Dangerous Women [EN PAUSE]

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Quelques minutes plus tard, on arrive à une usine désaffectée. Je l'interroge du regard,il me fais signe de le rejoindre. On passe à travers plusieurs murs démolis, et on arrive enfin à destination, où on y retrouve Mackenzie.

Elle est assise sur le sol, en tailleur, dos à nous. Elle est entourée de cadres photos et de bougies.
Je tourne la tête vers Flynn pour l'interroger du regard mais il hausse les épaules et grimace en signe d'incompréhension.
Je reporte mon attention à Mackenzie, elle s'est retournée pour nous faire face.

Flynn- Que fais-tu la sœur ?
Mackenzie - Je réfléchis le frère. Elle me regarde. Et lui, qu'est-ce qu'il fait là ?
Flynn- Il a besoin de se changer les idées, alors je l'est amené ici, ça ne te dérange pas j'espère ?
Mackenzie- Non non, tant que je n'ai pas à l'amener aux urgences.

Il rit aussi remarque puis me fais signe de le suivre. Je sens le regard lourd de Mackenzie sur moi mais je ne la regarde pas. Je dois rester distant pour ne pas la lettre en danger, comme sa famille. Je suis,comme l'a si bien dit mon meilleur ami, un danger tant que je travaillerais pour KING. J'en sortirais lorsque je saurais prêt, je veux dire quand je n'aurais plus cette impression d'être surveillé dans mes moindres faits et gestes.
Je suis silencieusement et pensif Flynn à travers des couloirs sombres éclairés tous les deux mètres pars des lampes au plafond, style industrielle. C'est pas non plus comme si je me trouvais dans une ancienne usine désinfectée... Débilité : niveau extrême.

Flynn- Bon, aujourd'hui, je vais t'initier aux entraînements de combat de notre famille. dit-il  en frappant dans ses mains, trop enthousiasme à mon goût.
Jason- De quoi ?.. Pourquoi tu veux m'entraîner ?
Mackenzie- Bah oui Flynn! Pourquoi entraîner le mec le plus modeste, stupide, narcissique de cette ville alors qu'il ne sait que sauter les filles vierges ou pas qu'il rencontre au premier coin de la rue ? Alors ? J'attends une réponse Flynn Antonny Bennett.. dit-elle en commençant à taper du pied, les bras croisés sur sa poitrine.
Flynn- Bon, et bien, il commence à enlever ses bandages autour de ses mains, toi, entraîne-le. Je ais que tu n'attends que ça Mack' !

Elle s'avance vers moi, un grand sourire convaincu et pas très rassurant par la même occasion. elle me dévisage de haut en bas, les sourcils froncés, la bouche plissée, las mains sur ses hanches.

Mackenzie- Tu sais te battre ? T'as des notions je veux dire, les bases quoi ?
Jason- Non, pas tellement..

Je sais à peine me défendre, la plupart du temps je.. Je.. Je tue juste les personnes à descendre..
Je baisse la tête, inconsciemment, avec un sentiment de honte rien qu'à cette pensée. Comment ai-je pu retiré la vie à ces personnes ? *STOOOOOOOOOP! ON ARRÊTE LES REMORDS S'IL VOUS PLAÎT! TU EST JASON ANDERSONN, LE MEC LE PLUS MODESTE, BIEN TAILLE, QUI SE TAPE QUI IL VEUT ET QUAND IL VEUT ALORS TU VAS VITE ARRÊTE DE FAIRE TA GAMINE SINON JE T'EN COLLE UNE!!ELLE EST DANS L'AVANT BRAS, FAIS GAFFE!! Ah oui, je suis ta conscience Mik', et y'a ta raison,machin machin, qui traîne par là-bas, Sty', voilà, les présentations sont faites donc reprend ta vie, la bise!* Oui, bah oui..

Mackenzie- Qu'est-ce qui te tracasse Andersonn ? Un mauvais souvenir ?

Je la regarde, elle s'était éloignée pendant ma rencontre avec ma conscience et ma personne *non, non, ton mental du con, la personne on la connait bien t'inquiètes!* *c'est vrai, rajoute Sty'*.

Jason-Ouais, un souvenir, mais je ne pense pas que tu pourrais comprendre..
Mackenzie- Très bien, alors un conseil, ne laisse jamais paraître tes émotions sur ton visage, ce serait trop facile de te cerner et t'apprivoiser tel un chiot. Je comprends le fait que tu ne veuilles rien me dire et j'accepte, c'est ta vie privée, machin machin et je respecte ton choix..
Jason- Merci..
Mackenzie- par contre, dit-elle en reprenant,ce souvenir, n'y penses plus le temps que tu t'entraînes, ou alors tu l'utilise en guise de motivation pour taper sur le sa-sac! dit-elle ironiquement, en souriant de toutes ses dents, en tapant gentiment le punching-ball.