Le cri est emprunt d'une intense douleur. Tout le monde se précipite pour voir qui hurle de cette manière. On aurait dit une personne qui se faisait torturé. Mais quand toutes les personnes de la soirée ont rejoins l'origine du cris, ils ne virent qu'un jeune homme d'une vingtaine d'années qui se roulait par terre en hurlant. Quelques uns essayèrent de l'aider mais ils ne peuvent pas l'approcher. Dès que l'un d'entre eux arrive près de l'homme, il vole dans les air avant de retomber lourdement. Personne ne regarde l'ombre du jeune homme qui s'étire vers les buissons. Personne ne remarque non plus les yeux rouges vifs dans le noir. Death s'amuse pendant encore quelques instants avec l'ombre du jeune homme avant de découpé l'ombre sur la surface. Il écrit sur l'ombre "Je suis Laughing Death". Ainsi il dit aux personnes de la soirée qu'il est là, dans l'ombre, prêt à leur ôter la vie. L'inscription commence à apparaître sur le corps du garçon. Ce dernier tiens son torse en hurlant de douleur. Dans un sursaut il déchire son T-shirt laissant entrevoir quelques lettres. La jeune fille qui avait parlé a Death s'approche et écarte les lambeaux du haut. Elle lut et cria. Les autres hurle des questions si bien que cela devient difficile à comprendre.
" - Que se passe-t-il ?
- Pourquoi elle hurle comme sa ?
- Qu'est-ce qu'elle vu ?
- Laissez moi passez je veut voir ! - Putain mais faites quelque chose ! Restez pas planté la ! "Et ainsi de suite... La jeune fille sa calme et respire un bon coup avant de dire en haussant la voix l'inscription.
"- Taisez vous merde. Il y a quelque chose d'écrits sur son torse.
- Ah ouais ? Et y a quoi d'écrits pauvre idiote ? répond un garçon arrogant.
- Il y a marqué " Je suis Laughing Death" !!!"Un silence de mort s'abat sur le groupe. On y sent de la terreur. Death poussa la peur a son paroxysme en écrivant encore quelque chose. De toute façon le garçon ne ressent plus, il vient de pousser sa dernière respiration.
"- Regardez ! s'exclame l'un des garçon qui est devant, il y a de nouveau quelque chose qui apparait. "
Tout le monde se tourne vers le corps et regarde les lettres se formées les unes après les autres. Les lettres forme une phrase.
" Je suis la près de vous. Regardez les ombres. Savourez vos dernier moments. Je n'ai plus qu'une chose a vous dire : Let me play with yours shadows."
Et la tête se sépare du corps, roulant sur deux, trois mètres. Comme une seul personne, tout le monde regardent leurs ombres qui indiquent la même direction. Vers les buissons où est caché Death. Ce dernier voit tous les regards tournés vers lui et décide de sortir à la lumière. Des hurlements retentirent. D'autres personnes ne dirent rien tellement la peur est présente. Un garçon s'avance et demande au clown :
"- Qu'est-ce que vous nous voulez ?
- Ce que je veux ? lui répond Death.
- Ou...oui.
- Eh bien je veux jouer et vous vous serez mes jouets. Et l'essayer pas de vous échappé c'est impossible. Vous êtes dans un cercle d'ombres. D'ailleurs elles ont faims alors je vous dit adieux. "Death fit un signe et toutes ses ombres bondir, attrapant le premier venu. Elles s'en donnèrent a cœur joie. Les victimes sont dévoré de l'intérieur. Les ombres entrent part tous les orifice possibles ( pas d'idées mal placé s'il vous plait 😂) surtout par la bouche. Les corps explose au niveau du ventre, répandant sang et boyaux sur le sol. D'autres vomissent du sang puis leur organes. Les corps s'écroulent les uns derrière les autres dans une souffrance silencieuse. Cela dure environ une heure puis Death rappelle les ombres qui fondirent sur lui. Satisfait il rentre au manoir pour aller se laver et dormir.
Au petit matin, pendant que Death dors, les autres regardent la télévision en prenant leur petit déjeuner. Ils parlent gaîment jusqu'à ce que Jason les fait taire en haussant le son de la télé. Un flash info spécial passe démontrant un meurtre de masse.
" Hier soir des meurtres d'une grande violence ont été commis lors d'une soirée où se regroupait une trentaine de personnes. Les victimes ont tous un point commun : elles ont toutes été dévoré de l'intérieur. Toutes les personnes présentent sont décédées. La police enquête quand à l'identité du meurtrier mais toutes les pistes correspondent aux creepypastas. En attendant d'avoir d'autres informations nous vous prions de restez chez vous et de n'en sortir sois aucun prétexte. Mesdames, Messieurs merci de votre écoute.
Ils se regardent tous les quatre et Jack dit :
"- Voilà où il était cette nuit ! "
Tous acquiescent et recommence leur déjeuner.
Plus loin dans la forêt, les creepypastas ont eux aussi vu l'info. Ils se sont réuni pour en parler. Bien sur il n'ont aucun doute quant à l'identité du tueur. Slender parle en premier pour évité le flots de questions inutiles.
"- Eux quand ils tuent ils ne chôment pas. Une trentaine de personnes d'un seul coup.
- C'est sur, s'exclame Jeff, mais il y a quelque chose que je ne saisit pas.
- Quoi ? lui demande Jane.
- Comment tuer une trentaine de personne dans que cela fasse de bruit ?
- Je me suis moi aussi posé la question, répond Slender, et j'en suis venu a pensé qu'ils sont de plus en plus nombreux. Ce qui est un avantage pour nous.
- Comment sa ?
- C'est simple : quand ils tueront quand ils seront ensembles nous pourrons les capturer plus facilement. "Un silence méditatif salue sa proposition. Et d'un commun accord tous opinent. Ils ne leurs reste plus qu'a savoir où aura lieu la prochaine tuerie.
Slender est assez satisfait et retourne dans son bureau. Intérieurement il espère qu'il pourra ramener tout le monde la ou leurs place est. Et il espèrent aussi que les clowns ne leurs feront pas la peau comme l'autre fois. Mais ça seul l'avenir le lui dira. En attendant il se reconcentre sur son travail, c'est a dire connaitre le passé d'Erwann alias Laughing Death. Et quelque chose lui dit que cela sera intéressant.
J'avoue que pour se chapitre j'ai eu du mal mais voilà il est fini ouf.
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Creepypastas VS CreepyUltimate
FanfictionDeath un jeune homme ressemblant à un clown erre dans les rue d une ville cherchant sans cesse de nouvelle victimes jusqu'au jour où... ««Pas de plagiat Tous droits réservés »»