L'amour ne se commande pas ...

Chapitre 4

Je fut sortie du sommeil lorsque je sentit des mouvement à côté de moi.

J'ouvrir les yeux et je constatât que Sanna était endormie à mes côté le bras passer autour de mon ventre, nos jambes mêlée l'une à l'autre.

Une seul pensée m'obsédé: " Que fessait-elle dans mon lit ? ", les lancements de ma tête ne m'aidé pas à réfléchir, j'enleva avec douceur son bras pour me dégagée de son étreinte puis sortit du lit.

Mon t-shirt était au sol, je le ramassa en fronçant les sourcils et en marmonnant:

- Oh putain ne me dite pas que j'ai fait ça ...

J'enfila un jean et passa la porte de la chambre, je me dirigea vers la cuisine et pu y voir sans grande surprise le nombre de bouteille de bière qui était dans la caisse à verre.

Petit à petit les souvenirs de la soirée me revinrent Alex, Hedda, Laure, la partie de poker, Sanna qui m'embrasse.

- Merde ! Merde, merde, merde !

J'ouvrir le robinet de la cuisine avec colère et passa de l'eau sur mon visage, non se n'était pas possible. Je n'avais pas pu faire ça ! Je n'avais pas pu embrasser la femme de mon père, je n'avais pas pu ...

L'eau continuait de couler et ma colère contre moi-même augmenter petit à petit, pourquoi avais-je fait ça ?

Une fois le robinet fermer, je pris la décision que la meilleure chose à faire était d'aller trouvée Sanna et de discutée avec elle de ce qui c'était passer hier.

L'escalier me sembla haut d'un millier de marche, plus le palier ce rapprocher et plus je me demandais ce que je pourrais bien dire à Sanna.

Elle allait me détesté, je me détesté déjà comment avais-je pu profiter du faite qu'elle avait bu pour l'embrassait.

Arrivée devant ma chambre, j'hésita quelque instant encore avant d'entrée de nouveau dans celle-ci.

Je m'approcha du lit et m'assis dessus juste à côté de Sanna, je posa ma mains sur son épaule et l'appela avec douceur:

- Hé Sanna, réveille toi. Sanna, aller réveille toi.

Je secoua une peu son épaule et elle ouvrit les yeux en grognant:

- Laisse moi encore dormir un peu. J'ai mal à la tête.

Je soupira, j'avais toute la journée pour lui parler autant la laissé se reposer encore un peu.

- Bon d'accord, je te laisse dormir.

Je fis un mouvement pour me lever mais elle attrapa ma mains et se redressa un peu sur le lit.

- Où est-ce que tu vas ?

Ses yeux exprimés sont désarroi et je ne su quoi lui répondre. J'étais assis là juste à côté d'elle à la regardée sans savoir quoi lui dire, je sentis alors la caresses de son pouce sur l'intérieur de mon poignet.

- Où est-ce que tu vas, Adaline ?

Me demanda t-elle encore, sa voix cette fois-ci parfaitement réveillé.

Je dégagea mon poignet de sa main et me leva en disant:

- Il faut que ... j'aille chez ... Hedda. Oui, chez Hedda. répétais-je encore.

Sans attendre qu'elle réponde je sortis de la chambre et dévala les escaliers, j'attrapa mon casque, mon blouson et les clés de ma moto.

Sitôt dehors je démarra en trombe.