Les zombies y a bien un mot avec lequel ça ne rime pas: intelligent. Et pourtant la je commence à en douter. Avec leur drôle d'organisation pour bloqué la ville ils ont bien du communiqué. Je reste dans la rue qui me permettrai de rentrée chez moi. Il est encore tôt. Je décide d'aller explorer les ruelle alentours sans tout de fois m'approcher des ruelles "prises". Je glisse le katana sur mon dos. Je change le bandage de mon bras. Au moins j'ai pas de problème avec ça. Je prends aussi le gros couteau de combat. Je m'engage dans la rue la plus proche. Des immeubles la borde. Une porte à battant claque, seul bruit dans l'immensité du silence. Quelques papiers volent et s'écrasent dans un léger bruit. Après quelques pas dans une autre rue similaire à celle que je vient de traversée, je reviens sur mes pas et déniche une minuscule ruelle. Le genre de ruelle à pas fréquentée quand y a encore des vivants. Je n'espère pas trouvé grand chose dans cette rue. D'ailleurs c'est une impasse. Je reviens sur mes pas mais une porte attire mon attention. Je l'ouvre et entre. La pénombre trône dans la pièce. Je tape sur la porte de fer. Juste un mort qui rampe maladroitement par terre. Je lui plante mon katana dans le crâne. Comme je ne tient plus la porte, celle ci ce calle sur le corps inerte du zombies. J'ouvre les volets des fenêtres. Une boutique d'arme. Bon c'est pas super cool comme butin mais bon. Je prends une arme de poing et quelque couteau de lancé. Trois boîtes de munitions devrait suffire. J'ai jamais eu peur de tenir une arme. En même temps j'en ai jamais porter de vrai. Je pique un sac en plastique sous le bureau et y empile toutes mes affaires. Je continue le reste de la journée et rentre vers la voiture assez tard le soir. Résultat de mon expédition: à manger, des bouteilles d'eaux et les armes. Je range tout ça avec le reste des affaires et m'installe tranquillement sur le toit en tôle. La nuit tombe pendant que je dévore le contenue d'une autre boîte de conserve. L'été est bientôt là mais un froid glacial s'abat sur la ville. Je casse quelques palettes qui traînaient dans une ruelle et utilise la technique que mon père m'a appris pour allumer un feu. C'est marrant normalement la lumière les attires. En tout cas dans TWD c'est le cas. Mais la rien. Le feu crépite et fais valser les ombres sur les murs alentours. Je me lève et ouvre les portes arrières pour aller me coucher mais les grognements des morts s'approche de moi. Sur mes gardes je prends un couteau papillon et me retourne. Le barrage de zombies s'est remi en place alors que je n'est pas tenté de sortir de la ville. Puis il se sinde en deux et se dirige d'un même pas vers les bâtiments qui bordent la rue. Chaque groupe pour un côté de rue. L'un des deux groupes entre sans problème dans l'immeuble et ils y pénètrent tous. L'autre groupe se pressent contre les portes et les fonds craquer en quelques minutes. Puis ils y entrent également. Je reste au milieu de la rue, couteau en main, devant les portières ouvertes de la camionette. Je sais qu'il se passe quelque chose. Pourquoi les zombies iraient se réfugier dans les immeubles?! Une trentaine de minutes plus tard, alors que je m'étais rassise devant le feu, les deux groupes ressortent des immeubles et se remettent en place devant la sortie. Puis d'autres groupes sortent des ruelles et s'approche du groupe de cette rue. Comme pour discuter. Mais une partie des morts se rassemblent et s'approche dangeureusement de moi.
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Survivrons Nous ?!
HorreurLéa avait une vie plutôt...facile. Sa passion?! Jouer au jeux vidéos d'horreurs. Jusqu'à ce qu'ils deviennent réalité. Tout bascule alors pour elle. Ce matin la son bus n'arriva jamais.