Je roule dans la rue. Tout à l'aire plutôt calme. J'essaie de me souvenir de la route pour rejoindre ma mère. Je me répète ce que je sais en boucle dans ma tête. Tourné à gauche, puis à droite. Tourné à gauche, puis à droite. Certaine ruelle que j'essaie de prendre son bloquée par une voiture garée au milieu du passage. Il y en a même quelques unes avec les portières ouvertes et parfois du sang ou un corps à côté. Ces vues me répugnent. À chaque fois je ne peux m'empêcher d'imaginer ce qui a pu arriver au personnes présentes dans ces voitures. Et bien sûr il faut toujours que j'imagine le pire. Je m'engage enfin dans une ruelle praticable. Je roule au pas car la voiture frole de très près les murs. Mais je suis obligée de stopper la voiture au milieu du chemin. Une sorte de pluie...oui on va dire pluie...de zombies tombent sur la ruelle. Ils se jettent du haut des toits. Il n'y en a que cinq ou six morts à terre. Je passe la vitesse et m'apprête à repartir quand un énorme bruit de choc m'arrête. Le toit de la voiture s'est légèrement enfoncé. Une main pendouille sur ma fenêtre. Puis les doigts ce replient et raclent la vitre. J'accélère d'un coup et freine aussi sec fesant culbuté le zombie sur le capot et tombé devant la voiture. Je recule avec les mains tremblantes. J'ai encore assez peur de ses choses. Il commence à se relevé et je roule dessus sans pitié. La voiture fait un bond et un craquement sourd et horrible arrive de sous la camionette. Je fini avec le capot dans une grosse poubelle. Heureusement que j'avais ralenti. Je fais demi tour. Le visage du zombie est applati par terre. Du sang et sûrement des morceaux de cervelles ont été projetés sur les alentours. Je ressort de la rue et prends la suivante. Je sors de celle-ci et atteinds enfin l'immeuble où doit se trouver ma mère. Je me gare sur le parking (très utile n'est ce pas) et sort de la voiture. Je regarde autour de moi. Rien à part pas mal de voiture abandonnées et des affaires qui traînent au milieu de la rue. C'est beaucoup plus calme que ce que j'imaginais. J'ouvre le coffre, prends le plus grand couteau de combats, une lampe de poche et le katana. Je passe le katana par les barres du portail avec la lampe de poche. Puis j'escalade tant bien que mal le portail et saute du haut. J'atterie maladroitement sur mes pieds et me relève. Je m'empresse de ramasser le katana et la lampe. Je vérifie qu'il n'y a pas de morts. Un petit treinard tourne vers les arbres plus loin. Rien de grave si il est seule. Problème le parc continue également à l'arrière du bâtiments. Je remonte l'allée d'un pas qui se veux assuré et arrive devant les portes automatiques en verre de l'immeuble. Des barricades bloquent l'autre côté de la porte et le système automatique ne marche plus. Ou a été désactivé. Je recule de quelque pas et cherche une autre entrée. Mais les fenêtres sont fermé et le peu qui s'ouvre ont des barreaux. Le solitaire s'approche dangereusement de moi. Je prends le katana et ne prends pas la peine de le dégainé. Je lui tape dessus. Le bout du katana s'enfonce dans sa tête. J'esquisse une grimace de dégoût. Je ressort le katana. Le solitaire s'effondre par terre. J'essuie le bout dans l'herbe. Je reprends ma recherche d'une entrée. N'en trouvant pas je décide de briser une des portes. Je m'approche et reprends le katana. Je tape un grand coup dessus. Mais une simple petite fissure apparé. Ça va être plus dur que prévu. Après de multiples coup j'arrive enfin à avoir une trou. Je casse la vitre avec la lame de mon couteau. J'escalade les barricades. J'avais oublié qu'il s'agissait de double porte vitrée. Je recommence mon laborieux travail. Après avoir aménagé un passage je rentre prudemment dans l'immeuble. Il fait encore jour donc j'ai de la lumière mais quand il fera nuit je ne verrais plus que grâce à ma lampe. J'observe le hall. Le bâtiment comporte deux étages en plus du rez de chaussée.
Moi: "Maman???"
Je chuchote. Après tout je sais pas si il y a des malades dans les locaux. De toute façon j'ai pas de réponse. Je part alors en direction de l'escalier plongé dans le noir. J'entre. La porte se referme dans un couinnement. Et elle claque emportant avec elle le dernier rayon de soleil.oOoOo
Je fais exprès de ne pas citer le lieu où de trouve ma mère par respect de sa et ma vie privé. Merci de votre compréhension. Ah et je me suis dis que ce serai bien de m'excuser pour les fautes d'orthographes. Voilà c'est fait. Ah par contre ça veut pas dire que je vais les corrigés et plus en faire. Bisous X))
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Survivrons Nous ?!
HorrorLéa avait une vie plutôt...facile. Sa passion?! Jouer au jeux vidéos d'horreurs. Jusqu'à ce qu'ils deviennent réalité. Tout bascule alors pour elle. Ce matin la son bus n'arriva jamais.