Chapitre 18 : "je pars avec beaucoup de regrets "

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Salam aleikum,

- Nasser -

Je jouais avec Aisha quand j'entends sonner je vais ouvrir et je vois les keufs, pour une fois qu'il ne casse pas ma porte ses imbéciles... Bref je les regardent tout simplement et attend qu'ils parlent.

Eux - bonsoir c'est Mr Nasser Al****.

Moi - oué oué et vous voulez ?

C'est leurs métiers qui me donne jamais l'envie de les respecter je me demande comment leurs amis ils font sah voire leurs proches. Déjà que leurs uniformes me dégoûte waaaahhh le nombre de fois que je me suis cogne dessus sa m***.

Eux - euh vous êtes en charge de la petite Aisha ******* ?

Ayayya quelle bâtard en plus je suis Sure que tout est noté sur sa feuille vus qu'il a même nos tête dessus et en plus de sa je la porte et il voit bien que l'appartement est remplit de jouer et qu'en plus de sa j'ai dus cérélac sur le visage !! Ah oué est c'est pour sa qu'il se retient de pas rire.

***** - sseerrrrrr ??

Je me retourne vers Aisha qui me tire la barbe je ne sais même pas pourquoi elle m'appelle comme sa !

Moi - hmmmm ??

Elle me chuchote à l'oreille.

Elle - méchant eux zont prit Zellll !!!

Je la sourie tristement et me contente de me retourne vers les flics.

Moi - oui c'est moi qui la garde !

Eux - je suis désoler de vous dire mais son frère ...

Mon visage se décompose je pose Aisha par Terre et l'a dit d'aller jouer.

Moi - il a quoi ??

Eux - hm... Et bah la prison où il était à été brûler et jusqu'à maintenant on ne sait pas si ils ont réussi à le soigner ou pas.

Je me lance sur celui qui a dit sa et le tape de toutes mes forces. Les autres me séparent de lui.

Un d'eux - calmée vous sinon j'appelle les flics !

Moi - MAIS TU ES UN FLIC ESPÈCE DE CON ET QUI NE SERT À WELOU !! ( je retape dessus ) on me sépare de lui et les voisins me calme.

Flic - on est Sure de rien estimez votre ami en vie.

Moi - dégagez !!!
--- fin du rappel ---

Pdv de Nasser :

Les voisins essayaient de leurs mieux de me calmer mais rien en vins... Je pensais à Dieu qu'il avait rapproche ma mère de lui mais je sais pas Statfouralh je ne voulais pas que mon frère suivent Ya Rabi... Mais comme on dit le mektoub est bien écrit avant même qu'on ne décide...je ne pouvais que lui faire des Duas mais moi con comme moi j y pensais pas je me disais toujours un jour mais je crois pas non la mort toquera bien avant.

Chronique : Love d'une infirmière de prison.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant