Part 3 : L'histoire de Devil- Anys, une personne comme les autres. Un criminel ? Oui, mais sans le vouloir. En effet, quand j'étais encore petit, j'avais précisemment 4 ans, je restais toujours dans le coin de la porte de la chambre de mes parents en train de regarder...de regarder...de...euh
Je vois qu'il est confus et qu'il hésite un peu.
- Viens, on va danser un peu.
Il hoche sa tête, je lui tends ma main qu'il prend en souriant puis se lève. Il prend ma main et met l'autre derrière mon dos.
- Allez, on commence. Un, deux et trois...
Le voilà, il est tombé.
- Debout !
Il se lève et on recommence. À peine 3 pas, qu'il tombe encore. Je lui tends la main pour qu'il se lève, mais il me tire vers lui et je tombe à mon tour sur lui. Il se retourne de façon à se trouver sur moi.
- Oh putain ! Lève-toi, tu es trop lourd.
Il commence à me faire des bisoux partout sur le visage.
- Emm, arrête ! Dis-je en riant.
- Je te fais de l'effet bébé ?
- Non ! Juste arrête.
- On va voir.
Il m'embrasse au coin de ma bouche puis lèche mes lèvres. Mon coeur allait sortir de sa place et je sens la chaleur me monter aux joues, mais je résiste pour ne pas lui prouver qu'il a raison et qu'il me fait de l'effet.
- Pas encore ? Me demande-t-il. Je secoue la tête négativement alors que j'ai juste envie de lui arracher ses lèvres.
Il hoche sa tête en souriant puis la fourre dans mon cou. Il commence à déposer de doux bisous, puis il ouvre sa bouche et commence à le mordre. Au toucher de sa bouche avec mon cou, des milliers de sentiments explosent en moi, la chaleur augmente, le délice de ses baisers m'envoûte et je commence à gémir son nom en le suppliant d'arrêter.
- Tu me fais beaucoup d'effets.
- Je sais, je peux sentir ton coeur qui joue au tambour.
- Embrasse-moi. Je dis essoufflée.
- Pourquoi ?
- Je..euh..il fait chaud. Lève toi !
Il s'exécute et se lève. J'enlève mon haut et reste en soutien gorge et en pantalon devant lui. Je lève ma tête vers lui et remarque qu'il regardait ma poitrine avant de détourner vite le regard et de rougir. Je m'approche de lui, ouvre mes jambes et entoure sa taille. Je pose mes mains sur son visage avant de l'embrasser vigoureusement. Il passe ses mains le long de mon dos nu ce qui me procure des courants éléctriques. Il pose une sur mon cou ce qui me fait un peu mal.
- Je t'ai laissé une petite trace pour te rappeler de mon effet.
- Méchant !
- Ah bon ? Dit-il d'un air de défi.
- Oui. Répondis-je avec un sourire.
Il passe ses doigts sur sur mon visage en me regardant sensuellement.
- Emm, tu ne sais pas trop draguer.
- C'est juste le début mon amour. Mais attend, si tu gémis ou tu m'embrasses en retour, j'aurai le droit de voir tes seins.
- Quoi ? Tu n'es pas sérieux.
- Tu ne veux pas jouer ? Ou bien tu as peur de perdre ?
- Pas question de perdre, tu vas voir.
Il fait descendre deux doigts sur mon cou jusqu'à ce qu'il touche mes seins.
- Eh ! Enlève tes mains.
- Ok, c'est bon. En fin de compte, je vais les voir et tu vas voir.
Il repose ses mains sur mon dos et approche son visage du mien. Il touche mes lèvres avant de les mordre. Je vais mourir, je ne peux pas résister encore plus. Il les lèche et les mord encore et je ne peux m'empêcher de gémir et de l'embrasser férocement. Il crie et se retire.
- Sauvage ! C'était assez facile.
- Ne me parle plus.
- Quoi ? Qu'est ce que j'ai fait ?
- Tu as arrêté le baiser.
- Viens ici ! Dit-il en ouvrant ses bras.
- Tu ne vas rien voir en plus.
- D'accord mon bébé d'amour, je déconnais seulement. Il me serre contre lui puis m'embrasse.
- Je t'aime moi, tu sais ? Continue-t-il.
- Oui je le sais. Moi aussi je t'aime Anys.
- Anys... oui, tu m'as rappelé, je dois terminer ce que je voulais dire avant.
Il s'étalle sur les coussins et je mets ma tête sur son épaule.
- J'assistais depuis tout petit à un spectacle à la maison. Un spectacle où mon père frappait ma mère, je l'entendais crier et pleurer et souffrir, mais je ne pouvais rien faire, j'étais encore petit, je ne savais pas quoi faire. Elle me disait qu'elle allait bien et je ne la croyais pas, alors que chaque nuit, elle vivait la même chose, je ne savais pas pourquoi, mais la seule chose que je sais c'est qu'elle était un ange, tout comme ta mère, toutes les deux, elles étaient des anges. En fait, quand elle me voyait en train de la regarder du coin de la porte, elle arrêtait de pleurer et me souriait pour que je ne pleure pas, elle me disait toujours "n'eus pas peur mon fils, on est juste en train de jouer", je ne savais pas de quel jeu s'agit-il, elle me mentait toujours pour ne pas me voir triste, jour après jour, je grandissais, et je ne supportais pas la voir dans cet état, même en étant petit, alors j'ai décidé de quitter la maison. Je detestais mon père pour avoir fait souffrir ma mère, je le deteste de tout mon coeur. Et puis ce jour où j'ai quitté la maison, je suis sorti en courant, en arrivant dans une rue où il n'y avait que peu de maisons, de grandes maisons. Je me suis arrêté devant une porte et j'ai toqué. Une femme magnifique aux yeux bleu m'avait ouvert la porte puis m'avait pris dans ses bras en entrant. Elle m'avait donné à manger, elle était très douce, très gracieuse, je l'aimais beaucoup. Elle m'avait demandé mon prénom et j'avais répondu "Anys", elle avait pris la même attitude que toi tout à l'heure en me disant " Pardon?", alors je lui ai mieux précisé que c'était mon prénom. Elle m'avait demandé ce que je faisais là bas, mais je n'ai pas répondu. Elle m'avait demandé aussi si j'avais une famille et j'avais répondu par un "non", et le soir après l'arrivé de son mari, ils m'ont tout les deux proposé de devenir leur enfant, il n'en avait pas, j'étais leur seul petit enfant, mais je pensais à ma mère, si toujours mon père la frappait ou bien il a arrêté, je voulais tant revenir chez elle, mais même ma nouvelle maman ne me laissait en manque de rien, elle m'aimait beaucoup, peut être beaucoup plus que ma vraie mère, elle avait un grand coeur et elle me disait que j'ai embellit sa vie, elle était douce, elle me chantait chaque nuit et c'est grâce à elle que je sais chanter maintenant, elle a réussi à me faire oublier les petits malheurs que je vivais en voyant ma mère souffrir. Elle était très contente en sachant qu'elle allait avoir une petite fille, elle me disait que j'allais avoir une soeur, j'étais aussi heureux, j'avais en ce moment presque 9 ans quand elle allait accoucher de sa fille, je ne me rappelle pas trop de mon âge, mais malheureusement, cette femme que je considérais comme ma mère, a mouru après avoir accouchée d'elle, la dernière chose qu'elle m'avait dit "sois gentil et courageux".
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Vous aimez ?Je tiens à remercier toutes celles qui ont voté pour moi dans le concours et qui m'ont donné une note aussi. Je vous aime beaucoup ❤😍
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Fallin' for Devil
FanfictionAvez-vous déjà vu une fille qui souffre du cancer, mais qui garde toujours une lueur d'espoir ? Un espoir qui est animé par le désir brûlant de réaliser ses derniers désirs. Devil, le plus dangereux criminel de la ville, redouté par tout le monde, k...