, je vois de la fumer.....

Quelques instants plus tard Ahmed se lève en sursaut oué il dormais se con, il me regarde quecho et me secoue.

Lui - PUTAIN C'EST DU FEU CONNARD !!

Et c'est là que je me rend compte qu'on fait il y' avait de la fumer car un endroit brûle ! Lequelle ? Je n'en sais rien, Ahmed se met devant les cellules et commence à les secouer de toutes ses forces et en criant pour qu'ils nous sortent d'ici, sauf que tout sont occupé à crier et à courir que personne ne l'entend... Et moi je suis là sans rien faire car on finale sa ne m'étonne pas si je meurs au moins je reposerai en paix mais mon seule remord serait de laissée ma princesse dans cette vie merdique... Sana peut trouve mieux toute façon avec ou sans moi elle réussira à vivre, je veux juste quitter se monde pour quelques instants si possible, ne plus jamais revenir à quoi bon se battre pour rien au final.... Si tu m'avais entendu Khalti tu m'aurais dit " ne dit jamais sa... C'est une épreuve comme les autres surmonte la... Y'a des gens qui vivent pire " je sais Khalti mais regarde les gens croient je suis fous au lieu de me battre pour survivre je suis debout mains dans les poches entrain de me voir mourrir.

Ahmed me regarde énervée puis me giflé je réagis pas car à vrai dire je le mérite, il continue à demandé de l'aide alors que je ne bouge même pas, il voit les autres courir et se fouttre de lui sa l'énerve encore plus, je tousse plus fort suffoque et tombe la fumer bien plus forte que je ne le croyais.

- Nasser -

Je jouais avec Aisha quand j'entends sonner je vais ouvrir et je vois les keufs, pour une fois qu'il ne casse pas ma porte ses imbéciles... Bref je les regardent tout simplement et attend qu'ils parlent.

Eux - bonsoir c'est Mr Nasser Al****.

Moi - oué oué et vous voulez ?

C'est leurs métiers qui me donne jamais l'envie de les respecter je me demande comment leurs amis ils font sah voire leurs proches. Déjà que leurs uniformes me dégoûte waaaahhh le nombre de fois que je me suis cogne dessus sa m***.

Eux - euh vous êtes en charge de la petite Aisha ******* ?

Ayayya quelle bâtard en plus je suis Sure que tout est noté sur sa feuille vus qu'il a même nos tête dessus et en plus de sa je la porte et il voit bien que l'appartement est remplit de jouer et qu'en plus de sa j'ai dus cérélac sur le visage !! Ah oué est c'est pour sa qu'il se retient de pas rire.

***** - sseerrrrrr ??

Je me retourne vers Aisha qui me tire la barbe je ne sais même pas pourquoi elle m'appelle comme sa !

Moi - hmmmm ??

Elle me chuchote à l'oreille.

Elle - méchant eux zont prit Zellll !!!

Je la sourie tristement et me contente de me retourne vers les flics.

Moi - oui c'est moi qui la garde !

Eux - je suis désoler de vous dire mais son frère ...

Mon visage se décompose je pose Aisha par Terre et l'a dit d'aller jouer.

Moi - il a quoi ??

Eux - hm... Et bah la prison où il était à été brûler et jusqu'à maintenant on ne sait pas si ils ont réussi à le soigner ou pas.

Je me lance sur celui qui a dit sa et le tape de toutes mes forces. Les autres me séparent de lui.

Un d'eux - calmée vous sinon j'appelle les flics !

Moi - MAIS TU ES UN FLIC ESPÈCE DE CON ET QUI NE SERT À WELOU !! ( je retape dessus ) on me sépare de lui et les voisins me calme.

Flic - on est Sure de rien estimez votre ami en vie.

Moi - dégagez !!!

------ fin du chapitre -----

Chronique : Love d'une infirmière de prison.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant