Fallin' for Devil

8 - Ils ne l'ont pas arrêté...

Mot de la part de Bella :

Salut tout le monde ! Je voulais vous remercier pour vos commentaires de la dernière fois. Je dédie ce chapitre à chevalgril d'abord j'ai adoré ton commentaire et je t'aime aussi beaucoup beaucoup. Je veux remercier aussi amourpolicier je t'adore aussi, ton commentaire est super aussi. Finalement, merci également à JusteAmoureuse et à Elena110702. Je vais faire ve que vous m'avez demandé,  merci encore.

Et maintenant ma chouette chevalgril. Je vais répondre à ta question qui était : si je n'avais pas cette maladie de cancer, est-ce que je réaliserai tout mes voeux ?

Je pense que non. Puisque je ne serais pas obsédée cette idée de la mort qui ne me quitte pas maintenant. J'aurais peut être autre chose à faire dans la vie et ces voeux ne seront pas ma raison de sourire, mais il seront secondaires. Je penserais donc à quoi bon faire dans ma vie parce que je ne penserais pas chaque minute et chaque seconde qu'il ne me reste que peu pour mourir, mon esprit serait libre...

Merci pour ta question.

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Je vous souhaite une bonne lecture !

- Endroit faux ! Je suis désolée. Je m'excuse devant les deux policiers tout en voulant sortir.

- C'est le bon endroit, Mlle Arnold. Veuillez rester avec nous. S'exprime l'un d'eux avec le regard dur. Le plus jeune me sourit pour me rassurer.

- Vous me connaissez ? Je veux dire..euh...je n'ai jamais commis de crime. Je vous le jure, je n'ai rien fait.

- Calmez-vous Mlle. Et qui ne vous connait pas dans la ville ?

Je me rassaisis et me tais.

En arrivant à un des étages, ils me demandent de les suivre jusqu'au café. On s'asseoit et ils entament la conversation.

- Qu'est-ce que vous êtes venue faire ici ?

- Moi ? Euh..bah je suis venue me détendre un peu..oui..oui

- Vous détendre avec tout ce bruit assourdissant ?

Je reste silencieuse. Mais où est Devil ? Et qu'est ce qu'ils me veulent eux aussi ?

- Vous savez ce que c'est ? Me demande le plus jeune en désignant un portable posé sur la table.

- Un portable, non ?

Il hoche sa tête, prend le portable et le met sur son oreille. Le mien commence à vibrer. C'est le numéro de toute à l'heure. Je tremble de la tête aux pieds.

- Fais voir. M'ordonne-t-on.

Je leur passe mon téléphone, qui arrête de vibrer après quelques secondes.

- D'où vous connaissez Devil ? Et pourquoi vous le rencontrez ? Et depuis quand ?

3 dures questions à la fois. C'est trop! Je ne sais plus quoi répondre et ma langue reste collée à mon palais.

- Répond !

On est passé vite au tutoiement. Plus tard, je vais avoir un poing dans ma gueule. Il vaut mieux parler. Mais quoi dire bon sang ? C'est moi qui l'ai cherché. Pourquoi je suis venue déjà ?

- Mlle ?

Mes yeux fixés sur la table, je leur demande de lire le message que j'avais reçu.

- Et c'est quoi cette chose qui t'intéresse tant pour que tu es venue si vite ?

- C'est un petit journal que j'avais perdu lors de mon kidnapping de la part de Devil. Et je pense que quelqu'un voulait me le remettre, c'est pour cela que je suis là.

- Ton kidnapping ?

- Oui, ce n'était pas grande chose. En effet, Devil était gentil avec moi, il ne voulait que de l'argent après tout.

- Un criminel qui est gentil... Murmure l'un d'eux. Sais-tu que tu t'embarques dans des ennuis ?

- Pourquoi ?

- Tu allais te rencontrer avec un criminel qui a fuit du prison. Il était là. Quand il a su l'arrivée de la police, il s'est enfuit tout en laissant son portable ici.

Ils ne l'ont pas arrêté...

- Je ne savais pas que c'était lui quand même.

- Qu'est ce qui nous montre que tu ne mens pas ? Après tout, tu devais nous informer de ce message parce qu'avec ton acte là. Tu es considérée à aider un criminel.

- Mais je n'ai rien fait. Je ne voulais que mon journal. Est-ce un crime ?

- Non. Mais...

- Il n'y a pas de mais. Je n'ai jamais rencontré de Devil après mon kidnapping et je ne le connais même pas. Pourquoi je vais l'aider alors ?

- Ce qu'on ne comprend pas, c'est pourquoi il voulait te voir encore ?

- Comme si moi je sais la réponse.

- Tu dis que tu ne l'aides pas. N'est ce pas ?

- Oui.

Et après une longue heure à parler avec ces deux là. Ils décident enfin de partir.

- Tiens, c'est mon numéro. Appelle moi en cas d'urgence. Me chuchote le plus jeune. Je suis Aïden. Continue-t-il avec un sourire au coin. Je prends le bout de papier et tourne les talons pour aller chez moi.

Et enfin, ils vont me laisser en paix...ou pas. En quoi me suis-je embarquée encore une fois ?